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07/10/2014

UNE PERLE REPÊCHÉE DU TROU DE MÉMOIRE CINÉMATOGRAPHIQUE

... mais qui, comme tout ce qui semble gratuit, se paie. Sagouinerie dailymotionesque, il vous faudra mâter la chose chrono en main: toutes les cinq minutes et deux secondes, une pub interrompt le spectacle avec la délicatesse d'un décapiteur daeshois. Saloperie supplémentaire: le curseur disparaît de l'écran quand on tente de le placer sur la croix fermant l'intempestive ordure.

Mais taquin ou encore hanté d'un vestige de décence, le programmeur a laissé la possibilité de le positionner pendant cinq secondes après le début de l'agression marketingue. Soyez vigilants et disciplinés, et l'appréciation de l'oeuvre sera presque imperturbée.

C'est signé Audiard, sorti en 69, avec une Michèle Mercier trentenaire plus suave qu'un Armagnac deux fois plus vieux. A noter quelques scandaleuses scènes dont l'antisémitisme rabbique rabique n'est pas sans évoquer Itlaire, Ochouitze, M'bala-Belsen, l'Exode, les sept plaies d'Egypte, Conchita Wurst avec une branche de swastika dans le cul etc.

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03/10/2014

SPLINTERS

NEGATION/PROMOTION

2heads.jpgLe Grand Remplacement de la population européenne par l'immigration de peuplement et l'abâtardissement racial fait complètement déconner le logiciel politique des Correcteurs et des Sursocialisés. Obnubilés par la Culpabilité héréditaire des Blancs, ils oscillent entre deux positions inconciliables, zigzaguant comme une mouche qui s'assomme aux parois d'un bocal.

Proposition Une : le Grand Remplacement n'existe pas, c'est un fantasme malsain et paranoïaque de fachos doctrinaires et ignorants. Faisons-les taire, et tout ira bien au sein d'un Occident où rien n'a fondamentalement changé sur le plan culturel depuis un siècle. Votre rue ressemble à un quartier pourri de Detroit ou à Bagdad sous l'ère Bush II ? Non ? Alors tout va bien, on se détend, les Macdos sont ouverts, les caddies sont pleins, la télé fonctionne, et au pire ton voisin de palier a un léger accent espingouin. Pourquoi en faire tout un plat ? On n'est pas en sucre ou quoi ?

Proposition Deux : le Grand Remplacement est une bonne chose - il convient bien sûr de ne pas le nommer ainsi, on parlera alors de Métissage, phénomène à la fois naturel, nécessaire, bon, beau, démocratique, progressiste, enthousiasmant, et qui ne pose problème qu'aux natures chétives et aux esprits étroits. Pourquoi avoir peur du changement ? La population vieillit, les Blancs ne veulent plus faire le sale boulot, il faudra bien que quelqu'un paie leurs rentes et fasse tourner la machine économique, etc. Faut être réaliste ! L'humanité progresse par rencontres, par échanges, par mélanges, c'est une loi éternelle, s'y opposer est absurde, et pis ça mène à Ochouitze, tout le monde sait ça.

Selon les (maigres et tristes) oppositions qu'elle soulève, la Correction passe donc, tout en souplesse, de la négation radicale à la promotion outrancière d'un même phénomène.

Ce qui revient à dire à une victime de viol

1) qu'elle raconte n'importe quoi et qu'il ne lui est rien arrivé,

2) que c'est une salope qui l'a bien cherché.

 

* * *

Avec ceux qui tiennent ce double discours, on ne discute pas, tout simplement. Prétendre leur faire reconnaître cette burlesque contradiction ne sert à que pouic. Ils trouvent leur cohérence dans l'élan basique qui les motive: la participation active à l'humiliation, la salissure et l'extermination de la culture européenne. Ils n'ont pas conscience de l'antinomie, parce qu'ils ne font qu'alterner entre deux outils dans un seul et même but. Autant demander à un communiste de choisir entre faucille et marteau.

Leur but est Moral et Citoyen, l'ennemi est odieux et dégueulasse, et tous les moyens sont bons pour l'abattre. La cohérence, la décence et le respect de ses propres principes, ça sera pour plus tard, une fois la Bête morte et l'avenir radieux à portée de main.

