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13/10/2013

GLOBALEMENT POSITIF

Merci à l'hoplite pour cette épiphanie dominicale.

On se détend, car tout va bien. Les problèmes qui nous paraissent insolubles vont se régler d'eux-mêmes avec le temps. C'est tout simple, limpide.

Apporter soi-même à vélo ses cartons et son bac d'épluchures de patates à la déchetterie communale ? Bouffonnement insuffisant, ça tombe sous le sens. Regardez le petit film jusqu'au bout (en faisant l'impasse sur le commentaire en français, d'un insoutenable amateurisme), pour parvenir aux dernières minutes, dont le message, là aussi, est clair. Pour l'élite de l'hyperclasse, pas de changement particulier: juste plus rien des phénoménales réserves de pognon, tout étant investi jusqu'au dernier centime pour ne rien perdre des privilèges addictifs. Pour nous autres, selon le niveau de chance, retour quelque part entre le quotidien du XVIè et du XIXè.

La surpopulation ? Un peu de patience, c'est bientôt réglé. Le développement sans fin, la mondialisation d'un style de vie vorace en énergie non renouvelable d'un bout à l'autre de la planète ? Chimérique. Durera une génération et demi au maximum. Parce que tout ça demande de l'entretien, donc des compétences, donc un niveau d'intelligence minimal. Or ça fait partie des choses réparties les plus inégalement à la surface du globe. Les progressistes et les Corrigés ne veulent pas l'entendre - littéralement : ils en sont à se remplir les esgourdes de dentifrices et à hurler des incantations à Saint Mandela pour couvrir le bruissement si agaçant que produisent les faits.

Qu'importe.

Broutilles.

Ils y viendront et/ou en crèveront. La trop grande croissance démographique de l'humanité va disparaître d'elle-même pour les mêmes raisons, et selon le même schéma qui fait que le Tiers-Monde est en train de claquer la gueule ouverte : trop de gamins, pas assez de manioc.

Vous avez remarqué, ces dernières années, comme le spectacle tente régulièrement de nous convaincre de bouffer des insectes ?

Bien entendu, personne n'accepte de claquer la gueule ouverte. D'où les vagues d'invasion migratoire dont les récentes victimes tirent des larmes à Margot ces derniers temps. Ces vagues vont, elles aussi, croître à qui mieux mieux à l'avenir pour venir s'échouer un peu partout en Occident. Ceux qui ne n'y resteront pas en chemin seront accueillis, nourris, logés, soignés, avec une attention particulière pour donner un maximum de vigueur à leur ressentiment et leur conviction d'avoir droit à tout ça parce qu'ils sont pauvres et bronzés.

La populace blanchouille ne s'y opposera pas. Son échine mentale est brisée, sa conscience collective violée et salie, sa vulnérabilité entretenue façon bonzaï. Le nouveau monstre siamois, entre prétendue gauche cosmopolite et prétendue droite populiste, a devant lui un glorieux avenir. On ne peut pas en dire autant de la civilisation européenne, mais les meilleures choses ont une fin, s'pas ? C'est l'oeuf indispensable à l'omelette du futur. L'avenir de la planète l'exige, faut s'y faire les cocottes.

Tout ça fera qu'à mesure que l'Afrique verra fuir ses enfants, l'Europe s'empressera de lui en fournir de nouveaux tout neufs et bien beige. Le modèle brésilien va s'exporter un peu partout dans l'hémisphère nord. Déjà bien entamé par la nocivité croissante de l'emprise des merdiats, le niveau intellectuel et culturel de la plèbe va plonger sous l'action d'un métissage généralisé à l'ensemble des couches basses et moyennes de la société.

(Dans les hautes sphères, la tendance déjà observée de nos jours est plutôt à l'eugénisme. Faites un tour dans les mal nommées rues basses de Kalvingrad, en particulier les jours où les clinquantes boutiques font la fête : vous ne croiserez jamais nulle part ailleurs plus de blondes sculpturales dépassant le mètre septante-cinq.)

Structure sociale complexe + haut niveau de technicité + population toujours plus crouillo-négroïde, vous voyez le résultat de l'addition ? Effondrement technologique puis démographique. Autant espérer qu'un train de marchandise arrive à destination avec un bonobo au volant, fut-il excellement dressé. Les usines qui ne tournent plus. Pannes d'électricité à l'échelle de régions entières. Plus rien qui n'est entretenu de manière à durer. Le bidonville comme modèle d'organisation sociale majoritaire. Le crétinisme généralisé - avec ça et là des petits kibboutz de luxe réservés à ceux qui auront eu la cruauté et la discipline nécessaires à maintenir leur lignée et leur niveau d'origine.

Dépopulation faute de savoir/pouvoir soi-même tuer sa viande et faire pousser ses patates. Le rythme d'épuisement ressources non-renouvelables qui chute faute d'individus capables d'organiser le pillage actuel ou d'imaginer, mettre en place et faire durer les structures indispensables de son accomplissement. Un cercle vertueux de décroissance initié par la pire décision possible en matière de préservation culturelle.

La planète sauvée par la négrification générale.

Et il s'en trouve encore pour s'étonner que les écolos paraissent finalement plus obsédés par le ouacisme que par la lutte pour la sauvegarde de toutes les espèces autochtones.

09/09/2013

THERE'S NO MORE TO BE DONE OR HOPED OR FEARED

02/09/2013

DEGAT TOTAL

Bécane en plusieurs morceaux, tous les os en place et pas un centimètre de peau qui manque. On dirait que j'ai un putain de bol. Ou alors c'est parce que Bacchus est sensible à la flatterie, et qu'il me récompense ainsi non seulement de pratiquer avec tant de dévotion, mais de me le représenter comme le Grand Motard Céleste.

