25/07/2008
MAD MAX DEVRA ENCORE ATTENDRE
11:23 Publié dans De quoi j'me merde ? | Lien permanent | Commentaires (2)
18/07/2008
STAR SYSTEME
"David Guetta : star ou pas ? "
"A 40 ans, le beau David cartonne avec chacun de ses morceaux et parcourt le monde avec ses platines : succès mérité ou pas "
Voilà ce qu'on pouvait voir sur la page d'accueil de Yahoo ! aujourd'hui. J'archive avant que ça soit corrigé, parce que c'est vraiment trop bon.
12:34 Publié dans De quoi j'me merde ? | Lien permanent | Commentaires (0)
12/07/2008
SOUVENIRS, SOUVENIRS
En ce samedi 12 juillet, dix ans après, souhaitons tous une joyeuse branlette collective aux adeptes de la France Blaque-Grise-Beur.
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25/06/2008
INFORMATION JEUNE ET FUN
Le pain gonfle et bronze tranquillement au four. Il a levé bien quatre heures, la levure shootée à l'eau chaude additionnée de mélasse. Ca aura de la gueule, mais qu'en est-il du coût exact par rapport à un kilo de pain dans le commerce ? Avec les matières premières qui prennent le monte-charge pour la potence, difficile à savoir. En bon cybercitoyen, je ne sors pas demander à mon boulanger - qui de toute façon n'est qu'un revendeur d'éponges salées qui sèchent trois heures après achat - mais je demande à Gougueule. O surprise, c'est le site d'un torchon local gratuit qui me répond :
Combien coûte le pain, le lait ? Selon une étude, une majorité des Suisses ne le sait pas. (...) Sur 500 consommateurs, seuls 4% peuvent dire le prix exact d’un article de consommation courante, selon un sondage. (...) Comment expliquer cette méconnaissance? La qualité des produits et la proximité du lieu d’achat jouent un rôle plus important que le prix dans la décision d’achat, à en croire une étude (...)
Finalement, je crois que je vais aller demander au revendeur d'éponges.
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20/06/2008
REVERIES DU TELESPECTATEUR SOLITAIRE
... La Suisse, qui ne fait pas partie de l'Union Européenne, a été battue à l'Euro 2008 par la Turquie, qui n'a rien à y foutre. Quand vous dites ça aux gens normaux et bien intégrés socialement, il y a comme un vide qui se forme dans leur regard, pendant quelques secondes. Ils peinent aussi à comprendre qu'un patriote forcené n'ait rien à secouer la Nââtii et insulte les gens qui ne sortent leurs drapeaux que quand des mercenaires de luxe en shorts se font filmer en train de labourer une pelouse à coups de crampons. Pour aggraver durablement votre cas à leurs yeux, pensez à leur dire que la défaite de l'équipe de France face à l'Italie vous a plutôt contenté, et que vos potes français partagent votre satisfaction ; le Vaudois qui peut pas puer les Frouzes, c'est un cliché qu'on comprend encore, mais le Frouze qui siffle sa propre équipe, c'est déjà plus complexe. Il vous faudra alors aborder de pénibles questions de composition des équipes et de nationalité de papier - si avec ça vous ne vous fâchez pas pour de bon avec vos interlocuteurs, il faudra envisager de vomir sur leurs pieds. ....
... Fin de l'atroce dilemme pour les gauchistes américains, qui n'ont plus à choisir entre militer pour une femme ou un métis. Ca doit soulager, j'imagine même pas. Ceci dit, les journaleux d'Europe avaient choisi depuis longtemps. En soi, ce n'est ni une bonne ni une mauvaise nouvelle, ça ou le classement de la Nouvelle Star, somme toute, c'est pareil. Mais quel bonheur que d'observer le frétillement des journaleux, si empressés de saluer comme une grande avancée le moindre rot émis par un mélanoderme, si snob et friqué qu'il puisse être. Un sommet de servilité racialiste a été frôlé l'autre soir, avec Delahousse, je crois. Question adressée à Will Smith, venu faire la promo de sa prochaine série Z surbudgetée. En gros, ça donnait : "Un superhéros Noir, un candidat Noir, est-ce un tournant décisif aux Etats-Unis ?" Le Smith a rigolé et a répondu n'importe quoi. A sa place, j'aurais fait exactement pareil. ...
