02/12/2013
L'INSTINCT TRIBAL
Le plus souvent très isolé du fait de ses convictions, le faf se retrouve à chercher la compagnie de purs cinglés pour la mauvaise raison qu'ils paraissent avoir les mêmes lectures que lui. La déglingue de la droite radicale diffère de sa version ultragauchiste essentiellement par le style : plus propre à l'extérieur, cette race de tarés est tout aussi ravagée à l'intérieur, et son intégration sociale est plus délicate encore, parce que le faf ne dispose pas, lui, de squats où tenter d'oublier entre comparses le déséquilibre pathétique de son quotidien.
On traîne dans ce milieu quelques années, le temps nécessaire à s'en dégoûter pour la vie, et on reprend sa route hagarde. Pour beaucoup, ça suppose se rapprocher de ce qui semble être le moindre mal : la droite traditionnelle. Après tout, la défiance à l'égard de l'Etat y est forte, de même que le mépris pour les crasseux à tam-tams, et après quelques coups de blancs les blagues ouacistes déclenchent souvent des rires complices. Avec la fatigue des excès de jeunesse, on peut devenir assez cynique pour y creuser son trou. Mais il faut pour cela avoir tué en soi toute naïveté et tout romantisme, ces deux élans fondamentaux sans lesquels on ne serait jamais venus à l'ivresse nationaliste. Et le cynisme, ça ne s'improvise pas, il faut né pour, à la limite.
L'indolence et le coma sont la pente naturelle de la plupart d'entre nous, l'état de stagnation qui nous menace quasi tous tôt ou tard - mais pas l'amertume et le pragmatisme poisseux. Peu d'élus dans les rangs des véritables saloperies vivantes, ce qui est somme toute un motif d'espoir.
Dans le même temps, il arrive que l'on croise des individus dont les convictions professées nous heurtent, mais avec qui l'on trouve bien plus de terrains d'entente qu'avec les prétendus "alliés naturels" vers qui nous pousserait une grille de lecture strictement politicarde.
Entre un punk à chien moins con que la moyenne et un diplômé d'école de commerce truffant ses phrases d'anglicisme, le choix me semble assez vite fait. Surtout si ce dernier a les cheveux longs bien soignés et une cravate.
Voyez tous ces gauchiasses pauvres, qui ne votent pas socialiste, et qui donnent à leurs enfants des noms évoquant un siècle disparu, amoureux des petits troquets qui ont résisté à la gleichaltung urbaniste déshumanisée, chez qui on entend toujours un air d'accordéon, amateurs de petits pinards locaux... Un ouvriérisme dérisoire les a menés à un style de vie que le patriote enraciné ne peut que plébisciter. Leur pourquoi est abject, mais leur comment ? Il aurait pas une gueule cousine du nôtre, des fois ?
In fine, tout, mais alors absolument tout revient à la notion de clan.
Untel a-t-il ou non le sens de la famille ? Répondre à cette question, c'est en régler cent autres : tient-il sa parole, peut-on compter sur lui en cas d'embrouille, est-il un membre honorable de la "communauté nationale" au sens où nous l'entendons, etc.
Le discours affiché, les valeurs invoquées, le nombre de bouquins "illégaux" bien en évidence dans la biblio, pipeau que tout cela. La famille, tout est là. Quel rapport a-t-on avec la sienne, a-t-on relevé l'insane défi d'en créer une soi-même, tient-elle un minimum la route, quelle place y occupe-t-on, s'est-on vraiment arraché le cul pour la prendre et la conserver...
Voilà l'outil de tri tout bête, bien con, superbement banal, bourgeois en diable cracherons certains... qu'on aimerait bien voir à la tâche, des fois qu'ils s'y cassent les ratiches... Des fois que ce serait même cette certitude qui, tout au fond d'eux, les pousse à lever le nez avec morgue pour se donner une contenance... See if you can make it like the others do...
Je ne donne pas de leçons et ne m'érige pas en exemple, me contentant de divulguer un truc tout bête qui m'a été bien utile ces dix dernières années. Il m'en aura fallu quinze, de gaspillage obscène de ma jeunesse et de mon énergie avant de trouver celle, fondamentale, de m'attaquer à ce foutu chantier, le seul qui compte vraiment. Mais avoir signé est une chose, d'une autre monde que de l'assumer jusqu'au bout. Je ne fais pas le malin.
Le vrai résultat du test ne sera pas publié avant les environs de 2030, date à laquelle beaucoup d'entre nous ne serons plus là pour en prendre acte.
Pour notre génération de patriotes, se réconcilier avec ses instincts naturels et tenter de se plier vaille que vaille à leur loi est peut-être le sommet de ce que nous pourrons accomplir. Un saut par-dessus soi-même, par-dessus le désespoir, la fatalité, la dénatalité ambiante, la rationalité qu'invoquent en ne plaisantant à moitié ceux qui n'ont pas voulu de cette renaissance à plusieurs.
22:08 Publié dans Autopsie de la Dissidence, La Zone Grise | Lien permanent | Commentaires (1)
18/11/2013
EQUILIBRE et autres notes quelconques
Le sordide suit l'humain comme l'odeur de transpiration, qu'importe les progrès de l'industrie cosmétique.
S'en offusquer, c'est avoir le cuir trop tendre; s'en accommoder, l'avoir trop sec.
Toute la dignité de l'individu peut se juger à sa position entre ces deux pôles. Il est très faux - très réaquement faux - de croire que notre époque rend plus difficile qu'une autre ce numéro d'équilibriste; mais il est tentant est facile, pour nous autres romantiques refoulés, de nous en convaincre contre toutes les évidences.
Cette conviction particulière justifie toutes les autres, hélas. C'est pourtant la même odeur, quand bien même l'étron serait différent. Tout ce qui a véritablement changé sont les outils qui permettent à l'industrie de précipiter l'homme vers la fange à crédit, et à l'Etat de traquer ses sujets à leurs déjections.
Pour le reste, rien de fondamental n'a changé depuis des millénaires. Certes, la race blanche et la culture européenne s'éteignent sous un déluge de chiasse, dans une atmosphère de carnaval porno funèbre évoquant les dernières lignes de L'Ecume des jours, et c'est ennuyeux pour un vrai patriote (quiconque croit mériter ce titre et affecte de faire sous lui quand accusé de ouacisme est une panosse). Mais à l'échelle planétaire, c'est vrai que ça fait un peu dérisoire.
Heureusement, aucun individu, si cosmopolite qu'il se veuille, n'est justement "à l'échelle planétaire". Au mieux, pour les ceusses qui se piquent de priver les vers de viande, peut-on répandre ses cendres à l'échelle d'une ou deux communes et puis basta. Ca ne paraît trivial qu'aux
* * *
Sophie Coady, dont j'apprends l'existence, mérite d'être officiellement répertorié au patrimoine de l'aryanité (mais je crois que l'Unesco n'a pas le temps de s'en occuper). Une objection ? Donnez vos yeux à des Serbes qui en ont besoin (1) , ou réfléchissez enfin à faire votre cominguaoute. Dans les deux cas, vous vous sentirez mieux.
