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27/09/2013

ARGUMENTERIES

AltRight fait la promo d'une petite animation pas trop mal faite, en provenance d'un site que je ne connais pas. L'idée est de démonter point par point les arguments des partisans, assumés ou non, du Grand Remplacement. Je vois l'intérêt que la chose peut représenter aux yeux d'un groupuscule militant cherchant à structurer la pensée de ses plus jeunes recrues: version intellectuelle de l'entraînement au combat en ciblant des attaques particulières. Pas plus idiot qu'autre chose, finalement. Mais pas beaucoup moins non plus.

Premier souci, qui aura frappé quiconque a déjà gaspillé d'inestimables sommes de temps et d'énergie à débattre avec des traîtres et des gauchiasses : ils n'écoutent pas ce que vous avez à dire. Point. Les plus polis vous laisseront peut-être en placer une. Mais s'ils font mine d'essayer de vous comprendre, c'est à la manière d'un entomologiste étudiant une variété particulièrement répugnante de bousier, qu'il croise hors de l'aquarium où est vraiment sa place. S'il fait mine d'écouter, c'est pour chercher la faille, la confirmation de ses clichés, le raccourci qui lui permettra de se précipiter vers la reductio ad Hitlerum, de vous résumer à la caricature du rasé-bière-rangers-déficience. Il se peut, ça et là, qu'on tombe sur un individu moins doctrinaire que les autres, sincèrement intéressé à comprendre l'intégralité de votre discours. Mais la colossale majorité a fermé toutes les écoutilles et n'attend que le moment de passer à l'insulte - ou à l'assaut, s'ils sont assez nombreux contre vous seul.

Connard ordinaire séduit par un argument vaguement réac ? On peut peut-être vous ramener à la raison, vous sauver du mauvais sort. Fâschÿzste déclaré ? Vous avez franchi le gouffre qui vous sépare de l'Humanité, vous n'êtes plus qu'un agent pathogène à mettre en quarantaine. Vous avez tort en soi, qu'importe la rigueur de vos démonstrations, la solidité de vos preuves, l'ivresse que provoque votre rhétorique et votre aisance face à la contradiction. La forme est belle ? Votre fond est mauvais parce que vos motivations adolfiques et vos objectifs ochouitziens. Il faut donc vous résister, en commençant par ne pas vous écouter.

No pasaran aujourd'hui, Ne nous soumet pas à la tentation hier. Même Démon, sous d'autres masques.

Mais soyons folles ! Admettons qu'un putain de traître à sa race relève le défi de vous écouter jusqu'au bout en toute sincérité, ce truc bizarre et peut-être pas très démocratique avec lequel ils ne sont pas très familiers, parce qu'ils la confondent avec une forme embarrassante d'incontinence. Et revenons à notre petit cartoune.

Vu comme est martelé le slogan "l'antiouacisme est un nom de code pour l'antiblanchouillisme" ? Aucun vague habitué de ce bleaugue, je présume, n'en contestera le bien-fondé. Mais cette évidence est une pièce carrée qui ne rentrera pas dans un trou rond. Si nous devons la faire admettre, ce n'est certainement pas au trouduc à dreadlocks mais au droitard présentable, ce bipède qui partage quelques saines bases avec nous mais qui pense encore que "tous les extrémismes sont dangereux."

Opposé à un gauchiste, l'argument n'aura pas de portée. Pas plus que l'accusation de participer au lent génocide des toubabs, ou le pilpoul visant à lui faire admettre des contradictions dont il n'a ni conscience ni rien à foutre. Et à quoi bon, putain ! pourrait donc servir de faire admettre à un militant de l'éradication blanche qu'il n'est que cela, et pas un "démocrate" ni un "humaniste" ? Une balle perdue ou tirée délibérément, ça tue pareil. Les intentions fondamentales du tireur ont peut-être de l'importance pour un juge, mais pas pour la victime qui se l'est mangée. C'est à ces victimes potentielles que le message pourrait gagner à être propagé, et pas auprès des canardeurs.

21/08/2013

JAMAIS ASSEZ - bis ter ad mortem

Foutrement compliqué, ce culte des morts casher. Qu'on crache dessus (interdit!), qu'on s'en foute (impensable!) ou qu'on en fasse des tonnes (moindre des choses!), c'est un peu pareil : on n'en fait jamais assez.

La chefferesse de l'Allemagne-non-nazie va se rouler dans les cendres de Dachau pour prouver qu'elle est effectivement non-nazie ? "De mauvais goût" selon les verdâtres boches, surtout en période de parade amoureuse face aux groins du bétail démocratique. On aurait cru que, comme l'apéro, y avait pas d'heure pour ce genre de saloperies puritaines. Compliqué, putain, compliqué ! Heureusement qu'un Peuplélu a salué l'exercice de reptation, on aurait sans cela frôlé le dérapage.

La jurisprudence et la morale journalistique voudraient pourtant, au contraire, qu'un politicard teuton désireux de marquer des points électoraux se la joue semi-quart-crypto-nazi, voyez ? Flatterie des bas instincts génocidaires de la plèbe, tout particulièrement allemande, ça va tellement de soi que l'écrire met mal à l'aise.

A ce stade-là, on est bien au-delà de la marche sur des oeufs : c'est de la lévy lévitation sur du caviar.

Sociologues de mes burnes et théologiens de mes fesses, quand le wolof version hip-hop/SMS sera le sabir courant de l'ex-Europe, il sera trop tard pour analyser froidement la dimension RELIGIEUSE ET MYSTIQUE de l'Eau-Low-Cost en Occident au XXIème siècle, en êtes-vous seulement à moitié conscients ? Ou est-ce que vous appliquer avec tant d'ardeur à ne PAS faire votre boulot vous fait vous sentir tout rose et tendre à l'intérieur ? 

 

19/08/2013

BEAUCOUP DE BRUIT POUR ARYEN

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Il semble entendu que le ouacisme, le rejet doctrinaire de l'Autre, les stéréotypes, les clichés, et toutes les succursales mentales de la H A I N E sont des foutaises qui ne reposent sur rien, insultent la science et injurient le bon sens. Du vent, de l'inexistence, de la non-pertinence. Phrénologie, archaïsmes, obsolescence. D'ailleurs, qui les écoute à part une minorité de clodos et de déficients ?

En résumé les ouacistes étant dérisoires, il n'ont pas d'importance et doivent être méprisés.