... En Espagne, la police escorte des camions citernes. Du coup, le discours de La Décroissance sur notre "civilisation de la bagnole" devient moins caricatural. Il y a un mouvement qu'il serait intéressant d'analyser, et sur lequel poignée d'économistes moins cons que la moyenne est peut-être en train de plancher : se déplacer devient un luxe, le riz et les pâtes bientôt aussi abordables que du béluga, l'expérience ET les études indispensables pour dégotter des boulots de bas étage, impossible de trouver un logement si on en a vraiment besoin, alors qu'un proprio se fait ouvrir toutes les portes fastoche, tout ça devient assez intéressant. Le plus intéressant, c'est surtout l'apathie générale que provoque chez l'Occidental moyen cette accumulation de foutage de gueule. A croire qu'il aime ça. Existe-t-il un seuil de saturation collective, au-delà duquel les peuples se laissent sodomiser en remerciant leurs violeurs ? Il n'est plus possible de croire sincèrement à un "déclic", un trop-plein, un crachat vraiment trop glaireux qui mettrait enfin le feu aux poudres. Même un 11-Septembre par jour dans chaque pays d'Europe ne secouerait pas cette léthargie. On va en venir au baril à 600 dollars, à la fellation obligatoire du gérant pour obtenir un deux pièces sans chiottes, aux stages non-rémunérés qu'il faudra payer pour n'être formé à que dalle, et tout ce que ça entraînera sera l'inscription de chaque Blanchouille sur Second Life. ...
... L'Irlande a voté pas-comme-il-faut. Un doigt d'honneur sympathique et sans doute sans portée. Dans les heures qui ont suivi le résultat du scrutin, on évoquait déjà la possibilité de revoter, de donner une deuxième chance à ces foutus bouffeurs de patates de répondre correctement à la question posée. D'un point de vue optimiste, on pourrait espérer qu'un tel mépris de nos cornacs pour la Démocrassie qu'ils invoquent cinq fois fois par jour ouvrira les yeux des démocrates sincères et sensés. (Un intrus s'est glissé dans cette expression, sauras-tu le reconnaître ?) ...
... Long reportage sur le Japon, tard l'autre soir, sur l'air poussif et tâcheron de "tradition et modernité". Malgré cela, des images frappantes et un ton relativement supportable. Quelques perles à retenir : tout d'abord, l'interviou d'une chanteuse moitié européenne, qui admet en rigolant "qu'il y a beaucoup de Japonais au Japon" - ah ben voui c'est sûr. L'aimable idiote répondait aux inquiétudes du reporter sur le manque très peu Citoyen de gaijins sur cette île pourtant si portée sur les dernières tendances. Et la thématique reviendra plusieurs fois ; le commentateur nous apprend que le taux de reproduction est incroyablement bas et que le pays perd X milliers de citoyens par année. Vu la surpopulation cauchemardesque de ses mégapoles, on aurait tendance à y voir une bonne nouvelle, mais ce n'est pas, là non plus, une réponse correcte - la Croassance, vous voyez ? Ce genre de choses. Alors ça gamberge ferme pour trouver des solutions. On s'attend gros comme un camion à la suggestion de l'analyste d'ex-France, et c'est la surprise : il faudrait que les Japonaises fassent plus d'enfants et que l'Etat ait une politique nataliste. Rien que ça ! Mais heureusement la maladresse est vite rattrapée : le Japon pourrait - devrait - sera bien obligé un jour putain - d'ouvrir les vannes de l'immigration, comme le fait l'Europe avec le succès et les profits que l'on observe chaque jour, s'pas. A l'appui de cette brillante suggestion, un bien beau portrait d'un grand Blaque, calvitie luisante, élégant costard, chemise ouverte, sourire Hollywoodien comme un croissant de lune sur un ciel de novembre. Une image vaut mille mots. ...
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17/05/2008
NAPOLEON, GROS CON
Ce n'est qu'au XIXème siècle que la fameuse croix blanche sur fond rouge est devenue l'écusson national des Suisses. Auparavant il s'agissait uniquement d'un signe de ralliement des soldats Confédérés, bien pratique sur des champs de bataille où il était parfois difficile de s'y retrouver dans la mêlée des corps et des armes.