(1) Oscar et Grand Prix du Public pour le rire le plus laid et le plus forcé de la décennie. On a connu des orgasmes feints avec plus de conviction dans des films de boules bulgares à trois levs de budget.
* * *
Les Rolling Stones ? Oui mais comme ça, si ça ne vous dérange pas trop :
21:28 Publié dans De quoi j'me merde ?, La Zone Grise, Marées Noires, Survie musicale zonarde | Lien permanent | Commentaires (2)
17/11/2013
"...N'ACCEPTE PAS QU'ON LA LUI SERVE"
Je n'ai pas l'honneur de connaître Maître Bonnand, et ne suis donc pas au clair sur ses opinions politiques et sa vision de l'effondrement de la civilisation européenne - si tant est qu'il en ait. Mais à ne retenir qu'une seule chose de lui, je choisis son dernier billet dans La Matin (17 novembre) qui, à la manière douce et ferme d'un gardien prévenant, renvoie dans sa cage la guenon sous acide qu'une improbable Armée des Douze Singes avait laissé sortir.
Le tam-tam provoqué par un récent article de Minute dicte mon propos. Ici ou là, d'une possible mauvaise foi.
Nous sommes, nous Suisses, ignifuges. Hélas, peut-être...
Les Français, eux, révolutionnaires inconsolés, s'embrasent d'un rien. Même la trivialité les porte à l'incandescence.
Il ne faut pas méconnaître la nécessité pour un exécutif, légitime mais indigne, d'un pays exsangue et sous haute tension sociale, de faire diversion. L'invocation des grands principes et des "valeurs républicaines" est une incantation. Un appel au drapeau...
Mais au-delà de cette nécessité politicienne, un débat de fond surgit qui importe.
Minute consacre à Mme Christiane Taubira un texte... résolument élogieux.
Ainsi le journal salue-t-il l'esprit inventif de la Gardienne des Sceaux, son sens du mouvement et de l'adaptation, son intelligence en un mot. Elle est dite "maligne comme un singe". Réservé à un "Arian" (sic), le jugement serait réputé flatteur.
L'icône de la gauche progressiste se voit aussi reconnaître la maîtrise des règles de notre modernité, qui veulent que l'on se dise victime pour rassembler. La compassion nous tient lieu de pensée; notre réflexion se réduit à la sympathie et s'y épuise.
La victime est le seul et dernier héros de nos temps délétères.
Enfin, Minute de se réjouir du retour en grâce, après quelques turbulences, de la Grande prêtresse du mariage recto, par une formule familière et argotique, mais attestée, "Taubira retrouve la banane."
Mots pernicieusement choisis...
Que Minute n'a-t-il écrit que Mme Taubira était "rusée comme une renarde" et qu'elle avait retrouvé "la pêche"...
Nous n'aurions pas entendu le premier ministre français, soudainement matamore, dire, d'une voix qui chevrote, que sa main, elle, ne tremblerait pas et qu'il châtierait les rebelles à la bien-pensance régnante.
L'injure raciale ne passera pas.
Un singe... une banane, c'est pour les ignorants, l'Afrique.
Or, Mme Taubira est d'origine guyanaise et d'apparence mélanine. Sa singularité exige une sollicitude particulière. Les métaphores et le vocabulaire communs lui sont une offense et toute référence, même allusive, à sa race, par quoi il faut entendre sa lignée, devient infraction.
Le ministre, lecteur d'Aimé Césaire, revendique sa négritude, mais n'accepte pas qu'on la lui serve.
La notion de race concourait à définir l'identité. L'essence. La race, c'était le roman des origines, le récit des mythes et légendes fondateurs, une religion souvent, une langue et une culture toujours. Un héritage. Une verticalité qui nous détermine...
Le concept est aujourd'hui récusé.
La race n'existe plus. Le mot même devrait être à l'initiative de la gauche rayé de la Charte fondamentale française.
Les races n'existent pas, mais le racisme existe. Aporie qui voit l'antiraciste consacrer la notion de race que par ailleurs il nie et pourfendre... ce qui n'est pas. Don Quichotte dérisoire et inutile : le vent des moulins reprend toujours ses tours.
Le racisme n'est pas une opinion, aventure Jean-Marc Ayrault, mais un délit.
Oui... un délit d'opinion.
La loi porte ainsi atteinte à la liberté de penser et d'expression. Le pouvoir nous intime de penser droit. C'est-à-dire à gauche. Violence inacceptable.
Le racisme est légitime, s'il n'est que le constat de ce qui différencie les hommes. Ce constat fait, ni l'intelligence, ni le coeur ne peuvent renoncer à conclure. Ils élisent ou rejettent. Parce qu'ils choisissent, ils discriminent.
Certes, nous sommes tous descendants de tel ancêtre de Lucie. Ou d'Adam. Nous sommes les héritiers de Sem, de Cham et de J'affaire (sic).
Mais nous ne sommes que des cousins. L'idéologie dominante nous voudrait frères... Mieux, jumeaux monozygotes. Egaux et indifférenciés. Poisseux de l'Autre que nous sommes de surcroît sommés de respecter et d'aimer.
Obligation répulsive pour toute intelligence exigeante que le coeur n'adultère.
20:31 Publié dans Autopsie de la Dissidence, La Zone Grise | Lien permanent | Commentaires (2)
07/10/2013
LA MANDALE SOUVERAINE DE LA REALITE
I love when this happens to liberals. They start out on a crusade and get slapped in the face with reality. They rail against hate speech and get stuck with blacks being anti-Semitic. They push diversity and are left with Muslims performing female circumcision. They pretend the gay lifestyle is just like ours and have to stomach the huge percentage of rent boys who are underage. If you are truly worried about gun deaths in America, go where the death toll is highest—the ghetto. It’s not dads buying their son a .22 for his birthday. It’s black kids without a dad using an illegal gun to settle a score in a drug battle. The epidemic isn’t guns. The epidemic is the decay of the black family. Almost three-quarters of them are raised by single mothers. One of the reasons behind this is the brutal incarceration rate black men either endure or subject themselves to. Black kids aren’t in danger of being shot by George Zimmerman. They’re in danger of being shot by black kids. This doesn’t fit the Times’ narrative, however, so they stick a bunch of white kids on the page and use a mother’s tears to push their agenda.