Il tombe également sous le sens que les ouacistes, les xénophobes, les nazebroques, les nostalgiques-du-troisième-reich-qu'ils-n'ont-même-pas-connus-les-cons sont des mauvaises personnes, des cinglés, des fous dangereux, des massacreurs en puissance. Ne voit-on pas à l'oeuvre leur discours abject, qui pénètre sournoisement toutes les couches de la société ? Vous reprendrez bien une tranche de Breivik ?

En résumé les ouacistes étant des monstres , ils sont menacent la paix et doivent être combattus.

Posé comme cela, ça fait un peu mal sous les cheveux.

Mais il y a une justice, et un vrai Citoyen ne se casse pas le noeud avec un tel pilpoul. Il sait que le Malin est foutrement doué pour emberlificoter les choses, enjôler la plèbe toujours affamée de lynchage et tourner les plus fortes têtes avec une rhétorique bétonnée. Bien plus que Nos Pas s'Arrangent, le cri de guerre de l'antifachisse est Credo Quia Absurdum. Et c'est McLuhan en personne qui leur fournit la pommade anti-hernie mentale: le messager est le message lui-même. Si un fâschÿszte vous dit qu'il pleut, brûlez les parapluies, ces collabos. S'il affirme que deux et deux font quatre, alors les maths ont tort (et ce malgré le fort capital de sympathie de l'arabitude de leurs chiffres).

En gros : la vérité ne peut pas sortir de la bouche d'un faf, et si un non-faf énonce un fait pouvant apporter de l'eau au four au moulin de l'hitlérisme, alors ce fait est lui-même haineux. A son égard, la seule réponse Citoyenne doit être :

"Non seulement c'est faux et scandaleux,

mais en outre c'est parfaitement vrai et on s'en fiche".

 

Bien entendu, que cela ne vous fasse pas douter de l'intérêt fondamental de convaincre, raisonnements solides et documents irréfutables à l'appui, des yeux-crevés volontaires qui s'arracheront une boule plutôt que de vous concéder quoique ce soit, fut-ce le droit de vivre pépère.

15/08/2013

PAS D'AMI NOIR ? LOUEZ-EN UN

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Nous savons tous à quel point il est frustrant de mener une existence qui ne ressemble pas à ce que nous enseignent la pub, les sitcoms et les holivouderies : pleine de Diversité ethnique certifiée Citoyenne. On a beau s'échiner, protester de son ouverture, trouver Venus Williams incomparablement plus bandante que la première blanchette venue, rien n'y fait: on n'est entouré que de pâlichons. C'est à peine si on peut compter une vague connaissance homo, alors se prévaloir d'un Nègue ! Vous pensez bien... Et pourtant, quel avantage ! Quel coup de viagra au statut social ! "MON ami blaque", c'est sûr que ça claque...

A Los Angeles, on a bien compris tout le potentiel de la chose. (Signalé par Amren)

09/07/2013

UN CRAN PLUS LOIN

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Il y a d'un côté la tentation de se réjouir du spectacle d'un rappeur musulman afroyanki, se soumettant de son plein gré (encore que les capacités cognitives d'un tel bestiau soient sujettes à la plus grande caution) à une abominable séance de torture. Ca rejoint un peu le plaisir malsain qu'on peut imaginer tirer de la guerre civile égyptienne, sur l'air de Pour une fois qu'ils se bouffent entre eux. Vous voyez le genre, glauque.

C'est justement la glauquitude de la chose qui retient d'en rire trop grassement. Je ne suis pas allé au bout de la vidéo et m'en veux de m'être seulement laissé tenté à cliquer, pensant me payer une marrade digestive. Mais on est loin de la déconnade à la Jim Rose Circus. La chose n'est pas drôle. J'ai peut-être trop tiré sur ma réserve d'ironie et de second degré, allez savoir. Qu'un simien probablement richissime et juste assez instruit pour lire des bribes de l'alcoran se prête à cette macabre bouffonnerie ne m'amuse pas.

Trois aspects de ce happeningue me défrisent en particulier. Le fait que c'en soit un, tout d'abord. Le gros con a certes payé de sa personne, mais dans la même mesure qu'une Belladonna ou une Sasha Grey, qui elles au moins font semblant d'aimer ça. Ayant loupé la fin, j'ignore s'il a seulement été capable de couiner un petit Allah est plus grand que mon oesophage. Je lui laisse le bénéfice du doute. Reste qu'on a affaire à de la pornographie, à un gonzo sans sexe bien cradoque.

En second lieu, et c'est peut-être un peu rassurant quant à ma capacité de m'émouvoir encore face à des images vraiment trop avilissantes, le fait que la grande presse joue le jeu de ce porno social est vraiment écoeurant. Au sens nauséabond du terme, vous savez, ce pauvre adjectif qui ne sert plus qu'à signaler au lecteur distrait qu'il lit en Z une dépêche parlant d'un faits divers impliquant une croix gammée. Il est réellement enrageant de voir la presse ne nous parler que du cul de telle starlette trépanée à chaque numéro, pour mieux nous faire le coup de la pas-si-conne-que-ça-redoutable-femme-d'affaires une semaine plus tard. Une pute reste une pute, un maquereau reste un maquereau, et le gribouilleur qui les glorifie sous couvert de cynisme bidonné devrait s'amputer les phalanges de honte. Avec cette campagne, nos journalopes nous font passer un petit cran plus loin dans la désensibilisation, l'abrasion des sens, l'engourdissement par overdose de laideur.

Et puis, cerise de chiasse sur le gâteau merdeux, il y a le puritanisme abject de la démarche. Pas gratuit, tout ça, le but est de vous bousculer, de vous interpeller, de vous forcer à réagir alors que la prétendue famille, les faux amis, les vraies larves de collègues et les véritables enculés de supérieurs hiérarchiques se chargent assez de vous puriner les recoins de votre existence miraculeusement abrités du ventilo à étrons médiatique. Une organisation néo-gouvernementale est là-derrière, on vous l'explique bien vite. Tout ça, c'est pour vous montrer ce qu'il se passe à Guano-de-Moineau, la méchante prison de Bush fermée par Saint Bâtard, enfin presque.

Ca, c'est c'est le petit couplet articulé par les blanchouilles à dreadlocks, toujours pas remis de ne pas pouvoir s'autoriser à haïr le président des Stazunis parce que ça serait nazi. Le contrepoint est assuré par le coeur des pleureuses du désert, le citoyen Dante Terrell Smith en tête, qui a voulu se payer son moment de gloire christique en solidarité avec ses frères exotiques à jihad portatif. Il en a bien chié ? Vouiche. Et après il a remis sa panoplie de proxénète, ses huit cent grammes de cailloux brillants, il est remonté dans sa septième bagnole et est retourné se taper de l'ukrainienne de luxe avec les liasses qu'il a gagnées en imitant Greystoke devant des parterres de sous-mongoliens. Je ne crois pas qu'il ait dorénavant choisi de dormir dans une cage.