Avec ceux qui le gobent sans réfléchir, on peut tenter d'expliquer deux ou trois choses, mais sans trop se fracturer la glande à comprenette, car c'est moins l'imbécilité de la méthode qui importe que l'abomination des buts visés. Qui n'en est pas choqué est déjà mort, corrompu ou partie prenante du processus.

01/10/2014

AU ROYAUME DE GODWIN, TOUT LE MONDE EST AVEUGLE

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"Sans avoir connu la description de L'Archipel du Goulag, Adorno a exigé que toute pensée authentique prenne désormais sa responsabilité face à la catastrophe historique que fut Auschwitz."

Monsieur Adorno, vous êtes servi. De rien, c'est la maison qui offre. Et si vous voulez bien nous faire l'honneur de nous cracher à la gueule en plus, c'est tournée de pipes gratuites pour tout le putain de shtetl.

La Loi de Godwin n'est pas un épiphénomène limité au vouaibe; elle est révélatrice de la centralité de l'Eau Low Cost dans la vie politique, sociale et culturelle de tout l'Occident. Ce n'est même pas un à-côté gênant qu'on aborde avec prudence entre initiés, c'est l'éléphant dans le corridor, un truc énorme qui "va de soi" au point qu'en parler en tant que phénomène paraît indécent, met mal à l'aise l'interlocuteur, parce que chacun se sent plus ou moins concerné.

Seule chose réellement comparable: le porno. Il est à la fois omniprésent, teintant tout ce qui n'a en principe rien à voir avec lui, ayant créé une esthétique qui fait référence jusque dans les produits musicaux qu'on destine aux gosses, mais il est très difficile d'en parler, parce qu'y réfléchir paraît hypocrite, et insister sur ses effets pervers fait passer non seulement pour un coincé, mais pour un hypocrite : tu quoque mon cochon, on le sait bien, donc ta gueule. Face à l'obscénité ochoutzarde, ça devient tu quoque mon nazi.

Tous les chemins mènent à Hitler. Tous les actes individuels ou collectifs, artistiques, politiques, sociaux, peuvent (doivent!) à un moment donné se référer à lui pour trouver leur propre justification.

Ce qui est censé favoriser la "cohésion sociale" est intrinsèquement bon parce qu'Hitler a divisé la société allemande entre Juifs et non-Juifs, les seconds ayant le droit moral de par leur supériorité raciale d'exterminer les premiers.

Un petit chef abusif est automatiquement caricaturé en Führer avec un grossier accent allemand.

Un pourcentage dérisoire de la population détenant un pouvoir financier et médiatique considérable ne peut pas être étudié avec recul, rigueur et calme, parce que leurs aïeux ont été persécutés par Lui.

La Gauche était il y a peu encore moralement supérieure à la Droite parce qu'elle est censée être l'héritière de la Résistance qui L'a combattu. Mais le clivage gauche-droite est obsolète essentiellement du fait que ses porte-parole autorisés communient ensemble au sein du culte mémoriel. Un type dont l'engagement gauchiste de toute une vie ne fait aucun doute n'est pas à l'abri du stigmate ouaciste et du cordon sanitaire médiatique. 

Certains symboles hindous imémoriels, certaines positions d'un bras à un certain angle du corps, certaines coupes de cheveux ou de moustache sont réprouvées par le plus incroyable puritanisme parce qu'ils rappellent Sa sinistre mémoire. Septante ans qu'Il a cané et pas moyen d'échapper à son omniprésence. Il constitue l'échelle à vocation universelle sur laquelle TOUT est évalué.

C'est absolument central, et personne ne doit dire que c'est central, il ne faut pas trop y réfléchir, car ceux qui y réfléchissent trop sont suspects, et ceux qui en ont marre d'y penser jour et nuit sont de Mauvaises Personnes. Même les héritiers autoproclamés des punks originels s'enchient les frocs en pensant aux t-shirts à croix gammée, symboles à l'époque d'un rejet radical du monde bourgeois, qu'aucun prétendu intellectuel ne peut plus comprendre aujourd'hui. Toujours et partout, pour ce temps proche comme pour les années 30, c'est l'anachronisme qui prévaut, il n'est pas seulement acceptable, il est OBLIGATOIRE.