08:29 Publié dans La Zone Grise | Lien permanent | Commentaires (0)
15/08/2013
PAS D'AMI NOIR ? LOUEZ-EN UN
Nous savons tous à quel point il est frustrant de mener une existence qui ne ressemble pas à ce que nous enseignent la pub, les sitcoms et les holivouderies : pleine de Diversité ethnique certifiée Citoyenne. On a beau s'échiner, protester de son ouverture, trouver Venus Williams incomparablement plus bandante que la première blanchette venue, rien n'y fait: on n'est entouré que de pâlichons. C'est à peine si on peut compter une vague connaissance homo, alors se prévaloir d'un Nègue ! Vous pensez bien... Et pourtant, quel avantage ! Quel coup de viagra au statut social ! "MON ami blaque", c'est sûr que ça claque...
A Los Angeles, on a bien compris tout le potentiel de la chose. (Signalé par Amren)
18:38 Publié dans Chez les boniches de la Zone Grise, La Zone Grise | Lien permanent | Commentaires (11)
21/07/2013
SAINTE COLERE
Give the feminists an inch, and they’ll take the whole yardstick, beat you to death with it, then claim it was your fault.
This is why the manosphere is harsh, confrontational and provocative: because being provocative is the only way to get our message heard. It’s because the feminists treat guys like me and their supposed allies like Warren Farrell—guys who spent the better part of their lives fighting for women’s rights—with the same cruelty and amorality. It’s because waving a flag of truce at an enemy who doesn’t want to compromise is a waste of time.
Trying to find common ground with feminists and the left in general is pointless because they will always throw you overboard for being insufficiently progressive. Be angry, and take pride in your anger; despite what you’ve been told, it’s a perfectly normal reaction to how you’ve been treated in life, and it’s one of the best ways to get your point across.
09:27 Publié dans Autopsie de la Dissidence, La Zone Grise | Lien permanent | Commentaires (3)
14/07/2013
DISORDER
Je conserve quelques souvenirs très nets de 1992, et de ce pauvre Nouâre massacré par d'immondes flics blancs à Los Angeles. Le fait qu'ils étaient ouacistes, et que c'est pour cela qu'ils avaient passé à tabac le malheureux, sympathique et bien entendu innocent Rodney King, ne faisait aucune doute pour moi, ni pour personne de raisonnable d'ailleurs. D'après son avocat, certains de ses os avaient pris la consistance d'une poudre. Frisson de dégoût. Et d'indignation ahurie lors de l'acquittement des quatre tortionnaires fâchÿsztes. Emeutes. Des dizaines de morts. Des millions de dégâts. Ambiance de guerre civile. Tout ça est, certes déplorable, mais parfaitement compréhensible, s'pas ? L'homme Nouâre a sa dignité après tout et on ne badine pas avec le ouacisme.
A présent que le méchant presque-blanc-légèrement-latino-sur-les-bords Zimmermann échappe à la taule grâce à la complicité manifestement ouaciste de six gonzesses sans aucun doute encartée à la NRA (*) on pourrait imaginer un scénario similaire. Ca égayerait l'actu de l'été. La flicaille de Miami s'y prépare activement. Des affrontements hispano-blaques sont relativement improbables, puisque tout ça, c'est la faute des toubabs et des armes à feu achetées légalement par ces derniers, vous l'avez bien compris.
Innocenté, l'ami Homme-de-chambre reste une ordure: "vigile autoproclamé", glaviote Le Monde, pas même certifié ISO 9001, n'ayant jamais suivi le moindre stage de formation, contrairement aux flics de 92, eux aussi colossals salauds, comme quoi ça ne change pas forcément grand-chose. Obanania, qui avait moralement adopté le petit merdasson à capuche étalé par l'assassin, doit avoir triplé sa consommation de klinexes.
(*) Ravie que le Mot Du Mal soit illégal en ex-France, la presse francophone n'a pas de scrupules exagérés à fournir des stats raciales lorsqu'il s'agit d'excuser les comportements aberrants des Saintes Minorités. Un Nouâre condamné à quoique ce soit ? Aha ! Ca sent le ouacisme ! Vérifions donc l'ADN du jury ! On découvrira bien vite que, bien que les races soient un mensonge hitlérien qu'a-bso-lu-ment RIEN de scientifique ne corrobore, la justice "des blancs" est par nature injuste et cruelle avec "les noirs". Amis des contorsions idéologiques et des hernies mentales, bien du plaisir.
09:01 Publié dans La Zone Grise, Survie musicale zonarde | Lien permanent | Commentaires (3)
09/07/2013
UN CRAN PLUS LOIN
Il y a d'un côté la tentation de se réjouir du spectacle d'un rappeur musulman afroyanki, se soumettant de son plein gré (encore que les capacités cognitives d'un tel bestiau soient sujettes à la plus grande caution) à une abominable séance de torture. Ca rejoint un peu le plaisir malsain qu'on peut imaginer tirer de la guerre civile égyptienne, sur l'air de Pour une fois qu'ils se bouffent entre eux. Vous voyez le genre, glauque.
C'est justement la glauquitude de la chose qui retient d'en rire trop grassement. Je ne suis pas allé au bout de la vidéo et m'en veux de m'être seulement laissé tenté à cliquer, pensant me payer une marrade digestive. Mais on est loin de la déconnade à la Jim Rose Circus. La chose n'est pas drôle. J'ai peut-être trop tiré sur ma réserve d'ironie et de second degré, allez savoir. Qu'un simien probablement richissime et juste assez instruit pour lire des bribes de l'alcoran se prête à cette macabre bouffonnerie ne m'amuse pas.
Trois aspects de ce happeningue me défrisent en particulier. Le fait que c'en soit un, tout d'abord. Le gros con a certes payé de sa personne, mais dans la même mesure qu'une Belladonna ou une Sasha Grey, qui elles au moins font semblant d'aimer ça. Ayant loupé la fin, j'ignore s'il a seulement été capable de couiner un petit Allah est plus grand que mon oesophage. Je lui laisse le bénéfice du doute. Reste qu'on a affaire à de la pornographie, à un gonzo sans sexe bien cradoque.
En second lieu, et c'est peut-être un peu rassurant quant à ma capacité de m'émouvoir encore face à des images vraiment trop avilissantes, le fait que la grande presse joue le jeu de ce porno social est vraiment écoeurant. Au sens nauséabond du terme, vous savez, ce pauvre adjectif qui ne sert plus qu'à signaler au lecteur distrait qu'il lit en Z une dépêche parlant d'un faits divers impliquant une croix gammée. Il est réellement enrageant de voir la presse ne nous parler que du cul de telle starlette trépanée à chaque numéro, pour mieux nous faire le coup de la pas-si-conne-que-ça-redoutable-femme-d'affaires une semaine plus tard. Une pute reste une pute, un maquereau reste un maquereau, et le gribouilleur qui les glorifie sous couvert de cynisme bidonné devrait s'amputer les phalanges de honte. Avec cette campagne, nos journalopes nous font passer un petit cran plus loin dans la désensibilisation, l'abrasion des sens, l'engourdissement par overdose de laideur.
