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28/10/2013

MODERNE, TROP MODERNE

Que pouvez-vous encore faire tout seul ?

Tous les outils qui vous entourent chaque jour, vous ne savez ni les entretenir, ni empêcher qui'ils tombent en panne, ni faire en sorte qu'ils refonctionnent. "Oh mon pauvre Monsieur, mais ça vous coûtera moins cher d'en racheter un neuf !"

Rien de ce que vous mangez, vous ne l'avez ni fait pousser, ni cueilli, ni chassé, ni pêché, ni découpé. Il est rarissime que vous l'ayez acheté à celui qui l'a fait. Tout ça vient de perpète, amené par camions, distribué dans des usines blanches et froides dont les seules machines sont des frigos. Et s'il vous prend la fantaisie de manger du pain, pour changer des éponges industrielles qui sèchent avant même d'être achetées, c'est dans des machines que vous le faites - pour le plaisir de bouffer la même merde.
Mais "faite maison".

Les fringues que vous portez, des esclaves les ont cousues à la chaîne de l'autre côté de la planète. Si vous les portiez assez longtemps pour qu'elles se déchirent, vous ne sauriez pas les recoudre; heureusement, vous les foutez loin quand elles sont  encore neuves, parce qu'une mafia d'homos explique dans les magazines que lit votre femelle qu'elles ne sont plus tondonsse.

Les petits bobos et pépins physiques du quotidien ? Vous ignorez quelle plante, quelle décoction toute bête, quelle astuce de grand-mère permet de les faire disparaître ou  de les supporter: il vous faut du chimique, délivré sur ordonnances de médicastres chez qui on ne prend rendez-vous que deux mois à l'avance.

Les boulots dits pénibles ? Pour les bronzés. Aux toubabs les boulots crétins, humiliants de vacuité, où l'on ne pousse même plus une feuille d'un bureau à l'autre depuis qu'on n'a plus qu'à forouarder un imêle.  Même la délinquance est délocalisée, puisque nous ne sommes même plus foutus de fournir à notre société sa propre pègre autochtone.

Et le meilleur, le dessert, la cerise ? C'est que si un miracle vous faisait retrouver tous ces savoirs perdus, vous ne pourriez même pas vous en servir pour mener une vie digne et vaguement intégrée. Cent minuscules esclavages, accoutumances, laisses, non-dits et routines les cantonnent au fantasme, au coup de main épisodique, au hobby sans lendemain, parce que l'existence qui va avec suppose une discipline dont nous ne sommes plus capables, une guérilla sociale que nous sommes trop seul (ou pire: trop mal accompagné) pour mener.

C'est ainsi que l'antimoderne se réveille chaque matin un million de fois plus Moderne encore que ceux sur qui il crache, les "zombis", les "passifs", tous ces gros cons qui font exactement la même chose que lui, mais qui ont la délicate décence de ne pas trop s'en plaindre.

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23/10/2013

JUSQU'ICI TOUT VA BIEN

Un de ces soirs trop rares où j'arrive à croiser X et sa légitime, qui n'habitent pourtant qu'à moins d'une plombe. Pareils à eux-mêmes. Délicieux vertige du genre qui ne vous saisit d'ordinaire qu'en visitant une antique cathédrale ou les ruines gallo-romaines de Vidy : le temps qui a suspendu son vol sans qu'on le lui demande même poliment. Toujours la même gueule, toujours les mêmes potacheries, la certitude d'avoir été compris avant d'avoir prononcé les premiers mots indispensables à n'importe qui d'autre.

Bien amortis par la ripaille, nous digérons en sirotant une grappa barrique si délicieusement ritale dans l'esprit qu'on a de la peine à l'imaginer vaudoise. Après un de ces longs silences qui embarrassent quiconque ne partage pas cette ligne directe animale, X lâche, un brin mélancolique :

- On s'en est pas mal sortis, quand même, quand tu penses. On aurait pu tourner autrement plus mal.

Rien n'est plus vrai ni de plus banal à la fois. Pas mal de gens qu'on ne voit plus de ce temps-là ne s'endorment pas sans leur dose de THC, quand on ne parle pas de plus costaud. Les gosses de certains sont déjà ados quand les nôtres parlent à peine, mais les leurs n'étaient pas spécialement voulus. D'autres sont abonnés aux sous-jobs merdiques, parce que leur casier fait de l'ombre au reste de leur curriculum. De la gnôle, des armes, de la bécane, quelques bastons grotesques, deux ou trois gamelles, un abonnement aux urgences, un nihilisme crétin ne menant qu'à des prises de risques hautement dispensables, des provocations ne prouvant que dalle, des idées très très cons suivies jusqu'au bout, le cocktail idéal pour se transformer en loque avant l'âge, pourri de dettes et trente boulets à chaque cheville...  Tout ça pour être certes un poil amochés mais toujours là, pas trop tordus, pas trop mal entourés, passés correctement entre les gouttes.