Solidarité à usage unique. Ca claque.

23/04/2013

NE PAS LOUPER LA SIGNATURE

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Peu avant que ce grand progrès nécessaire inévitable et réjouissant du mariage pède ne soit légalisé au Bougnoulistan du Nord, un quelconque connard publie chez Atlantico un argumentaire en faveur de la chose.

Dette envers les homos à cause des souffrances passées.

Parallèles bouffons d'anachronisme et de portnawak avec l'antiquité romaine.

Les opposants traités comme des hydrocéphales qui demain ne sauront plus ce qu'ils ont voté la veille.

Le bon vieux parallèle pourri qui postule que mieux vaut deux papas qui vous font des mamours que deux parents qui vous scalpent les couilles.

Un sommet de foutage de gueule, de malhonnêteté intellectuelle, de bassesse et d'imbécilité volontaire qui retourne le crâne et l'estomac.

Et puis d'un coup, on se détend, on sourit, on respire et on range (provisoirement) le fusil à pompe parce qu'on a vu la signature de l'auteur.

Il est vrai qu'en Eretz, c'est chose faite depuis si longtemps...

LA HAINE OU LE MEPRIS

Une belle friandise, grasse, douce et croustillante à souhait, signalée par de la Souche chez Libé.

Trop facile, trop évident, un péché de gourmandise, je craque !

Et l'indigestion me donne des visions : demain, tous les paydays qui voudront survivre seront au minimum de droite dite "décomplexée", celle que leurs prétendus porte-parole vomissent encore actuellement. Façon femme battue qui insulte le voisin qui appelle les flics, écoeuré de l'entendre gueuler de l'autre côté du mur.

Pas que je croye qu'il n'y a pas, à droite et très très à droite, le contingent plus que nécessaire de bougres. Mais à part un Gripari ça et là, ils (j'ai pas dit "elles", félicitez la maîtrise de soi) auraient comme tendance à se faire discrets. Ou du moins, ce qui est le minimum qu'on en attend, ne pas faire de leur cul un étendard.

Sodomilitants, qui ne me lisez pas et vous avez bien raison, il faudrait vraiment que quelqu'un vous explique ceci, quelqu'un qui a votre confiance, qui a prouvé qu'il ne vous veut pas du mal MAIS qui ne vous passe pas toutes vos putains de lubies. Moi, ça ne sert à rien. Mais j'ai une demi-heure à tuer avant la prochaine corvée, je vous la consacre. C'est pas gué-freine-de-lit, ça, Madame ? La vérité !

Vous semblez nombreux (j'ai pas dit "nombreuses", ovationnez) à croire sincèrement que la droite, toute la droite, vous en veut par nature et que la gauche est votre famille politique naturelle, la seule où on vous foute la paix. Pour faire plus faux et ridicule, il faut s'imaginer qu'Ariel Sharon va sortir de son coma pour se faire salafiste.

La gauche est métécocrate depuis trop longtemps pour espérer jamais changer. Sa nouvelle classe ouvrière, c'est le lumpen des bas-fonds de la planète. Tout son programme, au-delà des contorsions idéologiques et des plans quinquénaux, a été résumé par Sartre quand il parlait, chez Fanon, d'abattre un Blanc pour libérer un bronzé. La gauche, c'est l'expiation du péché colonial, l'obsession d'inverser la tendance historique, dégager le toubab fatigué d'un podium qu'il ne veut plus occuper, et faire rois ses anciens esclaves. Le reste est fioritures.

Or, est-il besoin de vous faire un topo sur la popularité de vos moeurs auprès du Sparkatus afro-arabe ?

Là encore, pas de foutaises: on y agrandit le cercle de ses amis ni plus ni moins qu'ailleurs. Mais on le fait avec des risques plus considérables que de choper des maladies pas propres. On peut finir accroché à une grue, ce qui est un peu plus désagréable que de se faire regarder de travers.

Ces moeurs indélicates sont importées par canadairs entiers en Europe. La responsable logistique de ce transfert massif, c'est cette gauche que vous imaginez encore de votre côté, parce qu'elle prétend vous permettre de jouer au papa et à la maman. Pour complaire aux plus déséquilibrés d'entre vous, c'est toute votre communauté qu'elle met en danger, un danger très réel, clair et immédiat. Vous savez parfaitement ce qui est plus dangereux pour vous : une soirée avec des supporters hétéros avinés et bourrins, ou une promenade nocture dans un quartier populaire, jeune et vibrant de Diversité.

Les réacs ne vous aiment pas et vous donnent de vilains noms. Les Divers ne crachent pas forcément sur vos services, mais leur phobie prend une tournure autrement plus radicale.

Faf incurable, je vous l'affirme : personne de raisonnable partageant mes quelques convictions ne souhaite vous scalper, vous rééduquer, vous coudre à vif une étoile rose sur la couenne. Vos moeurs nous heurtent, ne nous mentons pas, mais de là à vous forcer d'en changer, ou à vous en guérir à coups de parpaings ? Nous ne sommes - hélas, peut-être - pas si cinglés que ça. Nous ne demandons qu'un peu de décence et de discrétion. De votre part comme de celle d'un couple bien hétéro, encore puceaux à la trentaine et qui, avec un coup dans le nez, se tripote obscènement sur le canapé en se foutant du reste des invités. Pour le reste, nous sommes très disposés à vous foutre la paix. Parce que, de nos jours, c'est cela un nazi: un type normal, tranquille, qui veut bien foutre la paix à tout le monde, et qui se retrouve à accumuler des armes parce que, à lui, on ne fout pas la paix justement, parce qu'on exige de lui repentance héréditaire, acceptation de l'inacceptable, tolérance du dégueulasse, recul et respect de ce qui lui fout la gerbe.