Et puis, cerise de chiasse sur le gâteau merdeux, il y a le puritanisme abject de la démarche. Pas gratuit, tout ça, le but est de vous bousculer, de vous interpeller, de vous forcer à réagir alors que la prétendue famille, les faux amis, les vraies larves de collègues et les véritables enculés de supérieurs hiérarchiques se chargent assez de vous puriner les recoins de votre existence miraculeusement abrités du ventilo à étrons médiatique. Une organisation néo-gouvernementale est là-derrière, on vous l'explique bien vite. Tout ça, c'est pour vous montrer ce qu'il se passe à Guano-de-Moineau, la méchante prison de Bush fermée par Saint Bâtard, enfin presque.
Ca, c'est c'est le petit couplet articulé par les blanchouilles à dreadlocks, toujours pas remis de ne pas pouvoir s'autoriser à haïr le président des Stazunis parce que ça serait nazi. Le contrepoint est assuré par le coeur des pleureuses du désert, le citoyen Dante Terrell Smith en tête, qui a voulu se payer son moment de gloire christique en solidarité avec ses frères exotiques à jihad portatif. Il en a bien chié ? Vouiche. Et après il a remis sa panoplie de proxénète, ses huit cent grammes de cailloux brillants, il est remonté dans sa septième bagnole et est retourné se taper de l'ukrainienne de luxe avec les liasses qu'il a gagnées en imitant Greystoke devant des parterres de sous-mongoliens. Je ne crois pas qu'il ait dorénavant choisi de dormir dans une cage.
Solidarité à usage unique. Ca claque.
21:34 Publié dans Chez les boniches de la Zone Grise, La Zone Grise | Lien permanent | Commentaires (4)
08/07/2013
BONDIEUSERIES
Posté sur une liste de diff' rassemblant de mauvaises personnes. Il était question du christianisme et de son rôle dans l'actuelle implosion sociale, culturelle et raciale européenne. Tout est bien entendu parti du numéro de clown d'un certain François à Lampedusa - un événement qui aurait semblé exagéré dans Le Camp des Saints... Aux tradis postulant que le continent ne saurait être autre chose que chrétien, répondaient ceux pour qui on était déjà passé au stade "post-". Ma lumineuse et indispensable contribution sur la question :
Je ne vois qu'une façon digne d'être chrétien de nos jours: faire sécession spirituelle avec toutes les instances officielles de l'église, qui à de trop rares exceptions près sont exactement soumises à la Correction et engagées du côté du Grand Remplacement. J'imagine que c'est la façon contemporaine de rendre à César... Les protestants sont certes à l'avant-garde, mais j'ai connu aussi des cathos tradis qui auraient mille fois préféré voir leurs filles se faire troncher par des nègres baptisés que par des "païens" leucodermes.
C'est un fait, la chrétienté est attaquée, salie, emmerdolée quotidiennement par le Spectacle, les youtres, les bolchos, et les métissocrates qui estiment que la négrification ne va pas assez vite. Ca peut donner à penser à un croyant sincère que sa foi est naturellement du côté de la résistance à tout ce fleuve de chiasse qui entend nous submerger. De fait, les familles pratiquantes paraissent plus solides, les communautés bien organisées pourraient bien être les dernières à être debout, et on trouve plus de gens fiables, cultivés et orientés long-terme chez les théolâtres que chez les théophobes. Demeure un putain de constat : du pape au dernier cureton de village, la défense de la civilisation occidentale n'est pas très vigousse, quand on ne prône pas carrément sa destruction, parce qu'on le confond avec l'empire des banques, de la pornocratie et du relativisme.
Post-chrétien, l'Occident ? Je demande à voir, par contre. Même les agnostiques ont, quand on touche à leurs convictions, un comportement de prédicateurs hallucinés. Notre éducation, notre vocabulaire, notre comportement, tout est marqué par ces deux millénaires de présence chrétienne en Europe, qu'on le veuille ou pas, et ceux qui la refusent bien plus encore que ceux qui l'ignorent...
Les arguments nitzschéo-paganos sur la nocivité de la doctrine ? Mouaif: l'institution de la chevalerie tend à les affaiblir brutalement. Des siècles durant, on a pu lire la bible en latin sans que ça démotive à massacrer de l'infidèle (quitte à ce que ce soit le type de la vallée d'à côté) ni que ça incite outre mesure au suicide ethnique. Si les Romains ont planté de la vigne partout où ils sont passé, je crois bien qu'elles auraient dépéri si on n'avait pas incorporé le pinard au rite de la communion.
Je n'aime pas du tout la tendance de certains natios à vouloir expurger de notre passé tout ce qui peut être vaguement chrétien. Mais les cathos qui n'ont pas compris que leurs prêtres sont passés du côté des collabos sont encore moins supportables.
Finalement, j'ai un peu le même sentiment face aux biblistes que face aux joyeux. Se faire ramoner le cul ou croire qu'on mange un biscuit où que y a du Dieu dedans, ça me dérange pas plus que ça tant que c'est discret. Mais force est de constater que les têtes pensantes des deux communautés font partie du mouvement qui vise à l'éradication du mâle hétérosexuel blanc.
* * *
Rien à voir, pour se décrasser les zoreilles
18:42 Publié dans Autopsie de la Dissidence, La Zone Grise | Lien permanent | Commentaires (4)
28/04/2013
TIME IS NOT MONEY
Incarnation du rêve, du bonheur et de la classe, Occident, années 1400 de l'hégire
Le processus de gentrification de l'axe lémanique se poursuit dans la bonne humeur. Du bout du lac à Lausanne, comptez minimum un million pour un appart, le double pour une maison de 150 m2 (Habiter, printemps 2003) Mais de quoi se plaint-on ? En priant ces porcs d'autochtones fauchés d'aller crêcher en France voisine, l'Etat s'enrichit en attirant les grosses fortunes, et l'Etat, en démoucrassie, c'est nous, hein? Je m'enrichis, c'est süpaire. Et puis ça crée de l'emploi, la preuve :
Le Temps nous apprend ainsi la création à Calvingrad d'un club de rencontres pour gros friqués. Cotise de base: dix mille balles. Tristesse fabuleuse du truc expliquée par la fondatrice de la chose, blonde quadra sans enfants :
«Nos membres n’ont pas un profil type. Il y a des médecins, des hommes d’affaires, des avocats, des chefs d’entreprise, des photographes, des actrices, c’est très varié. Mais leur dénominateur commun est souvent d’être «cash rich, time poor» [riches en argent, pauvres en temps].»
C'est presque systématique: quand un fauché vous parle de ses glauques rêveries de fortune, un laid et gras cliché monte à la surface de son fangeux discours : Je veux plus devoir réfléchir à l'argent. L'essentiel à retenir étant bien entendu : Je veux plus réfléchir. Ce qui suppose, prétention chuptzesque, que c'est quelque chose qu'il fait souvent, en y mettant du coeur. Leaullons en choeur.