Tout commença en 1339 à la bataille de Laupen. Pour se différencier des autres combattants, les soldats suisses ont eu l'idée de coudre une croix blanche sur leur cote de maille. Peu à peu, on ajouta également une petite croix blanche sur les drapeaux des cantons. Lorsqu'il fallut créer une bannière militaire commune, notamment pour l'occupation des bailliages communs, c'est évidemment la croix blanche qui s'imposa. Quant au fond rouge, il a probablement été inspiré par l'ancienne bannière bernoise, elle-même constituée de cette couleur.
Au cours de la République helvétique (1798-1803), Napoléon Bonaparte interdit aux Suisses de porter la croix blanche, symbole d'Ancien-Régime. Il tenta d'imposer au pays une cocarde tricolore, verte, rouge et jaune. Ce fut le premier drapeau national de la Suisse. Mais avec la chute de l'Helvétique, il fut aussitôt abandonné.
Putain... On a failli avoir le drapeau du Bénin...
12:20 Publié dans De quoi j'me merde ? | Lien permanent | Commentaires (3)
06/05/2008
A GIRL'S BEST FRIENDS
22:21 Publié dans De quoi j'me merde ? | Lien permanent | Commentaires (10)
09/04/2008
BEBETES IMMONDES
00:41 Publié dans De quoi j'me merde ? | Lien permanent | Commentaires (31)
23/03/2008
365 JOURS DE NAUSEE
Frères Humains,
Il y a exactement un an, l'idée stupide d'ouvrir un blog pour y déverser mes excédents de bile noire devenait une réalité. J'y étais venu à reculons, comme quand on doit chier alors qu'on a des hémorroïdes. Après plusieurs années à pondre de la propagande pour d'autres et dans l'espoir crétin d'être utile, je me décidais enfin à n'écrire plus que pour ma pomme et à faire mon coming-out nihiliste. Une manière de boucler officiellement une époque, de transformer mes anciennes idoles en Bonhommes Hiver. Une année particulièrement idiote et improductive à tous points de vue a rejoint les égoûts du temps et la flambée n'est toujours pas terminée. Je pensais que ça allait être un bon défouloir, c'est râpé. Il y a des rages contre lesquelles le seul vaccin efficace s'administre par canon scié. Et puis il y a aussi des enragés qui ne veulent pas vraiment être guéris, autant l'admettre.
A l'origine, en ce 23 mars 2007, je voulais publier un avertissement à l'usage des âmes pures tombant malencontreusement en ces pages malsaines, qui disait notamment ceci :
Il n’y a qu’une différence très fine entre un égout et une catacombe, la nuance n’est en fait qu’une question de perspective. Pour le citoyen Romain, un homme sain d’esprit n’avait aucune raison de rôder dans les sous-sols de la Cité ; on y croisait que des rats et des chrétiens, deux parasites peu appétissants. Rats et chrétiens, au contraire, voyaient dans ces boyaux sordides de précieux refuges, loin des épurateurs et des empêcheurs de prier en rond. Question de point de vue et d’image du monde.
Ce minuscule recoin de cyberespace sera à la fois ma catacombe et mon égout, un abri perso autant qu’un sac à gerbe sous la surface d’un Monde Moderne chaque jour plus insupportable. Ces lignes ne s’adressent à personne, comme une bouteille lancée dans les sables de la mer d’Aral. Quelques amis les liront peut-être, certains en comprendront une partie. Les curieux les plus gonflés feront peut-être quelques commentaires cyniques, pour me prouver qu’ils ont une haine et une bite plus grosses que les miennes. Les plus sages hausseront les épaules et passeront à autre chose. (...)
Pour finir, c'est resté dans mes tiroirs.