Cette nausée existera toujours. Le plus acharné des progressistes, la ceinture noire de relativisme, le contorsionniste de la tolérance, crachera toujours un brutal et sonnant "pédé" au malotru qui lui grille une priorité, s'offusquera qu'on doute de sa virilité en le traitant de tarlouze. Aucune rééducation, aucun procès, aucune surveillance 24/7 n'y changera quoique ce soit. Différents de la norme, par nature ou par choix, le mépris vous suivra éternellement. Certains s'en sont faits une gloire. D'autres s'en tapent. Il arrivent que d'autres encore craquent et finissent par se défenestrer. Il ne s'agit pas de minimiser ces souffrances, mais d'affirmer qu'elles seront infiniment pires dans le monde dont rêvent les bolchos qui prétendent lutter pour vos droits. Vos représentants officiels, qu'on ne saurait trop vous recommander de museler pour votre propre sécurité, ne veulent pas du respect et de l'égalité. Ils veulent de l'amour inconditionnel. Ils veulent qu'on leur passe ce qu'on ne passerait à personne. Ils veulent les bénéfices de la déviance, une déviance revendiquée, sans passer à la caisse.

Seul nazebroque de tout mon entourage ou peu s'en faut, croyez bien que ce que je vis peut m'aider à piger votre quotidien. Entre la réputation du ouaciste et celle du payday, la plus enviable n'est pas celle que vous pensez. J'essaie de vous tirer des larmes ? Nenni. J'illustre : sans renoncer à rien de ce que je suis et crois, je dois, pour conserver un salaire et éviter des poursuites, mettre quelque peu ma foi en sourdine. Personne ne se fait la moindre illusion à son sujet, mais aussi longtemps que je ne fourre pas des tracts sous le nez des gens, on ne m'en fait pas grief. C'est un statut de pestiféré mondain, de lépreux emballé sous vide. Ai-je besoin de vous dire qu'on s'y fait ? Vous connaissez ça par coeur.

La décomplexion de l'homophobie, la banalisation de l'asticotage voire pire, est non seulement le fait majoritaire de métèques d'importation récente, mais aussi et surtout une conséquence de l'homocratie gauchiste. Socialopes et maoïstes du Rotary ont cru bon de vous draguer en faisant des plus tordus d'entre vous les symboles, les représentants, la moyenne de toute la communauté. Dans leur discours, par leurs actes, dans les échos que leurs larbins médiatiques, la folle est devenue la norme. Nous voilà sommés d'applaudir la plume dans le cul et les froufrous dont, si ça se trouve, vous ne voulez pas plus que nous, bourrins hétéros.Mais ne pas applaudir aux extravagances les plus glaireuses, c'est vouloir vous Ochouitzer par paquets de mille. Dixit la Correction.

Dans un Occident toujours plus Divers, vous allez tenir une forme éclatante ! A force de devoir courrir pour échapper aux mamours Citoyens des Divers, vous allez perdre tous ces kilos en trop et vous faire des fesses d'acier. Profitez-en à fond et dites-vous bien que c'est tout ce que vous avez à y gagner.

 

11/04/2013

GRAND RABOUIN

Savoir si un grand rabbin ait ou non pougné pour remplir des bouquins qu'on ne lira pas sans la menace d'une arme, c'est presque plus chiant qu'un match de foot. Alors on lit distraitement ce qu'en dit un membre de la Tribu, histoire de tuer le temps, jusqu'à cette ligne qui attire l'oeil du judéosceptique qui sommeille en chacun de nous, juste à côté du cochon :

...le soupçon porté sur les juifs de France de déloyauté à l’égard de la République...

Non mais allô q Vous êtes sûrs ? Léjuifs, suspects de dérives antidémocratiques ? Demandez donc à un catho ultra et monarchiste comme de juste, ce qu'il pense de la Gueuse. Puis faites-le boire, mettez-lui votre petite cousine dans les pattes et quand il est à point, asticotez-le un peu sur sa vision de l'implication historique des intéressés dans l'affaire. Vous verrez de quels soupçons il vous parlera !

Nous n'avons aucun doute sur l'amour furieux que Moshe And Co International portent à la République: c'est leur hostilité un poil trop systématique à la Nation qui nous brouille légèrement l'écoute.

Quand on se fend d'un démenti, mieux vaut être au clair sur le crime dont on croit être accusé. Sinon ça sonne un peu comme hurler "Je l'ai pas touchée, cette petite allumeuse" dans un jardin d'enfants, au moment où débarquent flics et pompiers inquiets d'un début d'incendie, voyez ?

29/03/2013

LE DENI DE SODOMIE NE PREVIENT PAS LE MAL DE CUL

 

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Bien qu'ils affirment publiquement que les différences raciales n'existent pas, les gens agissent dans leur vie privée autant que publique d'une manière qui montre qu'ils comprennent que la race est bien plus qu'une construction sociale. Ce qui en est vraiment une, c'est bien entendu le concept d'égalité. D'où lle fait que le dialogue,  dans la BRA (Black-Run America), est à sens unique: il faut constamment rappeler aux Blancs leur ouacisme passé et présent, les forcer à expier leurs privilèges, pour qu'à l'avenir leurs enfants soient à jamais des citoyens de seconde classe.

Le début, la suite et les exemples qui vont avec chez SBPDL.

26/03/2013

LE GENOCIDE EUROPEEN EXPLIQUE SIMPLEMENT PAR UNE BELLE PARABOLE D'IVROGNE

 

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Posons que je vous invite à casser la croûte à la maison.

Oui, l'hypothèse est tirée par les cheveux, que je n'ai pas très longs. Cela supposerait au strict minimum que vous ayez écouté - et compris - l'intégralité de ceci, que vous ressembliez au moins vaguement à cela, un compromis entre les deux options étant bien entendu préférable aux yeux d'un modéré comme moi.

Vous ayant installés avec un apéro à base de taillé aux greubons et chasselas bien frais, je m'éclipse, prétextant le dépucelage d'une excellente bouteille pour l'occasion. Alléchés par les fumets sortant de la cuisine, vous y pénétrez sans autorisation et me surprenez non pas en train de touiller la sauce blanche avec mon troisième bras, mais de remplir une prestigieuse topette d'un grand millésime avec un rince-cochon rosâtre sortant d'un cubi graisseux. Je considère comme très probable que vous convaincre d'en boire et vous le faire apprécier sera un poil sportif.

Pourtant, si vous êtes un grand progressiste, la triste vinasse devrait vous faire l'effet d'un étourdissant nectar, du simple fait de son passage dans une boutanche portant une belle étiquette.

Ah mais oui ! Qui a dit que c'était à la portée du premier connard venu ? C'est difficile, je vous l'accorde. Mais d'une logique !

Si le récipient ne se brise pas, vous pourrez considérer ce pinard comme parfaitement intégré, et considérer tout individu sceptique face à ce raisonnement comme un hitlériste à lobotomiser sans anesthésie car nuisible au Vivransambles.