Belle performance de la part de MTV, M6 et de tout le réseau d'égouts cathodiques : avoir promu l'image d'une richesse insouciante, le mental de Donald pour la piscine à fric de Picsou (Oncle Jérémie, à l'origine, la bédé c'est nazi), pouvoir se permettre tous les caprices, les coups de tête les plus déraisonnables, ne jamais calculer que dalle. Il est bien connu, en effet ! que les gens de la haute dépensent sans compter, sont d'une générosité folle, toujours prêts à filer mille balles aux potes en délicatesse. Voyez le pognon monstrueux dont Monsieur Ikéa, vieux faf, arrose les mouvements natios de Suisse ! Je vous dis pas la qualité de la soie dans laquelle on pète grâce à lui, un régal.
Si on résume, nous avons donc des working poors cons à manger des cailloux, et des working riches à qui des montagnes de biftons ne permettent pas de se dégager assez de temps pour tenter l'aventure semi-suicidaire d'une famille à peu près stable. Si le luxe c'est l'espace, alors la fortune c'est précisément du TEMPS. La possibilité de choisir quel jour on bosse et quel jour on n'en fout pas une. Le privilège de pouvoir lever le pied quant au boulot, histoire de trouver de quoi mettre quelques héritiers en route.
L'apparition de ce service démontre que bien des gros bourges sont, finalement, aussi seuls, largués et débordés que nous autres, petites mains et valetaille. Ca vaut bien la peine, et c'est vrai que ça file une envie irrépressible de gratter un ticket d'euromyhon.
16:46 Publié dans La Zone Grise | Lien permanent | Commentaires (12)
23/04/2013
LA HAINE OU LE MEPRIS
Une belle friandise, grasse, douce et croustillante à souhait, signalée par de la Souche chez Libé.
Trop facile, trop évident, un péché de gourmandise, je craque !
Et l'indigestion me donne des visions : demain, tous les paydays qui voudront survivre seront au minimum de droite dite "décomplexée", celle que leurs prétendus porte-parole vomissent encore actuellement. Façon femme battue qui insulte le voisin qui appelle les flics, écoeuré de l'entendre gueuler de l'autre côté du mur.
Pas que je croye qu'il n'y a pas, à droite et très très à droite, le contingent plus que nécessaire de bougres. Mais à part un Gripari ça et là, ils (j'ai pas dit "elles", félicitez la maîtrise de soi) auraient comme tendance à se faire discrets. Ou du moins, ce qui est le minimum qu'on en attend, ne pas faire de leur cul un étendard.
Sodomilitants, qui ne me lisez pas et vous avez bien raison, il faudrait vraiment que quelqu'un vous explique ceci, quelqu'un qui a votre confiance, qui a prouvé qu'il ne vous veut pas du mal MAIS qui ne vous passe pas toutes vos putains de lubies. Moi, ça ne sert à rien. Mais j'ai une demi-heure à tuer avant la prochaine corvée, je vous la consacre. C'est pas gué-freine-de-lit, ça, Madame ? La vérité !
Vous semblez nombreux (j'ai pas dit "nombreuses", ovationnez) à croire sincèrement que la droite, toute la droite, vous en veut par nature et que la gauche est votre famille politique naturelle, la seule où on vous foute la paix. Pour faire plus faux et ridicule, il faut s'imaginer qu'Ariel Sharon va sortir de son coma pour se faire salafiste.
La gauche est métécocrate depuis trop longtemps pour espérer jamais changer. Sa nouvelle classe ouvrière, c'est le lumpen des bas-fonds de la planète. Tout son programme, au-delà des contorsions idéologiques et des plans quinquénaux, a été résumé par Sartre quand il parlait, chez Fanon, d'abattre un Blanc pour libérer un bronzé. La gauche, c'est l'expiation du péché colonial, l'obsession d'inverser la tendance historique, dégager le toubab fatigué d'un podium qu'il ne veut plus occuper, et faire rois ses anciens esclaves. Le reste est fioritures.
Or, est-il besoin de vous faire un topo sur la popularité de vos moeurs auprès du Sparkatus afro-arabe ?
Là encore, pas de foutaises: on y agrandit le cercle de ses amis ni plus ni moins qu'ailleurs. Mais on le fait avec des risques plus considérables que de choper des maladies pas propres. On peut finir accroché à une grue, ce qui est un peu plus désagréable que de se faire regarder de travers.
Ces moeurs indélicates sont importées par canadairs entiers en Europe. La responsable logistique de ce transfert massif, c'est cette gauche que vous imaginez encore de votre côté, parce qu'elle prétend vous permettre de jouer au papa et à la maman. Pour complaire aux plus déséquilibrés d'entre vous, c'est toute votre communauté qu'elle met en danger, un danger très réel, clair et immédiat. Vous savez parfaitement ce qui est plus dangereux pour vous : une soirée avec des supporters hétéros avinés et bourrins, ou une promenade nocture dans un quartier populaire, jeune et vibrant de Diversité.
Les réacs ne vous aiment pas et vous donnent de vilains noms. Les Divers ne crachent pas forcément sur vos services, mais leur phobie prend une tournure autrement plus radicale.
Faf incurable, je vous l'affirme : personne de raisonnable partageant mes quelques convictions ne souhaite vous scalper, vous rééduquer, vous coudre à vif une étoile rose sur la couenne. Vos moeurs nous heurtent, ne nous mentons pas, mais de là à vous forcer d'en changer, ou à vous en guérir à coups de parpaings ? Nous ne sommes - hélas, peut-être - pas si cinglés que ça. Nous ne demandons qu'un peu de décence et de discrétion. De votre part comme de celle d'un couple bien hétéro, encore puceaux à la trentaine et qui, avec un coup dans le nez, se tripote obscènement sur le canapé en se foutant du reste des invités. Pour le reste, nous sommes très disposés à vous foutre la paix. Parce que, de nos jours, c'est cela un nazi: un type normal, tranquille, qui veut bien foutre la paix à tout le monde, et qui se retrouve à accumuler des armes parce que, à lui, on ne fout pas la paix justement, parce qu'on exige de lui repentance héréditaire, acceptation de l'inacceptable, tolérance du dégueulasse, recul et respect de ce qui lui fout la gerbe.
Cette nausée existera toujours. Le plus acharné des progressistes, la ceinture noire de relativisme, le contorsionniste de la tolérance, crachera toujours un brutal et sonnant "pédé" au malotru qui lui grille une priorité, s'offusquera qu'on doute de sa virilité en le traitant de tarlouze. Aucune rééducation, aucun procès, aucune surveillance 24/7 n'y changera quoique ce soit. Différents de la norme, par nature ou par choix, le mépris vous suivra éternellement. Certains s'en sont faits une gloire. D'autres s'en tapent. Il arrivent que d'autres encore craquent et finissent par se défenestrer. Il ne s'agit pas de minimiser ces souffrances, mais d'affirmer qu'elles seront infiniment pires dans le monde dont rêvent les bolchos qui prétendent lutter pour vos droits. Vos représentants officiels, qu'on ne saurait trop vous recommander de museler pour votre propre sécurité, ne veulent pas du respect et de l'égalité. Ils veulent de l'amour inconditionnel. Ils veulent qu'on leur passe ce qu'on ne passerait à personne. Ils veulent les bénéfices de la déviance, une déviance revendiquée, sans passer à la caisse.