Untel pense que j'ai dû avoir la peur de ma vie. J'aimerais pouvoir réfuter sans que ça fasse prétentiard. Le fait est que je n'en ai pas eu le temps. Ca a fait : Elle me fait quoi cette conne ? Ah mais oui putain elle me coupe la route ! Boum. Par terre.

Untel bis, à qui j'exhibe mes bleus, me demande si "ça fait réfléchir". Je dois bien admettre que non. J'en conçois une vague gêne, mais du fait de ne pas être plus gêné que ça, précisément.

21/08/2013

JAMAIS ASSEZ - bis ter ad mortem

Foutrement compliqué, ce culte des morts casher. Qu'on crache dessus (interdit!), qu'on s'en foute (impensable!) ou qu'on en fasse des tonnes (moindre des choses!), c'est un peu pareil : on n'en fait jamais assez.

La chefferesse de l'Allemagne-non-nazie va se rouler dans les cendres de Dachau pour prouver qu'elle est effectivement non-nazie ? "De mauvais goût" selon les verdâtres boches, surtout en période de parade amoureuse face aux groins du bétail démocratique. On aurait cru que, comme l'apéro, y avait pas d'heure pour ce genre de saloperies puritaines. Compliqué, putain, compliqué ! Heureusement qu'un Peuplélu a salué l'exercice de reptation, on aurait sans cela frôlé le dérapage.

La jurisprudence et la morale journalistique voudraient pourtant, au contraire, qu'un politicard teuton désireux de marquer des points électoraux se la joue semi-quart-crypto-nazi, voyez ? Flatterie des bas instincts génocidaires de la plèbe, tout particulièrement allemande, ça va tellement de soi que l'écrire met mal à l'aise.

A ce stade-là, on est bien au-delà de la marche sur des oeufs : c'est de la lévy lévitation sur du caviar.

Sociologues de mes burnes et théologiens de mes fesses, quand le wolof version hip-hop/SMS sera le sabir courant de l'ex-Europe, il sera trop tard pour analyser froidement la dimension RELIGIEUSE ET MYSTIQUE de l'Eau-Low-Cost en Occident au XXIème siècle, en êtes-vous seulement à moitié conscients ? Ou est-ce que vous appliquer avec tant d'ardeur à ne PAS faire votre boulot vous fait vous sentir tout rose et tendre à l'intérieur ? 

 

22/06/2013

QUAND ON N'A QUE LA HAINE

All that remains is hate, which has kept many a man alive through much worse than what is now or is coming next. The important thing about hate is to include it in your day the same way you do salt on eggs. A pinch is too little and a pound gives you a heart attack, but used in moderation it offers just enough of a kick to begin the morning right.

08/06/2013

L'OFFICIALISATION DE LA TARLOUZERIE VUE DE SUISSE, ET AUTRES CONSIDERATIONS INDISPENSABLES

Un correspondant me demande ce que la presse et le public de Chuiche a bien pu dire et penser de l'officialisation de l'enculade en ex-France. Je sais que cette question vous ronge depuis longtemps, alors voilà:

J'ai retiré l'impression que la presse romande a observé la chose avec le calme et la discipline d'un bon larbin - obéissant mais sans exubérance. La chose est faite, on en cause parce que ne pas en causer serait inimaginable, et en bien parce qu'en dire du mal est considéré comme suicidaire. Il serait tentant d'y voir une forme de lassitude face au tsunamerde qui nous submerge, mais c'est surtout de la zombitude, quand bien même il se trouverait des journaleux pour triquer sincèrement face à l'événement. Ce qui nous tient misérablement lieu de presse conservatrice - en Suisse-Allemande - s'est peut-être fendue de commentaires annexes sarcastiques, mais guère plus.

La plèbe ? Je ne saurais vous dire avec certitude. Les gauchistes de mon entourage ont acueilli la nouvelle avec décontraction : après tout, l'Espagne avait déjà franchi le pas, c'est dans l'ordre des choses, pas de quoi en faire un Epoisses, c'est quoi ton problème, etc. Mais prenons l'exemple de Madame et sa Mère, plutôt Correctes d'ordinaire: la chose les a sinon franchement révulsées, du moins agacées.

Cela n'engage bien sûr que moi, mais j'aurais tendance à croire que cette énième humiliation s'inscrit, dans l'oeil du Chuiche moyen, dans le cadre de son appréciation de l'ex-France en général : un nouvel exemple de Grand N'importe Quoi hexagonal, une mesure dont le battage médiatique s'explique par la platitude de l'actu et la nécessité de camoufler le désastre politico-économique général dans lequel patauge le pays.

Moi-même, gros nazi comme vous le savez, je peine à voir dans la chose un pas décisif dans notre dégringolade collective.

Tout cela est, somme toute, d'un colossal banal, dans l'ordre des choses qui dans leur ensemble vont de travers. J'attends et espère bien pire, bien plus grotesque: un Président se croyant obligé de tomber le pantalon pour révéler son string rose fluo durant les cérémonies officielles du Jour de la Mémoire des Déportés Juifs Homosexuels, par exemple. La common decency a été si finement broyée que la caricature n'est qu'à peine outrancière, étrangement probable. La légalisation de la polygamie et de la zoophilie ? Elles se fera sans ramadam excessif. Les réacs qui croient encore secouer les consciences engourdies avec ces épouvantails sont des chasseurs d'orage armés de pébroques en papier mâché. Ensemble, tout devient possible, et les abominations qui auraient fait crever de honte et de dégoût mon grand-père mobilisent à peine l'attention de Monsieur Moyen.