Et encore une fois, ça ne concerne pas une partie secondaire de notre existence, qui n'obséderait qu'une minorité de tarés dans mon genre : c'est capital et fondateur. C'est caractéristique d'une ère à part entière, mais nous ne pouvons pas plus le verbaliser et le conceptualiser que les artistes de l'ère "romantique", "baroque" ou "gothique" n'imaginaient mériter leur étiquette. Nous avons le nez dans le guidon, il est en forme de croix gammée, et dans notre folie terminale, nous parvenons à nier qu'il le soit, tout en hurlant d'horreur parce qu'il l'est.

26/09/2014

"LA SERVEUSE EST NOIRE"

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Envie d'évaluer l'impact de la diabolisation de tout ce qui est vaguement identitaire ? Comptez sur vos amis réacs, ceux qui se lâchent particulièrement en votre présence, qui disent des choses autrement plus abjectes que vous parce qu'ils savent qu'avec vous ils sont en confiance, tout en acceptant parfaitement l'idée que ce qu'ils disent est, précisément, abject. Aucun gauchiste, aucun Correcteur, aucun sursocialisé ne vous sera plus utile.

Z veut découvrir un petit restau de la région, et m'y convie pour un second avis. Il connaît déjà le taulier et a eu l'occasion de dire bonjour à sa feniaule. C'est d'ailleurs d'elle qu'il me parle avant toute chose, outrepassant toute considération sur les lieux, toute hypothèse sur la qualité du service ou le raffinement des mets :

- Tu feras pas le con, hein ? Sa femme est noire. Mais alors noire noire, hein ? Carbonisée. Alors tu racontes pas de conneries.

 

Seigneur, garde-moi de mes amis, etc.

 

Qu'une loque humaine, nelsonmandelisée jusqu'à l'os, se fasse de vous une image de néanderthalien sadique, belliqueux et obscène, à la limite pourquoi pas ? C'est contre-productif, c'est imbécile, c'est éreintant, mais même avec l'âge qui avance, on parvient toujours à se dédommager d'une telle réputation par la Schadenfreude  basique, adulescente et cynique dont on pensait à tort s'être enfin désaccoutumé. Mais qu'un type qui prétend comprendre et partager votre vision du monde ait si viscéralement intégré cette caricature, voilà qui est plus pénible.

Comme si l'envie pressante de pendre l'essentiel de vos contemporains vous dispensait de leur témoigner, en temps de paix prétendus, un tout petit minimum de politesse. Oui, même avec les métèques. Voire particulièrement avec ceux d'entre eux qui font un putain d'effort pour vous être agréable, fut-ce le temps d'une transaction commerciale.

Il y a quelques années, un sac à foutre cherchant à faire oublier son passé métissophile s'était cru très avisé, à titre de preuve de son nationalisme tout neuf, de se montrer insupportable envers la pauvre latina qui nous servait le plat du jour avec compétence, sourire et prévenance. Une bassesse si décalaminée vous rend limite nostalgique de votre jeunesse antifa. Voire de l'époque où le Bourgogne rouge vous paraissait plus que buvable.

Feu Robert Frenz, le regretté et plus distingué nazi américain de l'histoire récente, écrivait à l'intention des sacs à merde de toute orientation politique qu'être ouaciste ne supposait pas que pousser un non-Blanc sous un train était moralement acceptable. Si l'on se pique d'appartenir à une race supérieure, le strict minimum syndical commande que l'on se comporte de manière à mériter sa carte de membre du club. Penser, parler et agir comme la première chiasse verticale venue constitue un motif valable d'expulsion immédiate dudit club.

Quand le gauchiste de base se paie la poire de son homologue réac, en le faisant passer pour un simplet, on peut au pire l'accuser de grossir le trait, pas d'inventer n'importe quoi. Sur le plan idéologique, le réac est l'équivalent de ce langage franco-québéquois, qui croit résister activement à l'anglicisation en traduisant littéralement toute expression anglophone sans même chercher à l'adapter. Dire "Vous êtes bienvenu" au lieu de "You're welcome", ce n'est pas défendre sa lange maternelle, c'est adopter la logique de l'ennemi sur le fond en l'inversant sur la forme.

Monsieur Réac fait exactement pareil, voire bien pire. Vous vous rappelez ces rassemblements massifs du Tea Party, où Martin Luther King était rituellement invoqué comme source d'inspiration et brevet de présentabilité citoyenne ? Voilà qui résume l'essence du républicanisme de drouate: la gôche est une bien vilaine chose, mais son échelle d'évaluation du bien et du mal est la plus solide et la plus légitime qui soit.