Seul nazebroque de tout mon entourage ou peu s'en faut, croyez bien que ce que je vis peut m'aider à piger votre quotidien. Entre la réputation du ouaciste et celle du payday, la plus enviable n'est pas celle que vous pensez. J'essaie de vous tirer des larmes ? Nenni. J'illustre : sans renoncer à rien de ce que je suis et crois, je dois, pour conserver un salaire et éviter des poursuites, mettre quelque peu ma foi en sourdine. Personne ne se fait la moindre illusion à son sujet, mais aussi longtemps que je ne fourre pas des tracts sous le nez des gens, on ne m'en fait pas grief. C'est un statut de pestiféré mondain, de lépreux emballé sous vide. Ai-je besoin de vous dire qu'on s'y fait ? Vous connaissez ça par coeur.
La décomplexion de l'homophobie, la banalisation de l'asticotage voire pire, est non seulement le fait majoritaire de métèques d'importation récente, mais aussi et surtout une conséquence de l'homocratie gauchiste. Socialopes et maoïstes du Rotary ont cru bon de vous draguer en faisant des plus tordus d'entre vous les symboles, les représentants, la moyenne de toute la communauté. Dans leur discours, par leurs actes, dans les échos que leurs larbins médiatiques, la folle est devenue la norme. Nous voilà sommés d'applaudir la plume dans le cul et les froufrous dont, si ça se trouve, vous ne voulez pas plus que nous, bourrins hétéros.Mais ne pas applaudir aux extravagances les plus glaireuses, c'est vouloir vous Ochouitzer par paquets de mille. Dixit la Correction.
Dans un Occident toujours plus Divers, vous allez tenir une forme éclatante ! A force de devoir courrir pour échapper aux mamours Citoyens des Divers, vous allez perdre tous ces kilos en trop et vous faire des fesses d'acier. Profitez-en à fond et dites-vous bien que c'est tout ce que vous avez à y gagner.
08:31 Publié dans Chez les boniches de la Zone Grise, La Zone Grise | Lien permanent | Commentaires (6)
16/04/2013
PREDISONS L'AVENIR AVEC DESABUSION
Un post sponsorisé malgré lui par Ali Razeghi, Euphrate de la pensée scientifique iranienne, pompé chez AmRen, et qui concerne le final pyrotechnique du marathon de Boston:
* If the doer is a white right winger, the media will run with it for weeks, and the SPLC will raise money.
* If the doer was Muslim/AQ, the media will slowly stuff it under the rug, and our Federal government will react in a way that's at best 1% right 99% wrong, and you can bet that not granting student visas to young Muslim men from questionable countries will not be part of what we do. And they'll refuse to define this act as "terrorism," or if they'll do, it will be painful for Official America to say that word.
* If the doer was black, we'll be told that he had to do it because he was a victim of white racism.
* If the doer was Hispanic, we'll be told that it's our fault for not passing "comprehensive immigration reform" by now, and that he was upset that Mitt Romney once used the phrase "self-deportation"
* No matter what happened, because the media and Official America has totally borked its credibility, half of us won't believe the truth even if they happen to be telling us the truth.
19:21 Publié dans La Zone Grise | Lien permanent | Commentaires (16)
11/04/2013
GRAND RABOUIN
Savoir si un grand rabbin ait ou non pougné pour remplir des bouquins qu'on ne lira pas sans la menace d'une arme, c'est presque plus chiant qu'un match de foot. Alors on lit distraitement ce qu'en dit un membre de la Tribu, histoire de tuer le temps, jusqu'à cette ligne qui attire l'oeil du judéosceptique qui sommeille en chacun de nous, juste à côté du cochon :
...le soupçon porté sur les juifs de France de déloyauté à l’égard de la République...
Non mais allô q Vous êtes sûrs ? Léjuifs, suspects de dérives antidémocratiques ? Demandez donc à un catho ultra et monarchiste comme de juste, ce qu'il pense de la Gueuse. Puis faites-le boire, mettez-lui votre petite cousine dans les pattes et quand il est à point, asticotez-le un peu sur sa vision de l'implication historique des intéressés dans l'affaire. Vous verrez de quels soupçons il vous parlera !
Nous n'avons aucun doute sur l'amour furieux que Moshe And Co International portent à la République: c'est leur hostilité un poil trop systématique à la Nation qui nous brouille légèrement l'écoute.
Quand on se fend d'un démenti, mieux vaut être au clair sur le crime dont on croit être accusé. Sinon ça sonne un peu comme hurler "Je l'ai pas touchée, cette petite allumeuse" dans un jardin d'enfants, au moment où débarquent flics et pompiers inquiets d'un début d'incendie, voyez ?
18:56 Publié dans Chez les boniches de la Zone Grise, La Zone Grise | Lien permanent | Commentaires (2)
27/03/2013
INSTINCTS PERVERS CONTRE GRANDS PRINCIPES
Alexandre Marie se demande ce qui rend Merdachon "intouchable", au vu de l'archipantouflard silence entourant l'empilement de ses déclarations ouacisses. La question n'est peut-être que rhétorique et la naïveté du questionneur feinte. Je prends le risque de l'hypothèse contraire.
Il y a la surface propre et brillante du lexique sursocialisé, et il y a la crasse grouillante de vermine qu'elle recouvre. De jure, le ouacisme est honni, interdit, immoral, contrahumanitatocriminel, aucune circonstance atténuante n'étant jamais admise. De facto, traiter les Blancs comme des ordures congénitales n'est pas que permis : c'est encouragé, parce que d'une impeccable moralité.
On se condamne à ne rien comprendre à ces questions si on zappe la notion de Honte Blanche, ce sentiment diffus de culpabilité qui pourrit la vie des civilisés. Chargé du poids des péchés originels que sont l'esclavage, la guerre moderne et les nettoyages ethniques perpétrés avec des moyens chouïa plus évolués qu'une machette et une mâchoire, le toubab est prié de faire acte de contrition, de demander pardon à toute l'humanité.
Au centre de cette secte masochiste, se trouve Ochouitze, dont la salissure morale souille tous les Européens, et pas seulement les Allemands comme le laisserait supposer un certain folklore olivoudien. Après les camps-de-la-mort-qui-tue, il n'est plus possible pour un bipède hétéro pâle de vivre autrement qu'à genoux et les yeux baissés. On sait où ça mène de relever le front (insérer ici un jeu de mot minable sur sa version "nationale", ovation garantie sur n'importe quel plateau en praïme-taïme) et d'exiger que le respect soit mutuel.