Nous en parlions pas plus tard qu'hier soir avec ma frangine, intéressant specimen de carriériste athlétique ne désirant pas d'enfants et rompue à toutes les courbettes progressistes: elle-même se rend parfaitement compte de la surinformation ambiante, et de ses effets. Le cul de Nabila, le suicide de Venner, l'homoenculade républicaine, le printemps bougnoule, la météo crado, le réchauffement climatique, l'huile de palme, Secret Story, Ochouitze, Fast and Furious 34, tout cela se mélange en un abject smoothie mental que chacun avale en se croyant pas dupe, complètement étourdi, étranglé par les exigences d'un patron psychotique, le rythme inhumain d'une famille semi-composée, les courses alimentaires, les salamaleks familiaux, les addictions plus ou moins sales, et un tranquille désespoir que cette accumulation permet de camoufler en petite fatigue passagère...

Bref : aucune importance, parce que plus rien n'en a, ne peut en avoir. En auraient des choses auxquelles nous aurions le temps, les moyens et la rage de réagir.
Quelques centaines de milliers de cathos ont pour une fois senti l'impact du glaviot expédié au fond de leur gorge par l'Hyperclasse et ont singé les gauchistes dans leurs moeurs manifestantes, se faisant baptiser à la matraque et au lacrymo. Je ne chie pas sur leur courage et leur détermination, mais je me demande où sont les milliers d'activistes de l'OAS, de Breiviks, d'Unabombers, de McVeigh qui, depuis 20 ans déjà au moins, auraient dû surgir et massacrer à l'aveugle face à tant de haine et de volonté délibérée de salissure et d'extermination.

"Que l'on touche à la liberté, Et Paris se met en colère" - ah ouais ? LOL. Notre capacité à nous foutre en colère a été ECRABOUILLEE, point. Nous sommes les Elois de la Machine à Remonter le Temps, et en Suisse comme en France nous contemplons le spectacle dantesque de notre propre abbatage industriel, avec une sourde angoisse, vaselinée par les antidépresseurs, les dopants, le porno et le crédit-conso, la bave aux lèvres et les yeux vitreux.

Dans ce magma général, le coup de feu de Venner a résonné comme le bruit d'une porte blindée qui claque au loin dans un asile de fou à échelle planétaire: une partie des pensionnaires l'a entendu de leur cellule, sans trop savoir de quoi il retournait, et sans que ça les retienne trop longtemps de recommencer à compter leurs orteils.

21/05/2013

DERNIER BRAS D'HONNEUR

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J'apprends la chose du retour de l'hôpital, c'est parfait avec le temps qu'il fait. Ambiance Camp des Saints, en direct, sans effets spéciaux. Ca pue et ça sent bon à la fois, comme de coutume pour les narines trop longtemps plongées dans de la naphtaline.

Eclabousser de son sang l'antre de la Grande Métisseuse, que certains pensent encore être la solution et non pas l'un des tentacules du problèmes du Grand Remplacement, on concédera que ça a une certaine gueule.

"Le geste intrigue", commente le Figamou. Belle épitaphe de la part de cette ex-droite qui, décidément, n'a toujours absolument rien compris. J'espère très égoïstement, et sans excès déraisonnable d'espoir, que la NRH lui survivra.

A votre mémoire et votre oeuvre, Monsieur V.

 

Ma caboche fatiguée est pleine d'électricité, tandis que je rumine la nouvelle, mon gamin dans les bras.

Un tel geste n'est pas qu'un ultime bras d'honneur à la trahison, à la Correction et à la machine à bousiller les Aryens. C'est un doigt accusateur, humiliant, impérieux, qui se pointe dans la gueule de chacun d'entre nous, une voix de pure rage qui nous demande

ET TOI ?

Toi qui prétends avoir des idéaux, qu'as-tu fait à ce jour ? Qu'es-tu prêt à faire ? Quel geste nouveau, spectaculaire et symbolique seras-tu capable d'accomplir à l'instant crucial ? Toi qui agites si volontiers la fierté de ta lignée et tes ancêtres, auras-tu la force et la noblesse de les rendre fiers de toi ?

07/05/2013

CARLYLE CLUB

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L'original en format lisible

et d'autres taquineries de la même race espèce

ICI

Pas envie de vous taper la rata avant de passer au calva ? Allez directement ici:

In this week’s issue of Radish, the Thomas Carlyle Club for Young Reactionaries (Students Against a Democratic Society) finds solace and inspiration in the glorious cultural heritage of the white race.

Yes, I know, we’re not supposed to call it that.

27/04/2013

LOUNES

Si chaque grande ville de France comptait seulement un petit millier « d’enragées volontaires » de l’espèce de Emma West et de Jacqueline Woodhouse alors nos ennuis seraient résolus très rapidement. Personne, aucun cargo d’immigré, aucune pelletée de crépu d’ou qu’ils sortent, aucun décret-loi, aucun serpent racailleux cannabique, aucune loi aucune industrie aucun principe frauduleux, aucun lobby même le plus immonde ramassis la plus concentrée fourmilière de cafards richissimes déchaînés de racisme à mort anti-blanc ne peut tenir une seconde la distance contre une femme qui a décidé d’avoir ce qu’elle veut. (...)