J'ignore ce qu'il va advenir de ce bleaugue durant les prochains mois. Il viendra bien un moment où j'aurai fait le tour de la question, dissequé jusqu'aux vertèbres la carcasse de notre civilisation, cartographié les ruines de la dissidence encore hantées par des spectres pittoresques ou affligeants, tartiné sans vergogne le spleen ordinaire du trentenaire sans passé ni avenir, et tout sera dit. C'est déjà largement le cas, parce que j'ai l'impression de répéter régulièrement les mêmes conneries, sénilité précoce. Mais cette routine de détestation méthodique n'est pas sans agrément. On devient vite accro. Et pour se défaire d'une dope, la meilleure cure consiste à passer à quelque chose de plus fort. Le temps viendra peut-être où écrire ne suffira plus. Il faudra donc faire des gamins ou suivre les traces de Kaczynski. Perpétuer l'espèce ou lui nuire plus activement. Peut-être ne faire ni l'un ni l'autre, en fin de compte, et se laisser paisiblement couler dans la mélasse ambiante. Mais choisit-on vraiment de devenir un cynique croyant et pratiquant ? J'en doute.
Si cet organe officiel du Parti de la Haine Mondiale dure encore quelques mois, il faudra que je m'attèle aux divers travaux de traduction qui prennent la poussière sur ce bureau, à commencer par les derniers chapitres de La Mort de l'Empire. Il y a aussi quelques bouquins que je veux mettre en ligne et qui sont en cours de recopiage (quand on n'a pas le scan, on a l'insomnie et la persévérance diabolique).
Non content de m'offrir un très élégant habillage, Frater Piotr a réalisé en un temps record une fresque d'anniversaire que vous pourrez déguster en cliquant sur la vignette ci-dessous, également de sa patte :
08:37 Publié dans De quoi j'me merde ?, La Zone Grise, Marées Noires, Pi(o)treries | Lien permanent | Commentaires (17)
20/03/2008
FEDERAL FRENCH
Pour nos amis hexagonaux qui n'auraient jamais rencontré le phénomène, et aussi pour mes compatriotes vaudois régulièrement affligés par ce néocolonialisme linguistique, je reproduis ici in extenso et très scrupuleusement le mode d'emploi d'un "gel de bougie" en vente dans une grande surface de Romandie :
Le gel de bougie p. ex. dans une boîte dans l'eau bouillant fondre faire. Le gel liquide dans les récipients en verre ne pas couler lentement autour des bulles produire. Le contact d'eau avec le gel éviter, l'opacification produit. Le gel de bougie est encore fusible. Pas approprié à la consommation. brûler de manière non intentionnelle on ne pas pouvoir.
Un grand merci à Preba, 101 Bastelideen pour cette performance guinessbookienne.
17:21 Publié dans De quoi j'me merde ? | Lien permanent | Commentaires (2)
08/03/2008
HUMOUR GRAS ALLEGE
08:21 Publié dans De quoi j'me merde ? | Lien permanent | Commentaires (2)
02/03/2008
DANSE DE GUERRE INDIGENE
15:31 Publié dans De quoi j'me merde ? | Lien permanent | Commentaires (2)
24/02/2008
STILL NOT MALE CHAUVINIST PIG ENOUGH
Frère Piotr, résumant bien mon sentiment inarticulé, pronostiquait que "la Zone était exclusivement un repère pour velus désabusés". Et comment en aurait-il pu être autrement ? Parcourez l'Europe dans tous les sens ; recensez-y les fafs, puis les nihilistes. Croisez les variables et contemplez les chiffres, si tant est qu'ils atteignent la décimale réglementaire. Aucune chance d'atteindre les quotas en matière de représentation féminine. Lancer des briques sur la police et échaffauder des plans de guerre civile, ça a pas l'air d'être leur truc. C'est sans doute un énième artifice de la Nature pour assurer la survie de l'espèce. Et pourtant, putain, faut croire que je n'ai vraiment pas tapé assez fort.
Il y a au moins deux femmes qui lisent ce putain de blog, et ni l'une ni l'autre ne sont ma mère ou ma régulière.
La première, je sais qui c'est. J'ai même bu des bières avec, ça et là en ex-France. La dernière tournée commence à sacrément dater, d'ailleurs, il faudra remettre ça dès que j'aurai un train de vie moins romanichel. Connaissant l'individue, respectable mère de famille au demeurant, je ne m'étonne guère de son intérêt pour des salissures lettreuses. Des enragées, ça existe aussi.