Les intellos, les artistes, tous les saltimbanques d'Occident, en première ligne desquels se trouvent nos parlementeurs et dé-putés, constituent l'élite de cet excécrable clergé. Plus que tout autre Face-de-Craie, ils sont affligés d'un dédoublement de la personnalité : seuls face au miroir, ils refusent "de se prendre pour des Blancs", mais se sentent pourtant investis d'une mission de rééducation de "leur peuple".
Dans leur vision classiste de la planète, tout Blanc est un Koulak, un contre-révolutionnaire, un provocateur bourgeois réactionnaire, un saboteur de lendemains chantants, une saloperie qui exploite le Tiers-Monde, ce Tiers-Etat mondial, cette Classe Ouvrière rédemptrice. Le Blanc est ouaciste et haineux, or la ouacisme et la haine sont haïssables et doivent être haïs, de toute son âme, de tout son coeur. Pas de tolérance pour les ennemis de la tolérance, vous connaissez la mélodie.
Il n'est pas question ici d'incohérences doctrinales. La cohérence est au contraire toute prussienne : tacitement, d'un commun accord, Les loups blancs sont plus sauvages et plus méchants.Tout ethnocentrisme grossier, toute manipulation vulgaire de symboles nationalistes, tout identitarisme brutal n'est pas traité avec les mêmes reniflements dégoûtés par nos curetons laïcs. Mamadou arborant un t-shirt aux couleurs d'une chimérique afro-mafia n'est pas l'homologue de Kévin paradant avec la tronche de Charles Martel sur sa bedaine : l'un exprime un amour bien légitime de ses origines dans un contexte social où "la parole ouaciste se libère chaque jour un peu plus", l'autre est l'illustration vivante et insupportable de ladite libération. Le premier est une esclave a brisé ses chaînes et les agite comme un trophée narquois, le second est son ancien maître en qui il faut exterminer toute tentation de nuire à nouveau, toute nostalgie pour sa domination passée.
Contradiction ? Oui si l'on croit que l'antiouacisme est un activisme politique sincère basé sur des principes. Or il n'est qu'une saloperie mobilisant les instincts pervertis et suicidaires de pourritures qui auront de l'eczéma purulent sur les couilles aussi longtemps que tous les Européens ne seront pas enchaînés dans des champs de coton.
C'est cette vigilance muette, cette parano doucereuse et souterraine, qui explique la réactivité orgasmique de la presse dès que, miracle et anomalie statistique ! un criminel pâle fait une victime bronzée, alors que des milliers de cas inverses sont passés sous silence, ou provoquent stupeur et étranglements lorsqu'une proportion dérisoire en est compilée dans un bouquin.
Comme l'explique Werner dans le billet précédent, le régime n'applique ses propres lois les plus sacrées que lorsqu'il y a intérêt. Mais il y a, là encore, les lois officielles et les lois officieuses. Pour tout ce qui concerne les relations entre peuples, l'officieuse contredit violemment l'officielle, parce qu'il n'est pas possible de parler cash, cyniquement, pragmatiquement. Mais tels sont les faits : si Merdachon peut ouacister tant et plus, c'est parce qu'un toubab ne peut pas être victime, c'est parce que la race blanche n'a le droit à l'existence qu'en tant que ramassis de fils et filles de putes.
On peut faire preuve de ouacisme contre les Blancs, parce que c'est un juste retour de manivelle, parce que les Blancs sont ouacistes, parce qu'ils ont inventé et pratiqué le ouacisme le plus virulent et dévastateur de l'Histoire Officielle, et que l'idéal de Justice est de rabattre le caquet de cette engeance génocidaire, capitaliste, polluante, colonialiste, chauvine, cul-bénie, machiste, tout ce que vous voudrez dans le genre.
Le discours est cohérent, le programme homogène, la méthode rigoureuse. Simplement, on n'y entend que dalle si on est du genre à s'interdire d'avoir mal quand on se prend un genou dans les parties, alors qu'on pensait se faire offrir un free hug.
16:44 Publié dans Autopsie de la Dissidence, La Zone Grise | Lien permanent | Commentaires (0)
08/03/2013
LE PUTAIN DE NEOLOGISME GLOBICHE A LA CON DU JOUR
"Ils pimpent votre smartphone"
Oui.
Pimpent.
Quand on n'est plus capable d'éprouver la moindre espèce d'espoir, le seul recours est d'avoir chevillée au corps une indéfectible naïveté. Sans elle, à force, plus possible de se foutre en rogne, parce que plus possible d'être encore surpris par l'obscène foutage de gueule assumé de nos maîtres à ne-pas-penser.
Si encore ces enfilés avaient parlé de customisation de téléphone portable ! C'est laid, ça se traduirait littéralement par coutumisation, mais enfin ça aurait juste été tolérable, en un temps où, après tout, des "supporters" supportent une équipe, au lieu de la soutenir...
Au vu du nombre de richissimes mercenaires métèques qui monopolisent le haut du panier de crabes putrides qu'est le foutreball mondialisé, le terme n'est peut-être pas si inadéquat. Mais je m'y connais autant en baballe qu'en tricot, faut-il préciser.
Mais non. Nous avons droit au pimpage, du néoverbe pimper, dérivé du globish pimp, ou maquereau, nom masculin désignant originellement le bel et noble emploi de proxénète. Il semble, depuis quelques modestes années, désigner toute forme de luxe ostentatoire et du plus mauvais goût possible, considéré comme tolérable, banalisable ou amusant parce que nègre.
(Puisque tout ce qui semble intéresser nos frères de la brousse est à prendre avec des gants de soie, j'attends avec impatience la glamourisation du cannibalisme; en vrai amateur de cochonnaille, il m'attristerait de crever sans goûter du filet mignon de bipède)
Depuis plus récemment encore, le terme s'est transformé en verbe pour décrire la personnalisation - ou tiouningue - de toute espèce d'objet de consommation proposé par la société capitalopatriarchale leucocentrée hétéronormée ouaciste dans le but exclusif d'asservir les populations sous-capables défavorisées qui, ça tombe sous le sens ! démontrent leur féroce sens de l'humour et de l'ironie irrévérencieuse en singeant le bourgeois haï, en détournant ses codes, et autres dégueulons mao-freudien de mes couilles.
Pour la reconnaissance par le dictionnaire de l'Académie Française, prière de patienter jusqu'à ce que Christiane T'Oubliera soit (enfin!) nommée Immortelle.
Si quelque soralien veut se réjouir de ce doigt d'honneur à la Correction Politique féministe en pleine journée de la chatte, qu'il se fasse plaisir, je passe mon tour.