Les faits concrets les voici. Surreprésentation extraordinaire des gens de ce sérail dans les domaines suivants: production et diffusion de la pornographie, origine des armateurs de bateaux d’esclave, trafic de drogue, plagiats de livres et d’idées, incitations à la haine de la France, incitations à la haine de la race blanche, incitations à la haine de l’Eglise, conceptualisation et diffusion du gender, mariage gay, dead white males, suppression/modification du nom de famille, élévation des taxes sur héritage, diffusions d’image pour grand public qui représente le métissage systématique d’un Noir et d’une Caucasienne, entretien de mensonges et d’exagérations sur un martyrologe passé pour culpabiliser d’avance les gens qu’ils persécutent, appauvrissement des Français qui les accueillent par intrigues fiscales à l’intérieur de l’Etat, truquage des informations participatives dans Wikipédia, financement colossal des campagnes d’Obama et écrasante majorité de vote communautaire en sa faveur aux deux élections, triche et cooptation communautaire pour squatter les jobs importants et valorisants, origine de la législation sur le divorce et surreprésentation dans les avocats spécialisés dans les divorces, lobbyisme pour les manipulations génétiques type GPA, mise en place de structures pour favoriser l’immigration et l’impunité de la délinquance. (...)

Le reste ici

17/03/2013

VOUS AVEZ TOUT FAUX - CONTINUEZ COMME CA

Si je retrouve rapidement une aiguille à me planter dans la fesse, j'arriverai peut-être à verser une larme sur les déboires d'un footeux. Mais outre le légitime mépris que l'on peut réserver à cette répugnante sous-classe sociale, et en faisant brièvement abstraction de tout adolfisme, posons quand même rapidement les faits de manière brute et simple :

Je fais un geste avec le bras et dans les minutes qui suivent, je peux changer de métier. Ni mort, ni blessé, ni détournements de fonds, ni tricherie, ni insulte, ni viol d'aucun règlement. Une articulation qui se déplie, un membre placé à un certain angle, et paf - viré, honni, sali.

On peut faire une belle carrière de déPUTé européen en ayant admis s'être fait masturber par des enfants. On peut revenir aux affaires d'un pays en traînant au cul mille affaires de prostitution de mineures. On peut faire magiquement disparaître des milliards de milliards de francs et toujours être considéré par les chefs d'Etat et les journalopes comme un grand spécialiste de la phynance mondiale. On peut torturer, violer, tuer, et toujours trouver un avocat pour vous défendre, une pouffiasse pour vous marier en prison, une ordure post-catho pour organiser un cercle de silence en votre faveur. Mais il y a un angle de bras par rapport au corps qui, si vous l'adoptez pendant plus qu'une seconde d'inattention, vous dégage de la société des honnêtes gens.

Dans un monde un peu normal, des hordes de supporters auraient déjà parcouru les artères des plus grandes bourgades alentours, offrant des séances d'acupuncture gratuite à toute personne passant à proximité d'une batte cloutée. Mais souvenez-vous, bande de distraits canaillous : ce monde n'est pas normal.

Mais oublions ces remarques de vieux con avant l'âge.

Correcteurs professionnels, castrateurs démocrassouillons, Politkomissars à peluche rose, je vous conjure,

NE CHANGEZ RIEN

Continuez exactement comme ça.

Nous savons, de toute manière, que c'est une question de survie pour vous : dans une ville sans rats, personne n'a besoin d'un dératiseur. Or la seule chose qui vous sépare du suicide collectif face à la grisaille sans espoir de vos minables existences, c'est l'argent de poche que vous vous faites à pourchasser les rats de vos propres élevages.

Le ventre de la Bête Immonde, c'est vous. La Gestation Pour Autrui, ça fait depuis 1945 que vous la pratiquez à vous en fendre le bassin en deux. L'adolfisme mort, carbonisé et dispersé aux six cent soixante-six coins du cosmos, vous en avez conservé des hectolitres de foutre, vous en tartinant le cul à chaque fin de menstrues, pour pouvoir bouffer vos propres bâtards jusqu'à l'extinction des rares spécimens d'humains vaguement intelligents.

C'est dans vos serres putrides qu'ont germé les graines des futurs massacres interethniques. Je suis l'un de vos bâtards. C'est vous, votre saloperie, votre obsession, votre trouble obsessionnel compulsif déguisé en Demoire de Mévoire qui m'a inoculé cette Haine que vous passez votre vie à renifler, comme des eunuques qui se feraient embaucher dans une commission de censure, histoire d'être payé à mâter du porno sans bander. Vous faites pire encore que ces tribus grotesques des égouts de la planète, qui tannent la gueule de leurs gosses quand ils se chient dessus à l'âge où le contrôle du sphincter est physiquement impossible.

Merah et Breivik, c'est vous. Tous les Merah et tous les Breivik de notre gerbatoire avenir, c'est vous qui les avez conçu, élevés, nourris, nazifiés, holocaustocratifiés.

La sagesse populaire prétend qu'à quelques centimètres d'une plante toxique, pousse son antidote, à disposition de qui sait le voir. Nous autres, archétypes de tout ce que vous considérez comme ce qu'il se fait de pire à la surface du globe, nous sommes précisément cela : votre contre-poison.

07/03/2013

BLACK POWER SHORTAGE

Ah, 2008, Frères Citoyens, 2008 ! La belle époque... L'obamania à son pic, une érection journalistique si durable et épaisse que parler de priapisme semblait bien faible... Oui nous pouvons, Bush enfin dégagé, le pire passé et le meilleur à venir... Est-ce que ça ne vous manque pas, cette sensation de pouvoir donner dans le marypoppinisme le plus sirupeux tout en paraissant éclairé, avant-gardiste et respectable? Allez ! On se fait un petit shoot de changement-auquel-on-peut-croire.

Et n'oubliez pas de lire le numéro de Radish Mag sur le Black History Month, pour voir le génie Noir en action, hier et aujourd'hui.

Radishmag 5.jpg

Non, pas celui-ci.

06/02/2013

MISE AU FLOU ET BONHOMME HITLER

Je lis Le Pamphlet depuis quelques lustres déjà, et si vous étiez Vaudois vous rougiriez de ne pas en faire autant. C'est souvent drôle, la plupart du temps juste et bien écrit qui plus est.