La seconde, j'ignore exactement qui c'est. J'apprends son existence par ledit Piotr, pas plus tard que ce soir. Une jeune fille bien comme il faut qui écrit un blog girly. J'exagère à peine, pour le plaisir du contraste. Si j'étais d'humeur à me la péter, je me laisserais aller à une métaphore sur l'air de La Belle et La Bête. Mais malgré l'heure avancée de ce samedi, je suis sobre et dépourvu de toute excuse liquide pour un élan de gonflitude déraisonnable. Restons-en à un modeste "Souris blanche et Rat gris". Et puis la femelle revendique également ses lectures de FDesouche, du Bal des Dégueulasses et du Grand Charles, la cage est à partager avec d'autres rongeurs.
Adieu rêves de gloire dans le rôle du Salaud de ces Dames.
00:27 Publié dans De quoi j'me merde ? | Lien permanent | Commentaires (2)
15/01/2008
" DEJA UN PEU MORT "
<< Bertignac, Bruni, Sarkozy, et le bourgeois « socialiste ». Aucun intrus, les amis. Tout un monde, très cohérent. Laid, inculte, simpliste, lénifiant. >> C'est pas charitable de se moquer des socialistes, mais on va se resservir quand même.
Post-blogum : Si vous avez pris le temps de flâner chez le camarade Nikita, qui ne doit guère aimer les Bras-Armés-du-Capitalisme-Patriarchal que nous sommes très clairement, vous aurez remarqué que sa prose goûtue lui a amené des commentaires peu amènes. Il s'est même vu, ou cru, dans l'obligation de publier une mise au point juste après, histoire d'expliquer à certains scatocéphales que non, il ne souhaitait pas la mort de mademoiselle Bruni. Ni celle des mâles qui achètent son album pour autre chose que d'hypothétiques photos à poil dans la pochette.
C'est quand même attristant. Je veux dire, pour lui. D'être lu par des blaireaux. Déjà qu'il y avait des incivils comme yours truly qui lui faisaient de la pub... De mon côté je peux pas (encore) me plaindre. A ce jour, n'ont commenté mes insanités que des gens majoritairement très aimables.
Voilà bien l'un des rares - sinon l'unique - privilège d'être un gros faf bas du front. Quand on écrit des horreurs ou des conneries, personne ne s'en formalise ni ne s'en offusque, soit parce que personne ne nous lit, soit parce que ça fait partie de notre cahier des charges officiel.
02:20 Publié dans De quoi j'me merde ? | Lien permanent | Commentaires (3)
14/11/2007
CA Y EST... C'EST TOI LE VIEUX MAINTENANT
Cours d'anglais, lundi soir. La gamine doit avoir quatorze ans, guère plus. Du métal plein les gencives, pas très dégourdie mais gentille. Un retard conséquent à rattraper. Déjà qu'en français c'est pas jojo... Une peine à retenir des mots simples, des tournures de phrases élémentaires.
Je tente de proposer des trucs mnémotechniques qui me semblent simples et universels. Yesterday, par exemple, ça ne veut pas rentrer. Je suggère de penser au Beatles et à la chanson du même nom. On m'a amplement fait chier avec ça en classe, ça ne doit pas avoir beaucoup changé depuis. Eh bien si, ça a changé, la môme ne voit même pas de quoi je veux parler. En même temps, combien de mes contemporains connaissent vraiment ? Passons.
La différence entre to, two, et too, là aussi c'est pas évident à faire comprendre. Peut-être qu'une référence à Bono et sa bande de bouffeurs de patates ? U2, ça lui dit quelque chose ? Non. Point connoistre.
C'est officiel. Je suis déjà un vieux con. L'avantage, c'est que j'ai pris le coup de râler en permanence depuis quelques années. Je peux continuer comme ça sans surprendre l'entourage. Ca fait penser à Brel... "Quand je serai vieux, je serai insupportable..."
Faudra que je lui parle de Brel, à la gosse. Ca lui donnera l'impression de bosser ses cours de préhistoire.