Si l'on poursuit le long de cette scabreuse métaphore oenologique, l'homme de droite s'intéresse au contenu de la bouteille, tandis que le sursocialisé n'est qu'un méprisable buveur d'étiquette. Pour ce dernier, l'inné n'est rien, l'acquis est tout, et il n'est pas de phénomène humain qui ne s'explique exclusivement par des facteurs environnementaux. Du chasselas transvasé dans une bouteille de pinot se transforme miraculeusement en vin rouge. L'homme ne compte pas, c'est sa place et sa fonction au sein de la société qui importe. Il s'y comporte comme la dernière des merdes ? La société est coupable et doit s'amender en se montrant infiniment plus patiente, compréhensive et maternelle qu'envers, disons ? un joueur de foot qui met son bras à un angle non-validé par la Licra.

Depuis quelques décennies, les propriétaires du monde semblent très intéressés à remplacer le contenu démographique des pays occidentaux, tout leur conservant l'apparence de leur état originel. La devanture du restau gastronomique reste, l'arrière-boutique est devenue un kebab-pizza-sushi bar où les normes d'hygiène sont gang-banguées jour et nuit. S'en formaliser ? Fasciste. Les chiens font très officiellement des chats, parce que reconnaître le contraire serait apporter de l'électricité à la dynamo d'Adolf.

La traçabilité du vomitif hachis de fausses lasagnes surgelées pour le lumpen à crédit-conso ? Plus que nécessaire. Un marigot quelconque où des espèces exotiques, importées par pure obsession du pognon, ont éliminé la faune autochtone ? Un désastre écologique. N'y pensez même pas en matière de groupes et d'individus constituant une nation.

De ce point de vue, les écolos les moins inconsistants, et les plus « respectables », sont encore ceux qui ont assez mûri pour faire leur deuil de l'antique folklore subversif du Komintern et se sont mis au service du libéralisme à visage humain greffé: eux au moins tentent de vous la mettre sans vous faire croire que c'est pour vérifier l'élasticité de votre prostate.

17/03/2013

VOUS AVEZ TOUT FAUX - CONTINUEZ COMME CA

Si je retrouve rapidement une aiguille à me planter dans la fesse, j'arriverai peut-être à verser une larme sur les déboires d'un footeux. Mais outre le légitime mépris que l'on peut réserver à cette répugnante sous-classe sociale, et en faisant brièvement abstraction de tout adolfisme, posons quand même rapidement les faits de manière brute et simple :

Je fais un geste avec le bras et dans les minutes qui suivent, je peux changer de métier. Ni mort, ni blessé, ni détournements de fonds, ni tricherie, ni insulte, ni viol d'aucun règlement. Une articulation qui se déplie, un membre placé à un certain angle, et paf - viré, honni, sali.

On peut faire une belle carrière de déPUTé européen en ayant admis s'être fait masturber par des enfants. On peut revenir aux affaires d'un pays en traînant au cul mille affaires de prostitution de mineures. On peut faire magiquement disparaître des milliards de milliards de francs et toujours être considéré par les chefs d'Etat et les journalopes comme un grand spécialiste de la phynance mondiale. On peut torturer, violer, tuer, et toujours trouver un avocat pour vous défendre, une pouffiasse pour vous marier en prison, une ordure post-catho pour organiser un cercle de silence en votre faveur. Mais il y a un angle de bras par rapport au corps qui, si vous l'adoptez pendant plus qu'une seconde d'inattention, vous dégage de la société des honnêtes gens.

Dans un monde un peu normal, des hordes de supporters auraient déjà parcouru les artères des plus grandes bourgades alentours, offrant des séances d'acupuncture gratuite à toute personne passant à proximité d'une batte cloutée. Mais souvenez-vous, bande de distraits canaillous : ce monde n'est pas normal.

Mais oublions ces remarques de vieux con avant l'âge.

Correcteurs professionnels, castrateurs démocrassouillons, Politkomissars à peluche rose, je vous conjure,

NE CHANGEZ RIEN

Continuez exactement comme ça.

Nous savons, de toute manière, que c'est une question de survie pour vous : dans une ville sans rats, personne n'a besoin d'un dératiseur. Or la seule chose qui vous sépare du suicide collectif face à la grisaille sans espoir de vos minables existences, c'est l'argent de poche que vous vous faites à pourchasser les rats de vos propres élevages.

Le ventre de la Bête Immonde, c'est vous. La Gestation Pour Autrui, ça fait depuis 1945 que vous la pratiquez à vous en fendre le bassin en deux. L'adolfisme mort, carbonisé et dispersé aux six cent soixante-six coins du cosmos, vous en avez conservé des hectolitres de foutre, vous en tartinant le cul à chaque fin de menstrues, pour pouvoir bouffer vos propres bâtards jusqu'à l'extinction des rares spécimens d'humains vaguement intelligents.

C'est dans vos serres putrides qu'ont germé les graines des futurs massacres interethniques. Je suis l'un de vos bâtards. C'est vous, votre saloperie, votre obsession, votre trouble obsessionnel compulsif déguisé en Demoire de Mévoire qui m'a inoculé cette Haine que vous passez votre vie à renifler, comme des eunuques qui se feraient embaucher dans une commission de censure, histoire d'être payé à mâter du porno sans bander. Vous faites pire encore que ces tribus grotesques des égouts de la planète, qui tannent la gueule de leurs gosses quand ils se chient dessus à l'âge où le contrôle du sphincter est physiquement impossible.

Merah et Breivik, c'est vous. Tous les Merah et tous les Breivik de notre gerbatoire avenir, c'est vous qui les avez conçu, élevés, nourris, nazifiés, holocaustocratifiés.

La sagesse populaire prétend qu'à quelques centimètres d'une plante toxique, pousse son antidote, à disposition de qui sait le voir. Nous autres, archétypes de tout ce que vous considérez comme ce qu'il se fait de pire à la surface du globe, nous sommes précisément cela : votre contre-poison.

08/03/2013

LE PUTAIN DE NEOLOGISME GLOBICHE A LA CON DU JOUR

"Ils pimpent votre smartphone"

Oui.

Pimpent.

Quand on n'est plus capable d'éprouver la moindre espèce d'espoir, le seul recours est d'avoir chevillée au corps une indéfectible naïveté. Sans elle, à force, plus possible de se foutre en rogne, parce que plus possible d'être encore surpris par l'obscène foutage de gueule assumé de nos maîtres à ne-pas-penser.