Mais tout le monde, un jour ou l'autre, peut s'encoubler dans le tapis. Démonstration avec la Mise au point que MdP propose en page 3 du numéro de janvier. Notre homme entend expliquer les raisons objectives d'une opposition morale au "mariage pour tan-tous" flambyesque. C'est déjà chercher bien loin dans l'abstraction théologique. On n'a pas besoin d'écrire des sommes pour motiver son refus de manger de la merde à un contradicteur qui insiste pour qu'on y goûte : un bijou masculin de bon goût suffit amplement.

Dans le même ordre d'idée, il est tout simplement stupéfiant que cette proposition délirante puisse constituer ne serait-ce qu'un embryon de discussion. Le propre de notre époque n'est pas que le ridicule ne tue plus : c'est que les intellectuels ont perdu jusqu'à la compréhension basique de ce qui est ridicule ou non, scandaleusement indécent ou pas, susceptible ou non de vous faire passer à vie pour un guignol et un sac à foutre.

Le problème ne peut valablement être envisagé sous l'angle moral, parce qu'il est question de légaliser une obscène mascarade et de légitimer la maltraitance psychologique - voire pire si affinités - de gamins déracinés au nom d'un culte relativiste dont personne ne peut citer un seul bienfait véritable. Ceux qui promeuvent l'abjection sont des tarés qu'il faut neutraliser aussi vite que possible, ceux qui s'en accommodent des chiffes lobotomisées.

Après un long et plutôt confus argumentaire, l'auteur se réveille un peu et nous avec lui :

Ce que le projet de François HOllande met en cause  n'est pas seulement la notion objective de mariage et la connaissance de la morale, mais l'existence même de celle-ci en tant que donnée universelle des consciences humaines (...), avec, en plus, la dénaturation de la finalité même de l'ordre légal et étatique. Face à de tels dangers, force est de convenir qu'une réintroduction dans la loi pénale de la criminalisation de l'homosexualité devient un acte social de légitime défense.

C'est sûr, dit comme ça, ça a des poils et des phéromones. Mais passé le mouvement légitime d'enthousiasme schadenfreudesque, l'idée d'illégaliser la tapeterie bloque quand même sérieusement. Même un retour à l'ancienne conviction qu'elle constituait une maladie mentale reconnue par le milieu médical semble excessif. La sagesse, qui se trouve - hasard farceur - être mon avis à moi, commande de s'en tenir à "vivre et laisser vivre", assorti du droit à la légitime violence envers qui vient nous pourrir la vie, que ce soit avec des maladies de singe vert ou des leçons de puritanisme post-moderne.

Non, franchement : les tantes en cabane pour moeurs déviantes ? Indéfendable. Mais en revanche :

° traiter leurs revendications avec la bienveillance, la compassion et la fermeté qu'exige le caprice d'un mongolien sous kétamine;

° leur dénier le moindre droit à quoique ce soit au seul nom de l'usage qu'elles font de leurs boyaux, parades urbaines dégénérées comprises ;

° classer sans suite les plaintes pour éventuel entartage, session goudrons-et-plumes ou dégustation d'huile de ricin "offerte" à quiconque se pique de faire l'apologie desdites moeurs déviantes ;

En clair : pas de persécution ni de cruauté gratuite envers ceux qui se contentent d'altersexualiser comme bon leur semble, sans s'en faire un étendard dont ils claquent la gueule à tous les passants.

Qui vous baisez et comment vous le/la baisez n'intéresse que vous, l'Etat ne doit pas s'en mêler, et je ne veux pas le savoir.

Tout en découle logiquement, et si chacun se tenait à cette ligne élémentaire, l'actuel barnum mobilisant les parlementeurs hexagonaux, si frétillant à l'idée de séduire des dégénérés qui prennent leur vessie pour des utérus, n'existerait pas.

Pour en reviendre au Pamphlet : le beau coup de menton mussolinien cité plus haut perd sa saveur en moins de trois lignes subséquentes, où il est à nouveau question de "ruine morale" :

L'insensé qui dit dans son coeur "il n'y a pas de Dieu" marchera dans les voies de la corruption morale, écrivait Pie XI dans sa lettre encyclique aux catholiques allemands pour les éloigner du national-socialisme, le 14 mars 1937. Serions-nous aujourd'hui confrontés à leurs successeurs spirituels, la différence d'objet du code moral étant ici sans pertinence ?

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Et pourquoi pas une petite allusion au triangle rose, histoire d'être follem diablement original?

Ce n'est pas que l'abonnement au Pamphlet me bousille la pompe à phynances, ou que je me sente un droit de lecteur payant à lui dicter son contenu, mais putain serait-il possible de conserver au moins un seul putain de journal dans ce pays où la distribution de Points Godwin est contraire à la ligne éditoriale ?! Existe-t-il encore un seul putain de plumitif capable d'évoquer une abomination contemporaine SANS nous expliquer que c'est mal parce que ça fait bander le Bonhomme Hitler ?

CONTENTS, TAS DE PORCS ?

So I have a question for you lot: Feagin, Jensen, Ignatiev, and all you other swine who teach blacks to hate us. Are you happy now? Are you happy how well your lessons were learned? There is blood on your hands. Brittney Watts was 26 and recently married. She’s dead. Lauren Garcia was 23. She will never walk again. Their families will never be the same. There are hundreds, thousands, tens of thousands of whites whose lives have been snuffed out or wrecked because of the hatred that you—yes, you—spread through this country.

Pour les malheureux d'ex-France qui ne peuvent accéder à la vidéo et ne savent pas comment bidouiller pour le faire, le reste en version écrite est ici.