 

 

25/09/2014

IVRESSE DES ALTITUDES

22/09/2014

PLANTE TENTACULAIRE

La Correction affleure absolument partout, il n'est pas un domaine de l'activité mentale en Occident où elle n'a pas fait pousser l'un de ses tentacules. Mais elle-même n'est peut-être qu'un énième avatar de l'éternel puritanisme.

Chez les gens qui se font remarquer par leurs excès de langage, qu'ils soient des humoristes connus ou le connard semi-intello aux franges de la bande de copains, le cynisme affiché est une prothèse, un camouflage, un maquillage dérisoire. Ca se prétend affranchi de certains conventions - à commencer par celles qui permettent une base de vie tribale. Mais sous les ricanements et les sarcasmes, ce qui perce, c'est la nostalgie infantile d'une communion spontanée, si forte et "naturelle" qu'elle pourrait s'affranchir de toute formalité.

C'est ce qui fait la dérision de bon mot qui veut que l'anarchie soit non pas l'absence d'ordre mais sa plus haute expression : même branlette immature.

L'intello sombre et sarcastique est un type qui souffre, qui ne s'en rend qu'à moitié compte, et se trompe très largement sur les raisons véritables de cette souffrance. Le spécimen le plus insoutenable se pique de railler les mensonges institutionnels de la société contemporaine, mais a le cerveau qui gèle comme le premier conformiste venu dès qu'on lui injecte la plus petite dose d'ochouitze dans la caboche.

Je garde bien malgré moi - très bonne mémoire - des souvenirs de cette époque où je zonais dans le milieu goth, et de soirées où un didjé s'agitait avec un sérieux papal sur ses platines tandis que derrière lui étaient projetées des images d'Oncle Adolf et ses prétendus crimes. L'idée fondamentale ? S'enivrer du parfum des Fleurs du Mal, s'en remplir les poumons en riant des bobos et des bien-pensants qu'il faisait suffoquer. La belle affaire, du moment que l'on accepte le folklore adolfique en tant qu'incarnation dudit Mal - les fleurs, c'est la couronne mortuaire qu'on dépose sur la tombe de son propre esprit critique, en se croyant à des kilomètres au-dessus de "la masse".

Sur le fond, on est dans le même trip que ce trentenaires qui acceptent de payer pour écouter en groupe des génériques de manga. Semblable nostalgie d'un monde où on pouvait prendre au sérieux des histoires de Gentils et de Méchants. Sauf qu'on se donne un air avantageux en prétendant que le monde est fondamentalement vicié. Sous ce vernis, on se retrouve dans le même plumard que les pouilleux qui se paluchent sur le communisme africain originel ou les technocrates façon Meilleur des Mondes. Les unit dans une abjecte symbiose une même aversion pour ce qu'est la vie en tant que telle, à poil et sans artifices, ce qu'ils prétendent vouloir et connaître, mais qu'ils sont incapables de soutenir.

Ce n'est pas que le monde sent mauvais, cocotte, c'est que tes narines sont trop fragiles.

Il y a, de ce point de vue, un lien direct qui relie l'emo à mèche intermittent du suicide, l'assassin de masse avec un bréviaire de Lénine en poche, et entre les deux toutes les bonnes soeurs sans cornette de tous les anti-[...]ismes imaginables. Les peuples n'arrivent pas à être amis ? On va les écrabouiller jusqu'à ce qu'ils le soient. Hommes et femmes se comportent décidément de manière différentes ? Concasseur Citoyen pour tout le monde jusqu'à la complète confusion, qui correspond à notre bel Idéal.

16/09/2014

LE POUVOIR, POUR QUOI FAIRE (ET SURTOUT COMMENT)

Je progresse dans Culture of Critique, de l'ami Macdo. Le ton calme et mesuré est un vrai rafraîchissement, qui nous change du cocktail vomitif qui nous est entonné dès que la tribu casher est évoquée (90% de larmes obligatoires et 10% de bave hallucinée). Je commence un peu par accident par la troisième tranche d'une trilogie initiée par A people that shall dwell alone et Separation and its discontent, prévus dans la liste de lecture que j'espère pouvoir boucler avant la prochaine guerre. Notons, et ce n'est pas une mince affaire, que le bouquin est en vente libre, du moins en Chuiche. Certes, pour une traduction françouéze, ne retenez pas votre souffle, comme disent les rossebiffes.