Si encore ces enfilés avaient parlé de customisation de téléphone portable ! C'est laid, ça se traduirait littéralement par coutumisation, mais enfin ça aurait juste été tolérable, en un temps où, après tout, des "supporters" supportent une équipe, au lieu de la soutenir...

Au vu du nombre de richissimes mercenaires métèques qui monopolisent le haut du panier de crabes putrides qu'est le foutreball mondialisé, le terme n'est peut-être pas si inadéquat. Mais je m'y connais autant en baballe qu'en tricot, faut-il préciser.

Mais non. Nous avons droit au pimpage, du néoverbe pimper, dérivé du globish pimp, ou maquereau, nom masculin désignant originellement le bel et noble emploi de proxénète. Il semble, depuis quelques modestes années,  désigner toute forme de luxe ostentatoire et du plus mauvais goût possible, considéré comme tolérable, banalisable ou amusant parce que nègre.

(Puisque tout ce qui semble intéresser nos frères de la brousse est à prendre avec des gants de soie, j'attends avec impatience la glamourisation du cannibalisme; en vrai amateur de cochonnaille, il m'attristerait de crever sans goûter du filet mignon de bipède)

Depuis plus récemment encore, le terme s'est transformé en verbe pour décrire
la personnalisation  - ou tiouningue - de toute espèce d'objet de consommation proposé par la société capitalopatriarchale leucocentrée hétéronormée ouaciste dans le but exclusif d'asservir les populations sous-capables défavorisées qui, ça tombe sous le sens ! démontrent leur féroce sens de l'humour et de l'ironie irrévérencieuse en singeant le bourgeois haï, en détournant ses codes, et autres dégueulons mao-freudien de mes couilles.

Pour la reconnaissance par le dictionnaire de l'Académie Française, prière de patienter jusqu'à ce que Christiane T'Oubliera soit (enfin!) nommée Immortelle.

Si quelque soralien veut se réjouir de ce doigt d'honneur à la Correction Politique féministe en pleine journée de la chatte, qu'il se fasse plaisir, je passe mon tour.

30/01/2013

LES BLANCS NE SAVENT PAS SAUTER (ni rien faire de marrant, d'ailleurs)

... mais il arrive que le dire soit perçu comme nazi. Ah, c'est pas facile...

Poutine semble jouir d'une certaine popularité auprès de quelques fafs, du simple fait que nos journalopes s'enchient les babouches quand on leur précise qu'on ne parle pas de gastronomie québécoise. On peut donc s'attendre à ce que Volkswagen, outre son glori triste et sombre et horrible et lacrymal passé, devienne une nouvelle référence faf-friendly.

Vous voulez quoi ? C'est pas compliqué, un nazebroque : trouvez-lui n'importe quelle saleté honnie par le régime ou ses boniches, et il se frottera contre pour en prendre l'odeur.

Dans ce nouvel épisode de cette succession infinie de piège à cons, nous avons une grosse entreprise qui refuse courageusement... de perdre de l'argent en cédant à la routine du chantage racial.

De fait, c'est une surprise, tant les épiciers planétaires nous ont habitués à nous fourguer de la haine anti-blanche pour nous accoutumer à leur putain de came.

Maintenant, vous l'avez vue, cette pub de mes deux ? On y voit une grosse Blanchouille bien jobarde se négrifier de joie parce qu'elle conduit une bagnole. (Notez au passage le bridé à lunettes, sans doute responsable informatique et/ou comptable, qui lui aussi retrouve la joie de vivre grâce au retour aux sources puisque nous sommes tous afouiquains, s'pas.)

Le message n'est pas "ouaciste" dans le sens où Foutrewagen se foutrait de la gueule des Jamaïcains, de leur indolence, de leur candeur et de leur bonne humeur perpétuellement cannabinée. Tout joue sur le contraste entre une face blanche et un comportement présenté comme typiquement noir - et valorisé en tant que tel.

On retrouve donc l'allusion fine comme du béton du potentiel érotique du Bon Sauvage de la Brousse Enchantée : ah, si seulement nous étions aussi décontractés qu'eux ! Et pas si Blancs, si tristes, anxieux, déprimés, mous d'la bite, orphelins de Mama Gaïa...

Ou pour citer Nabe, qui a mieux que quiconque résumé l'affaire :

J'espère que les Noirs vont finir par enculer tous les Blancs et les assombrir pour toujours. (...) Les Noirs sont la race la plus noble, celle qui se fait le moins chier, celle qui contient les plus beaux spécimens de merveilles physiques, la race esthète par excellence, celle qui pue la force et la santé, la gaieté et la sagesse, la grâce et le bonheur.

Une fois de plus, on a tout simplement Monsieur Toubab qui se fait encaguer la gueule par les publicitaires. La différence, c'est que nous sommes allés tellement loin dans la Correction Politique que même les Divers, Diversophiles, Diversocrates et grossistes en Diversitudes parviennent à s'offusquer de ce grossier et maladroit hommage.

Mais qu'on se rassure : nous sommes loiiiiin d'avoir touché le fond en la matière.

20/01/2013

"UNE NOUVELLE IMAGE POSITIVE"

Le credo de «Fuck Positive»: donner une «nouvelle image positive mais réaliste du VIH».

La bonne réputation du choléra se maintient malgré les centaines de millions de Dommages collatéraux et d'oeufs cassés pour une omelette qui n'est jamais sortie de la cuisine...

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Quant à la réhabilitation de la peste, on y travaille, mais va falloir être patient.

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* * *

Sinon, dans les autres nouvelles d'une phénoménale importance, sachez que McDoom veut tenter d'embrasser Audrey Pulvar. Heureusement qu'on est prévenus, parce qu'en découvrant la future photo de l'abominable happening, on aurait risqué de penser à une sombre histoire d'inceste entre deux jumelles.

 

17/01/2013

MODERNE, TROP MODERNE

Au programme d'Arte l'autre soir, un film résumé comme suit. Tout y est - n'y manque qu'un philosophe nègue à lunettes et un génial violoniste ashkénaze :

Au XIXe siècle, à Londres, un jeune médecin invente le vibromasseur dans le but de traiter l'hystérie et s'éprend d'une féministe en délicatesse avec la loi.

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16/01/2013

NEGRO UNCHAINED

Scandale autour d'un film dont la violence rappelle Leni Riefensthal, plus insupportable encore après les récentes tueries au Yankiland.