15:32 Publié dans Chez les boniches de la Zone Grise, La Zone Grise | Lien permanent | Commentaires (1)
07/03/2013
BLACK POWER SHORTAGE
Ah, 2008, Frères Citoyens, 2008 ! La belle époque... L'obamania à son pic, une érection journalistique si durable et épaisse que parler de priapisme semblait bien faible... Oui nous pouvons, Bush enfin dégagé, le pire passé et le meilleur à venir... Est-ce que ça ne vous manque pas, cette sensation de pouvoir donner dans le marypoppinisme le plus sirupeux tout en paraissant éclairé, avant-gardiste et respectable? Allez ! On se fait un petit shoot de changement-auquel-on-peut-croire.
Et n'oubliez pas de lire le numéro de Radish Mag sur le Black History Month, pour voir le génie Noir en action, hier et aujourd'hui.
Non, pas celui-ci.
05:56 Publié dans La Zone Grise, Marées Noires | Lien permanent | Commentaires (2)
06/02/2013
CONTENTS, TAS DE PORCS ?
So I have a question for you lot: Feagin, Jensen, Ignatiev, and all you other swine who teach blacks to hate us. Are you happy now? Are you happy how well your lessons were learned? There is blood on your hands. Brittney Watts was 26 and recently married. She’s dead. Lauren Garcia was 23. She will never walk again. Their families will never be the same. There are hundreds, thousands, tens of thousands of whites whose lives have been snuffed out or wrecked because of the hatred that you—yes, you—spread through this country.
Pour les malheureux d'ex-France qui ne peuvent accéder à la vidéo et ne savent pas comment bidouiller pour le faire, le reste en version écrite est ici.
07:47 Publié dans La Zone Grise, Marées Noires | Lien permanent | Commentaires (8)
30/01/2013
LES BLANCS NE SAVENT PAS SAUTER (ni rien faire de marrant, d'ailleurs)
... mais il arrive que le dire soit perçu comme nazi. Ah, c'est pas facile...
Poutine semble jouir d'une certaine popularité auprès de quelques fafs, du simple fait que nos journalopes s'enchient les babouches quand on leur précise qu'on ne parle pas de gastronomie québécoise. On peut donc s'attendre à ce que Volkswagen, outre son glori triste et sombre et horrible et lacrymal passé, devienne une nouvelle référence faf-friendly.
Vous voulez quoi ? C'est pas compliqué, un nazebroque : trouvez-lui n'importe quelle saleté honnie par le régime ou ses boniches, et il se frottera contre pour en prendre l'odeur.
Dans ce nouvel épisode de cette succession infinie de piège à cons, nous avons une grosse entreprise qui refuse courageusement... de perdre de l'argent en cédant à la routine du chantage racial.
De fait, c'est une surprise, tant les épiciers planétaires nous ont habitués à nous fourguer de la haine anti-blanche pour nous accoutumer à leur putain de came.
Maintenant, vous l'avez vue, cette pub de mes deux ? On y voit une grosse Blanchouille bien jobarde se négrifier de joie parce qu'elle conduit une bagnole. (Notez au passage le bridé à lunettes, sans doute responsable informatique et/ou comptable, qui lui aussi retrouve la joie de vivre grâce au retour aux sources puisque nous sommes tous afouiquains, s'pas.)
Le message n'est pas "ouaciste" dans le sens où Foutrewagen se foutrait de la gueule des Jamaïcains, de leur indolence, de leur candeur et de leur bonne humeur perpétuellement cannabinée. Tout joue sur le contraste entre une face blanche et un comportement présenté comme typiquement noir - et valorisé en tant que tel.
On retrouve donc l'allusion fine comme du béton du potentiel érotique du Bon Sauvage de la Brousse Enchantée : ah, si seulement nous étions aussi décontractés qu'eux ! Et pas si Blancs, si tristes, anxieux, déprimés, mous d'la bite, orphelins de Mama Gaïa...
Ou pour citer Nabe, qui a mieux que quiconque résumé l'affaire :
J'espère que les Noirs vont finir par enculer tous les Blancs et les assombrir pour toujours. (...) Les Noirs sont la race la plus noble, celle qui se fait le moins chier, celle qui contient les plus beaux spécimens de merveilles physiques, la race esthète par excellence, celle qui pue la force et la santé, la gaieté et la sagesse, la grâce et le bonheur.
Une fois de plus, on a tout simplement Monsieur Toubab qui se fait encaguer la gueule par les publicitaires. La différence, c'est que nous sommes allés tellement loin dans la Correction Politique que même les Divers, Diversophiles, Diversocrates et grossistes en Diversitudes parviennent à s'offusquer de ce grossier et maladroit hommage.
Mais qu'on se rassure : nous sommes loiiiiin d'avoir touché le fond en la matière.
16:41 Publié dans Chez les boniches de la Zone Grise, La Zone Grise | Lien permanent | Commentaires (6)
17/01/2013
MODERNE, TROP MODERNE
Au programme d'Arte l'autre soir, un film résumé comme suit. Tout y est - n'y manque qu'un philosophe nègue à lunettes et un génial violoniste ashkénaze :
Au XIXe siècle, à Londres, un jeune médecin invente le vibromasseur dans le but de traiter l'hystérie et s'éprend d'une féministe en délicatesse avec la loi.
21:42 Publié dans Chez les boniches de la Zone Grise, De quoi j'me merde ?, La Zone Grise | Lien permanent | Commentaires (6)
SUISSITUDE
Le type est un maniaque des armes, condamné dans le passé, et à qui une faille du système permet d'assouvir sa passion au mépris du bon sens de l'obsession sécuritaire. Tu crois qu'il en profiterait en toute discrétion ? Ben non, pas moyen, faut qu'il cède à son besoin de confession. Ca m'arrange, personne ne viendra me faire chier, ce n'est pas illégal en soi, mais ça pourrait le devenir si j'en fais tout un foin ? Eh bien d'accord, je VAIS en faire tout un foin.
Mettons que je sois accro à la coke. Titubant dans une ruelle lausannoise à la recherche d'une dose, je tombe sur plusieurs kilos traînant à côté d'une poubelle. Si je suis un mec normal, j'embarque la chose et me décalamine les narines gratosse jusqu'à la fin de mes jours. Mais si je suis un SUISSE normal, une fois le stock planqué dans ma cave, je ne peux pas résister à cette rage bien helvète d'appeler la flicaille pour lui expliquer la chose.
Passe encore que le père d'un gosse flingué par un collectionneur de calibres s'en aille dégoiser dans la presse. Mais le mec vient demander à ce qu'on soit plus strict, parce que ce n'est pas normal qu'il puisse frauder pépère.
Ce n'est pas payer une fortune le bâton pour se faire battre : c'est se filer des coups de scalpel dans l'anus pour se faire sodomiser sans trop étrangler le zob du violeur. Même l'insupportable nain blond des pubs Ricola est explosé. On fait pas plus Suisse que ça.
18:25 Publié dans La Zone Grise | Lien permanent | Commentaires (2)