Dans CofC, ceci me semble fondamental :

Clearly Jewish organizations are making every effort to censor anti-Jewish writing on the Internet. They are far from reaching their goal of removing anti-Jewish material from the Internet, but in the long run the very high politicalstakes involved ensure that great effortwill be expended. I suspect that in the U.S., if pressuring existing ISP’s byorganizations like the ADL and the SWC fails, these companies may become targets of buyouts by Jewish-owned mediacompanies who will then quietly remove access to anti-Jewish websites. AOLhas just recently merged with Time Warner, a Jewish-controlled media company, and it had already merged with Compuserve, a large, nation-wide ISP. As indicated above, AOL-Time Warner has complied with pressures exerted by Jewish activist organizations to restrict expressions of political opinion on the Internet.

I suppose that the only option for prohibited websites will be to develop their own Internet service providers. These providers—perhaps subsidized orrelatively expensive—would then fill the niche of serving people who are already committed to ethnic activism among non-Jewish Europeans and other forms of politically incorrect expression. The situation would be similar to the current situation in the broadcast and print media. All of the mainstream media are effectively censored, but small publications that essentially preach to the converted can exist if not flourish. But such publications reach a miniscule percentage of the population. They are basically ignored by the mainstream media, and they mainly preach to the choir. The same will likely happen to the Internet: The sites will still be there, but they will be out of sight and out of mind for the vast majority of Internet users. The effective censorship of the Internet by large corporations does not violate the First Amendment because the government is not involved and any policy can be justified as a business decision not to of fend existing or potential customers.

 

Aparté préliminaire: Remarquons tout d'abord qu'il peut sembler très légitime que les organisations sionistes cherchent activement à censurer les discours leur étant hostiles. Si libertaire que l'on se prétende, il est difficile d'être scandalisé par une loi réduisant au silence les insultes qui nous visent directement. On peut bien faire le bravache, bramer qu'on préfère régler ça entre adultes, instinctivement nous savons bien que tous les moyens sont bons pour triompher, et qu'agir avec honneur face à des gens qui vous méprisent et usent contre de vous des coups les plus bas équivaut au suicide. Idéalement, toute propagande devrait être légale, avec la possibilité pour chacun de provoquer en duel qui l'a insulté; c'est ainsi qu'un monde juste devrait fonctionner. Mais nous ne vivons pas dans un monde juste et ne sommes pas près d'en voir l'avènement, si tant est qu'ils puisse matériellement exister. Passons.

 

Cette limitation du pouvoir politique moderne face aux puissances de l'argent est un point que s'obstinent à ne pas comprendre moult activistes de drouate.

Posons que l'une des définitions de la politique consiste à prendre le contrôle de l'Etat ou à exercer sur lui une influence visant à favoriser certains intérêts. Que peut faire cet Etat, s'il admet qu'il existe des limites à son pouvoir et que, comme le croit volontiers le libéral de base, la liberté d'entreprise ne se divise pas, à moins de tomber dans le socialisme pur jus ? Quel est son pouvoir face à des entreprises respectant en apparence ses lois quant au commerce, mais promouvant agressivement un discours hostile au maintien d'une culture autochtone en Occident ?

Sur le papier, les lois antiouacistes devraient permettre de faire condamner les médiats qui donnent de cette culture, depuis au moins un demi-siècle, une image négative. Nous savons tous ce qu'il en est: pas d'antiouacisme pour les blanchouilles, point barre - le seul exemple récent de molle défense des toubabs face à la haine métèque a été le fait de Juifs proéminents, qui faisaient de cette défense un à-côté de la lutte contre l'antisémitisme...

En outre, MacDonald analyse la situation dans une perspective amerloque, où les parlementaires sont encore obligés de prendre quelques gants à cause du Premier Amendement. L'Europe ne garantit en aucun cas la liberté d'expression ni d'association, et favorise au contraire la Discrimination Positive, ce qui nous met dans une situation autrement pire. Il faut donc bien faire comprendre aux droitards tentés par le vote FN (c'est-à-dire la petite minorité de ceux qui ne se rabattront pas misérablement sur Sarko) qu'un tel geste n'est pas moralement inacceptable mais vide de sens.