28/01/2013

ATROCITISME

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Dès 1914, les autorités françaises savaient que les soldats Allemands coupaient les mains des petits enfants belges pour en faire de la soupe et brûlaient de jeunes vierges pulpeuses pour fondre la graisse de leurs mammelles et en faire d'impures barres de savon. Et qu'ont-elles fait, mmh ?

RIEN.

Nous avons toute une collection de post-it et de carnets à spirales officiels qui le prouvent de manière irréfutable. C'est scandaleux. C'est suffoquant d'indignation. Le gouvernement ripoubliquain d'ex-France in corpore doit aller se prosterner face dans la fange au Musée de la Frite-Moule de Tourrines-la-Grosse et s'engager à fournir mille tonnes de camembert et quinze millions de caisse de vieux Bordeaux aux citoyens de Belgique, si ce pays existe encore bien sûr.

Comment ça je mélange tout ?

19/01/2013

EUROPE DE L'OUEST, AN DE GRÂCE 2300

11/01/2013

SOUHAITER LE PIRE

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Comment peut-on en venir, quand on n'est pas plus à la masse que la moyenne, à fonder quelque espoir sur une dégradation complète de la situation ambiante ?

Comme ceci :

Actuellement l'action radicale est impossible - l'action modérée soumise aux règles du jeu et à l'évaluation de l'Ennemi - le discours radical confiné aux marges semi-clandestines du débat public - le discours modéré soumis aux règles du jeu et à l'évaluation de l'Ennemi.

La société occidentale est une coquille vide : ce n'est plus qu'un ensemble d'institutions obsolètes, d'habitudes encroûtées, de relations d'affaires cyniques, de faux prestige étatique. Les choses ont l'apparence de la normalité et du calme, mais dans le fond nous sommes dans une situation d'avant-guerre civile, une sorte d'Ex-Yougoslavie à l'échelle continentale. Ce qui empêche l'explosion ? Un double cocktail administré aux camps en présence : sédation-castration obligatoire pour les Blancs, survalorisation-sponsoring pour les métèques.

Un rideau de coton glacial s'est abattu sur l'Ouest, arrêt sur image général. Trop froid pour vivre, pas assez pour crever. Ni l'Enfer que réacs et cocos voudraient pouvoir combattre franchement, ni Paradis que soc-dem et banksters vantent aux Prochains Européens abâtardis. Les Tièdes ont vomi Dieu, et avec lui tout ce qui pouvait tenir lieu de sacré.

Cette situation peut durer une éternité. C'est la longévité-record du Dernier Homme - à ce détail près que l'ami Frédo s'est gourré sur un aspect géographique : il n'a pas déserté les endroits difficiles à vivre, il les a tous domestiqués, climatisés, bétonnés, emtivisés, starbuquifiés. Toutes les grandes villes du monde ont exactement la même gueule, les villes moyennes et petites sont programmées pour passer prochainement par le même laminoir. La notion de planète-prison est de moins en moins fantasmatique.

Dictature molle. Contrôle social par l'avachissement. Culture soigneuse de toutes les bassesses paralysantes de l'humanité. Du pain de mie et des jeux télévisés. Ca remplit de dégoût, de tristesse, d'incompréhension, mais comme il n'y a plus de culte de la personnalité pour les personnes en charge du bousin - on nous propose d'idolâtrer des saltimbanques jetables, dont la mort brutale ne ferait que profiter à leur carrière post-mortem - quelle tête va-t-on flanquer au bout d'une pique ? Les gestionnaires du désastre, les ingénieurs des nuisances sont des fils de pute interchangeables. On nous a fait à l'échelle de toute la civilisation fait le coup d'Arpanet : qu'importe l'attaque ciblée contre l'un des tentacules, le poulpe mondialiste est indestructible, parce qu'il est plus que la somme des parties qui le composent.

La droite prétendument extrême n'a pas l'air de vouloir le comprendre. Elle se chante encore des berceuses d'inspiration bolchevik, sur l'air du Réveil du Peuple qui finira par en avoir assez, alors qu'avec l'échine brisée, l'estime de soi broyée et tous les sens saturés, son humeur n'a plus aucune importance.

La nôtre en a, par contre, elle en a parce que nous allons crever de rage impuissante, nous épuiser comme un moteur tournant à fond avec le frein à main bloqué.

On en vient à souhaiter une aggravation radicale de nos conditions d'existence dans l'espoir qu'une vraie tyrannie à l'ancienne fasse renaître en nous l'instinct Berserker. Jamais à une autre époque n'avons-nous été pire ennemis de nous-mêmes qu'à présent : nos faiblesses, nos manquements, nos ratés, nos retards, nous accoutumances, nos lâchetés sont aspirées dans le plus puissant catalyseur jamais développé depuis l'Empire romain. Et le fait de ne pouvoir s'en prendre qu'à soi-même ne fait que prospérer ulcères, alcoolisme, dépression, renoncement, relativisme, dissolution dans l'exacte grisaille contre laquelle on avait réussi, éphémèrement, à bander les restes misérables de notre dignité bafouée.

Alors oui, pourquoi pas ? Pourquoi pas le mariage homo, trans, mort-vivant, incestueux, pédomaniaque, bestial ?

Pourquoi pas la distribution supervisée par l'Etat d'héroïne, de kétamine, de crack, de mort-aux-rats en dosettes reniflables ?

Pourquoi pas accepter un suppositoire-espion dans le cul une fois par mois du moment qu'on n'a rien-à-se-reprocher ?

Pourquoi pas l'avilissement ultime, toucher le fond, s'y vautrer, s'y coaguler, devenir lui ?

Pourquoi pas puiser dans le plus complet des désespoirs la dernière étincelle qui nous permettrait de n'avoir, cette fois, vraiment plus rien à perdre, et d'exercer avant de crever comme un clebs une vengeance à la hauteur de notre nausée ?