Pas qu'on ait déconné au point de risquer la taule, non plus. Qu'on ne me foute pas dans le clavier ce que je n'y ai pas mis. Je parle de cette désocialisation légère qui fabrique les couples improbables, les familles bancales, les petits arrangements glauques, les réputations poisseuses que chacun connaît mais que personne ne vous envoie cash dans la gueule - la zone grise où pataugent tant de discrètes ruines sur pattes mâles ou femelles.

Peut-être n'étions-nous après tout que des petits joueurs, convaincus de miser très gros.

Ridicules et prétentiards mais en un seul morceau et pas plus putes que la moyenne. Deuxième chance accordée.

Un sort très appréciable, somme toute.

"I got plastered one night, Cried like a lil bitch to this song."

 

20/10/2013

FAF SHAMING

Si nous autres ouacistes sommes effectivement des nazis, des nostalgiques du Troisième Reich, alors il me semble que nous rabâcher des histoires de four gazeux et autres escroq est la méthode la plus idiote possible pour nous faire abjurer. Car c’est bien cela l’idée, s’pas ? Une minorité de staliniens souhaite nous égorger, mais pour la majorité soc-dem, l’idée est avant tout de nous faire confesser nos crimes et avouer nos erreurs ; la victoire sur la Bête ne doit pas être que physique, elle doit aussi être morale. Du temps de la splendeur guerrière de l’église catholique, on trouvait aussi qu’une contrition avait plus de valeur qu’une attrition. Et l’autocritique était, jusqu’à récemment, une obligation non-négociable pour tout communiste convaincu.

Or, nous expliquent ceux qui se font un devoir sacré de n’y rien comprendre, un nazi n’est pas un homme doté d’une conscience comparable à celle, disons, d’un élu écolo. Il est l’incarnation, sinon du Mal, du moins de la cruauté. Il croit à la force et à elle seule. Il pense que les forts doivent écraser les faibles. Il estime que tuer ses ennemis ne fait pas l’objet d’un interdit fondamental. En lui jouant en boucle le violon d’Ochouitze, on tente de guérir un ivrogne en lui faisant enchaîner les cuites.

« Vous devriez avoir honte de ne pas avoir honte de ne pas avoir honte. »

On ferait bien mieux d’insister sur l’abjection du Lebensborn. Moi qui suis très ouaciste, très traditions et qui ne m’enchie pas les savates en pensant au nombre de six millions, cette institution de génétique industrielle me remplit d’écoeurement. National mon cul, socialiste à fond.

C’est en cela qu’on peut être fondé à souligner le cousinage entre nazis et marxistes. D’ordinaire, le réac qui se pique de le faire n’y croit qu’à moitié. Il cherche surtout à faire au Correcteur ce qu’il lui fait subir, le salir, l’hitlerifier pour le réduire au silence. Mais la vraie salissure est inverse : c’est le socialisme qui est odieux, parce que même son archétypique ennemi s’est laissé corrompre par son fumier idéologique. Ce qui devrait nous faire haïr le Adolf's Big Band, ce n'est pas d'avoir appliqué sa propre doctrine, mais de l'avoir trahie, d'avoir bétonné l'Allemagne, idolâtré l'usine et la machine, partagé le même insane et dégoûtant culte du Progrès et du Nouvel Homme que les bolchos.

Les vrais nostalgiques du Reich, ce sont ceux qui depuis soixante ans jouissent d’une impunité morale et politique absolue en se cachant derrière son ombre. Et le jour où l'humanité ne sera plus qu'un misérable entassement d'humanoïdes vaguement beige, il s'en trouvera toujours pour accuser les plus clairs de manquer de respect aux plus foncés.

19/10/2013

LEONARYODA

Le père nous cache décidément tout sur son histoire familiale. La comparaison de ces deux clichés démontre clairement que la petite Leonarda n'est pas la fille de celui que l'on croit. Voilà qui va chambouler de manière autrement plus brutale les théories sur l'histoire de l'humanité (et les hypothèses d'une vie extraterrestre) qu'un pauvre crâne de Géorgie.

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17/10/2013

DRUG RAID AT 4 AM - version lorraine

... avec de sacrés gros sabots, les vilaines !

Comprenne qui connaît ses classiques.

 

 

13/10/2013

PUER POUR AVOIR L'AIR PROPRE

Quiconque me connaît depuis moins de vingt ans pourra être un peu interloqué de l'apprendre, mais il fut un temps où j'étais sincèrement et viscéralement antiouaciste. J'en ai déjà parlé quelque peu ici même. A cette époque, passer pour nazebroque m'aurait plutôt horrifié. S'il m'était arrivé de taper des bras ou de chanter Lili Marleen, l'idée était d'envoyer à six mètres les communistes qui prétendaient m'embrigader, rien de plus.