Non, il ne s'agit pas de la dernière bouse tarantinienne, où un Superblaque bute en série des Faces-de-Craie ouacistes et/ou stupides et/ou méchants. Jamie Foxxxxxxxx s'est d'ailleurs félicité de ce rôle leucocidaire face à un public blanc hilare et enthousiaste:

 

Cette glorification seyx de la violence raciale, David Clennon et autres saltimbanques ex-Blancs n'y trouvent rien à redire. Et c'est bien normal, s'pas ?

D'ailleurs si ce deux-poids-deux-mesures vous choque, consultez rapidement un spécialiste : vous risquez le dérapage, l'amalgame, la phobie, voire la nauséabondance. En même temps, si ça vous choque plus que ça ne vous fait rire jaune, vous ne lisez sans doute pas ce blog.

La presse, d'ailleurs, est unanime : un film où le personnage principal d'une couleur particulière se livre à un massacre de personnages secondaires d'une autre couleur n'est PAS nazi si le héros est nègre. D'ailleurs, le réalisateur est au-dessus de tout soupçon : son dernier exploit mettait en scène des juifs scalpant des nazis, c'est dire si sa moralité est irréprochable. Vite, une statue de cire au Yad Vashem !

Entre nous, soyons clairs : nous ne désirons pas que la Correction s'applique pareil à tout le monde. Ce serait cohérent d'un point de vue idéologique, mais nous ne sommes pas des idéologues. Tout ce que nous voudrions, c'est vivre dans un monde où l'auditoire de Jamiexxxxxx XoX lui balance des parpaings, des courges agrémentées de clous, voire des koalas pourris, au lieu d'être morts de rire quand on leur dégueule ouvertement au visage.

C'est trop demander, hein ?

13/01/2013

LES SS CONTRE HITLER - ou le Quatrième Reich à l'échelle cosmique

13H07 - Sacré coeur - Place Pinel , près de la Place d'Italie, les manifestants de civitas tiennent des drapeaux arborant le sacré coeur. Sur une banderole on peut "Non à la décadence maladive". D'après la journaliste de l'AFP Alix Rijckaert, un groupe de jeunes hommes aux crânes rasés et habillés de noir vient de rejoindre la place où l'alliance royale s'était donné rendez-vous. (Ici)

A trois, tout le monde claque des dents !


Interrogé par BFMTV, Xavier Bongibault, l'un des porte-paroles de la "Manif pour tous" compare le président de la République François Hollande à Hitler, renouvelant une démonstration à laquelle il s'était déjà livré le 17 novembre dernier. Citant explicitement le président de la République, il l'accuse d'être dans la droite ligne d'"un homme bien connu à partir de 1933". "On vous explique que les homosexuels sont pour ce projet de loi, parce qu'ils sont homosexuels. C'est une logique choquante et homophobe de la part de ce gouvernement", explique-t-il avant de développer : "C'est dire que tous les homosexuels n'ont pour seul instinct sexuel leur orientation sexuelle : c'est la ligne défendue par un homme bien connu à partir de 1933 et c'est la ligne que défend aujourd'hui François Hollande." ()

Bouh !

Il va de soi que rire de sujets si graves est le propre des petits-fils d'Adolf (du genre de ceux qui bloguent anticitoyennement, avec des jeux de mots malodorants et qui rappellent d'obscures minutes de notre passé et ce genre de Turcs trucs.

HITLER alive.JPG


29/12/2012

BON SENS, cal.44

(...) Plus on s’élève dans la superstructure étatique, plus les armes — leur possession par les citoyens et leur port — apparaissent comme inacceptables. Aucun État totalitaire n’a jamais laissé ses ressortissants s’armer, précisément parce qu’un contrôle total sur les cœurs et les esprits présuppose des individus vulnérables et qui ont donc besoin d’être protégés. L’État voit toujours d’un œil au mieux méfiant, au pire franchement hostile, le fait que de simples individus puissent s’armer et se défendre, et ce en dépit des professions de foi démocratiques dont on nous abreuve à longueur d’année électorale.

Or les journalistes français sont aujourd’hui, en tout sauf en nom, de véritables fonctionnaires. Ils jouissent d’avantages fiscaux garantis par l’État et d’un pouvoir d’influence qu’ils mettent généralement au service du plus fort. Ils frayent avec les élites politiques et économiques, leurs journaux et leurs chaînes de télé sont grassement subventionnés avec l’argent du contribuable, quand ils ne sont pas purement et simplement « publics » ; ils sont donc de facto les agents sinon de l’État, du moins des puissances d’argent et des pouvoirs qui soutiennent ce dernier. Lorsqu’ils critiquent les armes d’une seule voix, ils ne font donc que défendre leur propre intérêt : l’édification d’une société aux ordres. (...)

Le reste sur le Boulevard.

Le raisonnement est pertinent pour la presse, particulièrement en ex-France. Mais comment expliquer la fascination de leur discours sur des intellos gauchistes fauchés, pas du tout intégrés dans la structure du pouvoir, petites mains bénévoles de l'ensalopage ethnoculturel généralisé ? Des éléments chez AltRight :

(...) A gun is an obvious symbol of male power, sexuality and virility. This is the real reason why the gun issue is such an emotional flashpoint for feminists and prompts them to frantic outbursts such as the one at the NRA press conference. Unfortunately as our society gets ever more feminized, as masculinity is ever more marginalized and the traditional male virtues of strength, agency and vitality are ever more demonized, a growing number of virtually cuckolded liberal beta males can be expected to fall in line with this agenda and willingly castrate themselves on the altar of feminism. And of course in a democracy politicians are all too willing to indulge this sort of movement in exchange for power.

In a 1994 research paper titled “Sex and Guns: Is Gun Control Male Control?” Canadian sociologist H. Taylor Buckner documented three surveys he conducted of his undergraduate students concerning their attitudes on guns and gun control. He concluded that:

…students who were pro gun control were also pro homosexual, pro censorship of pornography, and not experienced with guns.

and that:

…men and women have different patterns of motivation for being pro gun control. The men who favor gun control are those who reject traditional male roles and behavior. They are opposed to hunting, are pro homosexual, do not have any experience with or knowledge of guns and tend to have “politically correct” attitudes. The women who support gun control do so in the context of controlling male violence and sexuality. Gun control is thus symbolic of a realignment of the relation between the sexes.(...)

20/12/2012

BONDIEUSERIES

C'est bientôt l'anniffe à Jésus, causons un peu mysticisme biblique et trahison systématique de l'Occident.