En fait, dans l'expression "politique du pire", c'est politique qui n'a rien à foutre là. Parce que nous ne promouvons aucun programme.

Nous sommes uniquement réduits à prier pour une véritable catastrophe, digne de ce nom, reconnaissable en tant que telle par tout le monde, contrairement à l'Effondrement qui s'est déjà produit dans le silence des pantoufles et le confort des analgésiques, parce que la bête en nous ne voit plus d'autre moyen de préserver les miettes de dignité qui lui restent.

Nous ne réclamons pas un combat loyal où nous pensons avoir toutes les chances de l'emporter.

Nous sommes les zombis qui se saignent la gorge à demander une mort brutale et rapide OU une renaissance, quitte à ce que ce soit pour le pire, avec 0% de meilleur garanti.

C'est irresponsable. C'est irréaliste. Ce n'est pas sérieux. Ce n'est pas comme ça qu'on sauve une civilisation. Ce n'est pas digne d'un Vrai Aryen Droit dans ses Rangeosses. Ca ne mène nulle part. Ca n'est pas sérieux.

Jawohl.

Mais c'est ainsi.

13/12/2012

PROFS !

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Ce sont des épisodes de plus en plus fréquents, partout en Allemagne. Par exemple à Menden, dans le Land de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, la semaine dernière : dans un collège de la ville, devant une salle de classe, trois élèves ont sévèrement battu, pendant seize secondes exactement, un de leurs camarades qui fêtait ses seize ans. Ils l’ont roué de coups puis se sont acharnés sur lui à coups de pieds, alors qu’il gisait par terre. La victime ayant dû aller voir un médecin, sa mère a porté plainte. Les agresseurs ont expliqué à la police qu’il s’agissait d’un « rituel » : une seconde de passage à tabac pour chaque année. (...) L’inspection académique m’a assuré que ce phénomène existe. Mais, la plupart du temps, il s’agit seulement de petites claques sur l’épaule. (...) Les professeurs ont souligné que “racisme anti-allemand” (Deutschenfeindlichkeit) n’était pas le bon concept.

 

Enseignants, rappelez-nous d'écorcher vif quelques milliers d'entre vous et de les frictionner au gros sel, avant que nous soyons trop vieux pour vous haïr à la hauteur de votre abjection.

11/12/2012

BRÈVES HIC


Quelques brèves sans intérêt. Ou plutôt quelques lignes lumineuses et indispensables sur des événements dont notre transit intestinal se serait élégamment passé.

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Le Chuiche de base continuera donc de crapahuter sous les drapals. Une armée de milice volontaire, qu'ils proposaient, les bolchos du GSSA. Et pute de dieu, je dois bien avouer que je suis pleinement d'accord avec le principe. Est-ce mon lointain passé gauchiasse qui me rattrape ? Serait-il possible que ces loquedus aient eu, à l'insu de leur plein gré, une idée pas trop bancale sous prétexte de s'attaquer au cadavre de traditions étatiques auxquelles plus personne ne peut sincèrement croire ? Aux chiottes l'armée "nationale" : militarisons la Protection Civile ! A chaque bled sa milice ! Et des calibres pour tout le monde !

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Une infirmière indienne s'est raccourcie l'espérance de vie, à cause d'un canulard radiophonique nous dit-on. Dans le même temps, on nous signale qu'une chanteuse (?) aurait brièvement posté une photo de sa propre gueule en train d'astiquer le service trois-pièces à va savoir qui. On n'a vraiment pas le même sens de la dignité, d'un bout à l'autre du monde, et pour le coup, inverser exactement les échelles d'évaluation de ce qui mérite ou non la mort volontaire ferait le plus grand bien à tout le monde...

L'Inde aurait demandé le rapatriement de ses restes. Ca fait penser à tous ces rastacouères "parfaitement intégrés" qui choisissent d'entreposer leur carcasse sur la terre de leurs ancêtres. Rien de critiquable ici d'un point de vue patriotique : "question de laisser ses os, hein, y'a que la France !" comme disait l'autre - insérer le quelque part qui vous sied à la place de France. Personnellement, puisque vous n'osez pas me poser la question, je préférerais certes un coin de terre, mais là où personne ne viendrait faire chier mes vers, sur une hauteur peu fréquentée, en montagne, Jura ou Valais ou Tessin. La patrie, c'est mieux d'en profiter surtout quand on est vivant, je trouve.

Et on apprécierait assez que nos Frères-Humains-En-Tous-Points-Semblables-Que-Même-Ceux-Qui-Font-Une-Différence-Sont-Des-Salauds en prennent conscience et fassent l'exacte inverse : peuvent bien venir crever chez nous du moment qu'ils vivent chez eux.

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Une Danoise Blonde qui se moque d'une afroyanki en public. Le lynchage médiatique tarde, à ce stade il est même carrément à la bourre. Les professionnels de  l'indignation observeraient donc scrupuleusement une sorte de trêve de Noël en avance ? J'aurais pas cru que c'était dans leur religion.  

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Un "conseiller spirituel" étazunien abuse d'une gamine. Putain la surprise ! Puisqu'on vous dit que les curetons deviennent fous de frustration à cause de leur célibat forcé ! Et puis de toute manière, les cathos et leur morale antisexuelle, machin... Ah, on me signale dans l'oreillette que... Comment ça, un juif orthodoxe ?  Merde !

On recommence : un descendant d'arrière-petits-fils de cousin de concierge de vague connaissance ayant peut-être survécu à Ochouitze abuse d'une gamine à cause du  traumatisme intergénérationnel subi, c'est la faute aux nazis, n'oublions jamais et SURTOUT padamalgam.