Surtout, il ne me serait jamais venu à l'idée de jouer au nazi pour prouver que je n'en étais pas un. Ca a l'air con, dit comme ça. Nous étions deux ou trois plutôt portés sur la potacherie, mais à ce point ? Autant refuser de se laver pendant un mois pour promouvoir l'hygiène et soutenir l'industrie du savon.

Faut croire que j'étais déjà cryptofasciste, parce que s'afficher en tant que "salope" pour refuser d'être traitée comme telle, c'est manifestement faisable et considéré comme crédible.

J'entends les enfants du paradis qui demandent qu'on arrête la mauvaise foi et le sarcasme deux minutes. Ca roule.

Je comprends la démarche, du moins sa logique: pousser l'outrance de la caricature pour faire honte au machisme ordinaire. S'il s'agit de s'amuser, de se borner à choquer l'Ennemi, warum nicht ? Mais pour convaincre sérieusement qui que ce soit, autant chier dans une cornemuse avec une paille.

Combien de sionistes "retournés" par la grâce d'une quenelle ?

Et à l'inverse combien d'entre nous gros fafs poussés à la repentance lacrymale à l'écoute de Supreme Mrap ?

Brocarder l'Ennemi est un loisir, un défouloir pour initiés. Niveau recrutement de nouveaux convertis, c'est presque aussi efficace que du sirop de piment pour soigner une courante chronique.

Derrière le cirque d'apparence extrême, on trouve un puritanisme affolant de grisaille, de froideur et de médiocrité. Conviction tacite qui sous-tend tout ce dérisoire barnum : le matschysme ordinaire, comme le ouacisme ordinaire, n'est pas quelque chose de délibéré et de conscient, un crime commis par des salauds qui savent l'être et l'assument. C'est l'équivalent moral d'un gros rot qui échappe à l'imprudent convive en plein silence d'un repas dans la haute. Une Bonne Personne ne se vautre pas de son plein gré dans une telle vulgarité : elle se rend responsable d'un tel impair parce qu'elle manque de discipline, parce qu'elle s'oublie, par paresse. Dans l'ensemble, et en contradiction absolue avec le reste du discours alarmiste politkorrekt, la société n'est pas "toujours plus ouaciste" : nous sommes entre gens majoritairement bien élevés, au sein desquels évolue une toute petite minorité de salauds. Ces derniers n'ont "pas d'opinions", mais ils commettent "des délits" - inutile donc de raisonner avec eux. En revanche, il faut rappeler au reste des agneaux de ne jamais songer à les imiter, ni à les trouver amusant, ni même à les écouter.

Dames patronnesses à poil, dames patronnesses quand même. Pitoyable jeu de rôle. Différence avec la Cadavre Pride ? Les zombies d'un jour ne se déguisent pas pour faire des sermons Citoyens.

GLOBALEMENT POSITIF

Merci à l'hoplite pour cette épiphanie dominicale.

On se détend, car tout va bien. Les problèmes qui nous paraissent insolubles vont se régler d'eux-mêmes avec le temps. C'est tout simple, limpide.

Apporter soi-même à vélo ses cartons et son bac d'épluchures de patates à la déchetterie communale ? Bouffonnement insuffisant, ça tombe sous le sens. Regardez le petit film jusqu'au bout (en faisant l'impasse sur le commentaire en français, d'un insoutenable amateurisme), pour parvenir aux dernières minutes, dont le message, là aussi, est clair. Pour l'élite de l'hyperclasse, pas de changement particulier: juste plus rien des phénoménales réserves de pognon, tout étant investi jusqu'au dernier centime pour ne rien perdre des privilèges addictifs. Pour nous autres, selon le niveau de chance, retour quelque part entre le quotidien du XVIè et du XIXè.

La surpopulation ? Un peu de patience, c'est bientôt réglé. Le développement sans fin, la mondialisation d'un style de vie vorace en énergie non renouvelable d'un bout à l'autre de la planète ? Chimérique. Durera une génération et demi au maximum. Parce que tout ça demande de l'entretien, donc des compétences, donc un niveau d'intelligence minimal. Or ça fait partie des choses réparties les plus inégalement à la surface du globe. Les progressistes et les Corrigés ne veulent pas l'entendre - littéralement : ils en sont à se remplir les esgourdes de dentifrices et à hurler des incantations à Saint Mandela pour couvrir le bruissement si agaçant que produisent les faits.

Qu'importe.

Broutilles.