Sans l'avoir aucunement sollicité, je reçois dans mon innocente boîte aux lettres Quart d'heure pour l'essentiel, feuille de rave de l'Alliance Evangélique, cautionnée par Eveline Fruit-d'mer-Schtroumph, ci-devant Présidente de la Confédération, qui s'y fend d'un édito sur la générosité. S'ils peuvent mettre la main dessus, c'est une lecture que je recommande à mes amis réacs portés sur les bondieuseries.

En page 5, Un grand coeur pour les enfants de Beyrouth. Jolies photos de faciès des bidonvilles libanais, où une Vaudoise a ouvert une école (peut-être même y a-t-elle creusé des puits).

"Khaled a commencé à fréquenter notre centre ue année où j'enseignais les mathématiques dans sa classe." Cet adolescent posait un rpoblème: il arrivait systématiquement en retard. "Si un autre enseignant que moi avait commencé la journée, Khaled aurait été renvoyé, conformément aux règles de notre école." Mais Catherine M. [patronyme extraordinairement vaudois, on s'en doute] avait discerné le potentiel de cet adolescent.

Oh oui, on s'en doute, surtout point de vue rigueur. La Fondation Nobel lui a déjà mis au frais son prix d'astrophysique 2040.

Page 6-7, portrait de Ernst S., "pasteur révolutionnaire" qui

"nous exhorte à modifier notre comportement envers les demandeurs d'asile. Deupis qu'il a été sauvé miraculeusement à la suite d'un accident de voiture, il s'engage sans relâche envers les marginalisés.

Les traumatismes crâniens peuvent, dans certains cas, provoquer des troubles de la conscience. Répondant à une question sur ses rapports aux marginaux, notre saint homme explique :

"Je n'appellerais pas ces personnes "marginalisées", car elles ne se trouvent pas en marge. Elles font partie de notre société et sont donc parmi nous. Néanmoins, l'amour de Dieu peut aussi être trouvé en marge de la société.

Marge qui, rappelons-le, n'est pas vraiment en-dehors de ladite société. Un modèle pour son travail quotidien ? Mais bien sûr ! Mais comment donc :

"Martin Luther King est pour moi un grand modèle. Il a compris l'Evangile dans un sens politique et l'a transmis au peuple."

Le peuple oui, mais lequel ?

En page 8, en introduction au portrait d'un ancien braqueur à qui Dieu a pardonné ses erreurs :

"Certains chercheurs et auteurs de romans policiers [un charcutier et une potière ont également été consultés]  avaient affirmé que l'on peu naître avec le gène du cambrioleur. Mais les analyses récentes [celles de la potière en particulier] prouvent le contraire."

Où il y a du gène, le plaisir n'est pas Citoyen.

En page 10, un encart évoquant "90 000 cadeaux pour les démunis des pays de l'Est." Une photo de mouflets au profil typiquement slave : peau mate, yeux noirs, cheveux noirs. Sur la page d'en-face, une pub appelant à "Libérer un enfant de la pauvreté pour toujours." Une tête à longue chevelure blonde se penche amoureusement sur le facies renfrogné d'un petit Afouiquain. Parrainez-le, pour soulager ses parents infoutus de s'occuper de lui et de ses quinze frères, et dans quinze ans, vous aurez la satisfaction d'avoir quinze chtis nenfants supplémentaires à sponsoriser. Visiblement, y a pas que les pains et les poissons qui se multiplient miraculeusement.

Page 14, rubrique "psycho" ("cinglé", en rosbif), et un article sur "Les cadeaux, langage d'amour". Un joli couple s'offre un joli paquet. Lui, à mi-chemin entre Barak Hussein et Harry Belafonte. Elle, un petit côté Rama(etc.) Yade, avec une coupe évoquant une chapka en peau d'oursin.

Page 15 : le récit édifiant de "Bojan", "piégé par la drogue" et sauvé par la foi.

Page 18 : une mission nous enjoint à "aider des enfants comme Kushboo." La gamine est, cela va de soi, très blonde avec les yeux très clairs.

Page 20 : en illustration de "L'appel à la générosité dans la Bible", un gros livre feuilleté par une main très noire. En-dessous, une demi-page de pub pour un machin d'aide d'urgence : deux mains très noires manipulant des boulettes apparemment obtenues en malaxant du foutre et de la farine.

Page 22, un appel aux dons, parce que "Chaque enfant compte". On nous y parle de "Nee *(prénom d'emprunt), un jeune garçon du Myanmar" et de son triste quotidien.

Du coup, ça donne presque envie de réécouter Deicide.

14/12/2012

INDIGNONS, INDIGNONS LES POMPEUX CORNICHONS

Marion Maréchal-Le Pen indigne la gauche dans l'hémicycle.
Voui voui voui. Comme ça, sans prévenir.

On aurait aussi pu écrire :

Marion Maréchal-Le Pen incite les putes à la débauche

Marion Maréchal-Le Pen provoque des pets chez des mangeurs de chou

Marion Maréchal-Le Pen scandalise les rats en évoquant la peste noire

Marion Maréchal-Le Pen fait lâchement trébucher des tétraplégiques

Marion Maréchal-Le Pen donne de l'eczéma à un lépreux

Marion Maréchal-Le Pen veut interdire la vente de légumes aux charcutiers

 

L'Amiral suggère également :

MMLP veut circoncire les juifs et les musulmans

MMLP propose d'utiliser des parapluie quand il pleut

MMLP trouve les chatons mignons

MMLP déclare que la sodomie à sec est douloureuse


Coach Berny en rajoute une couche :

Marion Maréchal-Le Pen est la fille de la sœur de sa tante. Faut quand même pas déconner merde !

 

Paul Debedeux propose :

Marion Maréchal-Le Pen dit aux homos qui veulent se marier d'aller se faire enculer

 

Crétinus Alpestris suggère :

Marion Maréchal-Le Pen noircit les conséquences de l'immigration.

Marion Maréchal-Le Pen donne la jaunisse à Jean-Vincent Placé.

Marion Maréchal-Le Pen rend écarlate Mélenchon.

Marion Maréchal-Le Pen, fille et petite-fille des Le Pen, ose penser que les "problèmes" ne sont pas uniquement culturels mais génétiques.

 

Pharamond relève le niveau :

Marion Maréchal-Le Pen contrefait la couverture d'un album de Martine.

Marion Maréchal-Le Pen fête Noël le 25 décembre.

 

Le Pélicastre aggrave son cas avec :

Marion Maréchal-Le Pen est la petite fille de son grand-père.


Carine rappelle que :


Marion Maréchal-Le Pen a loupé le casting de 120 secondes.

Marion Maréchal-Le Pen a postulé au poste de directrice de la starak