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En ex-France, les motards pourraient être autorisés à remonter  les files de bagnoles. C'était donc interdit ? Croyab'. Et il existerait des motards qui ont quelque chose à foutre du code de la route ? Culotrouant. 

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Un journaliste qui ne se prend pas pour un blanc et un noir qui ne se fait pas d'illusions comparables déplorent qu'il n'y ait pas plus de descendantes très directes de Lucy dans le concours de Miss France. Outre que, lorsqu'on est hétérosexuel et/ou qu'on bosse à plein temps, s'intéresser à l'événement est quand même un peu ridicule, une évidence demeure, qu'une bonne âme devrait leur expliquer en des termes choisis, avec une voix douce et  un ton compatissant :

S'il n'y en a pas, c'est que selon les critères occidentaux,

elles sont MOCHES.

La beauté, c'est un truc ouaciste. Il faut un colossal aveuglement idéologique pour cesser d'en être conscient. Mâtez donc les prétendus canons exotiques qu'on nous fourgue : sur l'échelle de la blaquitude, la moyenne est plus proche de  Mariah Carrey ou de Venus Williams ? Les crèmes cancérigènes qu'on s'arrache dans tous les pays mélaninés, c'est pour avoir la tronche encore plus foncée, peut-être ?

Le bronzage version mazout et les traits sculptés à la masse qui vont avec, l'oeil masculin occidental n'aime pas. Point Barre. A l'instar de l'art abstrait, de la musique dodécaphobique, du ipope et du lavement au vinaigre de kiwi, ça ne plaît qu'aux dégénérés. D'un point de vue démocratique et humaniste, c''est sans doute injuste, triste et anxiogène, mais c'est comme ça.

WHO DO YOU SAY I AM ?

23/11/2012

UN ACTE D'INSURRECTION A BLANC

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L'ami Pharamond tient le bon bout ici. Bout façonné par Orwell et son archi-cité "A une époque de supercherie universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire." Mais le terme de révolutionnaire est encore trop gentil. Prononcer des faits basiques (tous les peuples n'ont pas le même niveau, la sodomie n'a pas le même impact sur la reproduction de l'espèce que le coït vaginal) est considéré par l'Etat, le Spectacle, les traîtres professionnels et les liquéfiés de la tête comme une déclaration de guerre contre l'ordre établi.

Bien entendu, spectaculeurs, traîtres et décérébrés se réclament volontiers, eux aussi, eux surtout, de la provocation, des vérités qui dérangent (sans préciser qui - le Bourgeois Fasciste Inconnu, faut croire) et autres titres de noblesse des paumés qui s'improvisent fous du roi parce que règner tout court ou conseiller intelligemment le souverain est manifestement au-dessus de leurs forces. Que de la merde, on le précise parce que ça ne coûte pas des sous, pas parce qu'il y avait le moindre doute. 

Ca ne devrait pas faire croire qu'il suffit de tenir des discours qui dérangent VRAIMENT les gens qui détiennent un pouvoir EFFECTIF dans le système actuel. Conscientiser les masses, c'est avant tout un hobby de parasite, et on n'échappe pas à la règle parce qu'on écoute Landser plutôt que du ska (il y a encore des gens qui en écoutent, ne vous moquez pas d'eux trop vite : il y en a aussi qui en jouent !). 

Et puis pour désencombrer les écoutilles d'un brave droitard ou d'un gauchiste récupérable, vous pouvez toujours chercher sur la toile faf, vous n'êtes pas prêts de trouver THE outil pédagogique, argument fatal, démonstration infaillible. En règle si générale qu'elle est quasi universelle, les convaincus ne parlent qu'aux convaincus et ne sont écoutés que d'eux.

Ceci dit, il est évident pour beaucoup de gens que les lignes ont bougé, dans la mesure où ce qui relevait hier du bon sens non-connoté politiquement est de nos jours le propre de chtourmfureurs violeurs d'enfants juifs par nuit de pleine lune (cet astre blanc auquel les ouacistes rendent un culte bien connu). Prenez les lignes qui suivent et tâchez de deviner les convictions profondes de qui les a écrites, il y a une quarantaine d'années :

Etant donné que l'intérêt général, c'est la culture pour tous, toute culture personnelle est un abominable privilège, une inégalité scandaleuse aristocratique, un intérêt particulier. Ouvrez les facultés aux inaptes et aux imbéciles, ils ont droit aux titres universitaires comme les autres. Abaissez les examens et les enseignements jusqu'au niveau du dernier, supprimez tout ce qui risque de différencier l'homme, diffusez la culture par la télévision et Paris-Match, il faut que chacun ait cette culture- et pas une autre, sans quoi il pourrait y avoir encore une différentiation. Tout le monde à l'école de la bêtification, qui sera en même temps celle de la béatification sociale. Ceux qui prétendraient que la culture est autre chose que ce qui est diffusé là, et que ce que la masse peut en tirer, représentent des intérêts particuliers et ne doivent pas par leur scandaleux égoïsme entraver la marche triomphante du progrès.

Rapprochez ce lexique brutal des récentes Black studies amerloques, des cours de hip-hop semi-obligatoires, de la destruction méthodique de la syntaxe et de l'orthographe, du bac-pour-tous hexagonal,  et dégustez le contraste.

L'auteur de ce qui précède est Jacques Ellul, gauchiste, chrétien, antifasciste (dans sa phénoménale Exégèse des nouveaux lieux communs, 1966).

Nous en sommes là.

Exposer des banalités équivaut à passer le portique d'une gendarmerie avec deux cartouchières croisées sur la bedaine. Sans le flingue qui va bien avec, bien sûr. Mais ça n'empêchera pas la famille Képi de vous abattre pour menace hypothétique de l'ordre public.