18:09 Publié dans De quoi j'me merde ? | Lien permanent | Commentaires (2)
13/11/2007
MOZLEM BAD, JEW GOOD
Oui, on peut être sioniste, islamophobe, impérialiste yanqui - et relativement rigolo. Dans des milieux d'ordinaire sinistres à crever, c'est suffisamment rare pour être noté. (Merci à Tyler l'Ancien pour le lien).
17:13 Publié dans De quoi j'me merde ? | Lien permanent | Commentaires (0)
24/10/2007
DEVOIR DE TROU NOIR
En guest-star involontaire aujourd'hui, un citoyen de République Ex-Française que nous appellerons Mister T, puisqu'il ne désire pas être connu. Pas qu'il assume pas ses écrits, mais il est d'humeur grincheuse et souhaite, je cite, "saboter la notion même d'écriture". En hommage à tous les sarkorésistants et à la notion ô combien actuelle de Mémoire Sélective. Soyez sûrs que je transmettrai fidèlement à l'auteur vos insultes choisies ou vos éloges déraisonnables.
"Ma petite maman chérie,
mon tout petit frère adoré,
mon petit papa aimé,
Je vais mourir ! Vous savez à quel point je me bas les couilles de cette France capitaliste de merde. Nous autres communistes, ne sommes d'ailleurs entrés en guerre que lorsque l'URSS notre Mère Patrie a été attaquée par les nazis. Ce que je vous demande, toi, en particulier ma petite maman, c'est d'être courageuse. Je le suis et je veux l'être autant que ceux qui sont passés avant moi. Certes, j'aurais voulu vivre, bénéficier moi aussi des subventions accordées par le gouvernement et le Medef à nos syndicats qui ne représentent rien...4% du monde salarié à peine; pour faire chier la terre entière. Mais ce que je souhaite de tout mon cœur, c'est que ma mort serve à quelque chose, et que ce racket politique et syndical se prolonge pendant des années et des années..../...
Un dernier adieu à tous mes amis, à mon frère que j'aime beaucoup. Qu'il étudie bien pour être plus tard un homme digne du Syndicat et du Parti et de leurs structures parasites.
17 ans 1/2, ma vie a été courte, je n'ai aucun regret, si ce n'est de vous quitter tous et de n'avoir pu bénéficier de tout les avantages acquis qui m'étaient dûs. Je vais mourir avec Tintin et Milou, mes deux amis gay. Maman, ce que je te demande, ce que je veux que tu me promettes, c'est d'être courageuse, de surmonter ta peine, et de ne pas prendre ce prétexte pour boire les alloc' comme tu le fais tout les mois.
Je ne peux en mettre davantage. Je vous quitte tous, toutes, toi maman, Serge, papa, en vous embrassant de tout mon cœur d'enfant soviétique. Courage !
Votre Guy qui vous aime.
21:07 Publié dans De quoi j'me merde ? | Lien permanent | Commentaires (3)
02/10/2007
BUVEZ, ELIMINEZ...
... tout ça en un seul mouvement.
Et non, je ne sais toujours pas comment foutre une vidéo directement sur ce putain de blog.
23:59 Publié dans De quoi j'me merde ? | Lien permanent | Commentaires (4)
21/09/2007
PIN-POMPE-MOI L'NOEUD
Il semblerait que, depuis quelques années, caillasser les pompiers soit devenu un des nombreux loisirs des joyeux garnements de nos Territoires Occupés. En voyant ce clip, on comprend mieux pourquoi pardon, on constate que les soldats du feu se mettent vraiment en quatre pour se faire comprendre même des plus mentalement déficients. Ca c'est du service public, nom de dieu. Manque encore les sous-titres en braille et après ça même les sourds-muets ne se tromperont plus de numéro. Ou alors c'est vraiment qu'ils le font exprès.
13:30 Publié dans De quoi j'me merde ? | Lien permanent | Commentaires (1)
07/09/2007
COMPLETEMENT IDIOT
... et parfaitement inutile. Comme l'essentiel de la blogosphère, les dégueulis de Yours Truly y compris. Mais il y a du style et de l'humour crétin parfaitement assumé. Un homme qui ose écrire "j'irai cracher sur vos tongs" ne peut pas être tout à fait mauvais et mérite d'être lu.
19:38 Publié dans De quoi j'me merde ? | Lien permanent | Commentaires (0)