Ils y viendront et/ou en crèveront. La trop grande croissance démographique de l'humanité va disparaître d'elle-même pour les mêmes raisons, et selon le même schéma qui fait que le Tiers-Monde est en train de claquer la gueule ouverte : trop de gamins, pas assez de manioc.

Vous avez remarqué, ces dernières années, comme le spectacle tente régulièrement de nous convaincre de bouffer des insectes ?

Bien entendu, personne n'accepte de claquer la gueule ouverte. D'où les vagues d'invasion migratoire dont les récentes victimes tirent des larmes à Margot ces derniers temps. Ces vagues vont, elles aussi, croître à qui mieux mieux à l'avenir pour venir s'échouer un peu partout en Occident. Ceux qui ne n'y resteront pas en chemin seront accueillis, nourris, logés, soignés, avec une attention particulière pour donner un maximum de vigueur à leur ressentiment et leur conviction d'avoir droit à tout ça parce qu'ils sont pauvres et bronzés.

La populace blanchouille ne s'y opposera pas. Son échine mentale est brisée, sa conscience collective violée et salie, sa vulnérabilité entretenue façon bonzaï. Le nouveau monstre siamois, entre prétendue gauche cosmopolite et prétendue droite populiste, a devant lui un glorieux avenir. On ne peut pas en dire autant de la civilisation européenne, mais les meilleures choses ont une fin, s'pas ? C'est l'oeuf indispensable à l'omelette du futur. L'avenir de la planète l'exige, faut s'y faire les cocottes.

Tout ça fera qu'à mesure que l'Afrique verra fuir ses enfants, l'Europe s'empressera de lui en fournir de nouveaux tout neufs et bien beige. Le modèle brésilien va s'exporter un peu partout dans l'hémisphère nord. Déjà bien entamé par la nocivité croissante de l'emprise des merdiats, le niveau intellectuel et culturel de la plèbe va plonger sous l'action d'un métissage généralisé à l'ensemble des couches basses et moyennes de la société.

(Dans les hautes sphères, la tendance déjà observée de nos jours est plutôt à l'eugénisme. Faites un tour dans les mal nommées rues basses de Kalvingrad, en particulier les jours où les clinquantes boutiques font la fête : vous ne croiserez jamais nulle part ailleurs plus de blondes sculpturales dépassant le mètre septante-cinq.)

Structure sociale complexe + haut niveau de technicité + population toujours plus crouillo-négroïde, vous voyez le résultat de l'addition ? Effondrement technologique puis démographique. Autant espérer qu'un train de marchandise arrive à destination avec un bonobo au volant, fut-il excellement dressé. Les usines qui ne tournent plus. Pannes d'électricité à l'échelle de régions entières. Plus rien qui n'est entretenu de manière à durer. Le bidonville comme modèle d'organisation sociale majoritaire. Le crétinisme généralisé - avec ça et là des petits kibboutz de luxe réservés à ceux qui auront eu la cruauté et la discipline nécessaires à maintenir leur lignée et leur niveau d'origine.

Dépopulation faute de savoir/pouvoir soi-même tuer sa viande et faire pousser ses patates. Le rythme d'épuisement ressources non-renouvelables qui chute faute d'individus capables d'organiser le pillage actuel ou d'imaginer, mettre en place et faire durer les structures indispensables de son accomplissement. Un cercle vertueux de décroissance initié par la pire décision possible en matière de préservation culturelle.

La planète sauvée par la négrification générale.

Et il s'en trouve encore pour s'étonner que les écolos paraissent finalement plus obsédés par le ouacisme que par la lutte pour la sauvegarde de toutes les espèces autochtones.

07/10/2013

LA MANDALE SOUVERAINE DE LA REALITE

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I love when this happens to liberals. They start out on a crusade and get slapped in the face with reality. They rail against hate speech and get stuck with blacks being anti-Semitic. They push diversity and are left with Muslims performing female circumcision. They pretend the gay lifestyle is just like ours and have to stomach the huge percentage of rent boys who are underage. If you are truly worried about gun deaths in America, go where the death toll is highest—the ghetto. It’s not dads buying their son a .22 for his birthday. It’s black kids without a dad using an illegal gun to settle a score in a drug battle. The epidemic isn’t guns. The epidemic is the decay of the black family. Almost three-quarters of them are raised by single mothers. One of the reasons behind this is the brutal incarceration rate black men either endure or subject themselves to. Black kids aren’t in danger of being shot by George Zimmerman. They’re in danger of being shot by black kids. This doesn’t fit the Times’ narrative, however, so they stick a bunch of white kids on the page and use a mother’s tears to push their agenda.



01/10/2013

MAURICE

C'est aujourd'hui l'annif' à Bardèche. Pas sûr qu'on en trouve mention sur la fafosphère francophone. Allez donc lire ce qu'en disent les Yankis qui le découvrent petit à petit.