Parvenant au pouvoir où que ce soit en Europe de l'Ouest, un parti légaliste de droite dite "dure" ne disposera pas des armes constitutionnelles nécessaires à combattre l'activisme médiatique et culturel des ennemis de l'Europe. Il lui faudrait non seulement rédiger et faire passer des lois condamnant explicitement la promotion de l'autogénocide blanc, auquel elle n'a pas l'air de comprendre grand-chose (en-dehors de baver sur l'islamisme, phénomène totalement secondaire), mais en plus se donner les moyens judiciaires, policiers et militaires de les appliquer et les faire respecter. Parce que c'est une chose que d'envoyer la troupe fermer leur gueule aux journalopes, boucler les crasseux à fumigènes avant le début de la manif ou offrir le litron de ricin au scénariste qui inverse systématiquement les réalités raciales dans les fictions destinées à la plèbe.

Face à des gens qui détiennent les moyens de provoquer une banqueroute nationale et un blocus alimentaire total en quelques semaines, même une monarchie absolue aura de la peine. Alors notre cirque démocratique parlementeur ?

 

 

Post-gerbum: voir ceci, sur l'air de "Nous sommes égaux et pareils, mais vous êtes surtout chez nous". Aidera à huiler la comprenette à ceux qui se demandent pourquoi il est toujours question de République plutôt que de France.

12/09/2014

QUEL IMMONDE FILS DE CHIENNE ÊTES-VOUS

Découvrez-le avec une chouette appe australienne.

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TUEZ SES PARENTS, QU'ON PUISSE L'ADOPTER

08/09/2014

"DE NOS JOURS, ON N'OSE PLUS DIRE CA"

Petit lieu commun qu'il convient de roter quand on cause humour brutal (pléonasme) avec des gens plus ou moins capables d'en apprécier la virulence. "Desproges, bien sûr ! Ah c'était une autre époque, on pouvait dire des choses qu'on n'oserait plus de nos jours..." Et pour enfoncer le clou, le philozozophe assène, péremptoire, drapé dans sa sagesse, la seule citation du grand Pierre qui mérite d'être oubliée: "On peut rire de tout, mais pas avec tout le monde".

Eh bien si, putain. On peut et on doit rire de tout, et avec tout le monde. Ceux qui ne rien pas peuvent et doivent aller se placer une pastèque dans l'ampoule. Parce qu'un ou deux connards ne rient pas, vingt ou trente mecs normaux et décontractés doivent la fermer ? Ce règne de la minorité devrait offenser même un démocrate convaincu.

Et puis, "époque", mes balloches rasées à la cire ! Question de géographie bien plus que d'histoire. La preuve en anglais ci-dessous (spoiler: tout n'est pas marrant mais il y a des choses très croustillantes, et plusieurs autres chapitres)

07/09/2014

APPAREMMENT, IL EXISTE DES RÉPUBLICAINS DE DROUATE

C'est ce que je déduis, incrédule naïf, à chaque lecture que je m'inflige de Boulevard Molletaire - une petite routine quotidienne que j'alterne avec Slate, histoire de m'auto-tendre la joue droite après m'être automandalé la joue gauche. C'est l'alternance. Le bipartisme. La démocratie à ma microscopique échelle. C'est sympa, essayez, surtout les lendemains de cuite fédérale où la faiblesse vous mène à douter de la solution génocidaire en faveur de l'option légaliste : ça remet méchant les idées en place.

En soi, ce n'est pas l'idée qu'il puisse exister des républicaine en 2014 n'importe quand qui me heurte. Après tout, il existe bien des gens qui baisent des enfants, ou des flics qui laissent délibérément sévir une mafia pédoraciale pendant des lustres pour ne pas être accusés de ouacisme. Alors...

C'est plus spécifiquement la possibilité technique, biologique, d'un républicanisme de drouate qui me chahute la cafetière. On m'objectera - une récente NRH en particulier - le cas d'un Péguy... voire d'un Jaurès déblatérant sur la notion de "patrie"...  Et pourquoi pas citer l'ami Vissarionovitch Djougachvili et sa Grande Guerre Patriotique contre l'ennemi teutonique, tant qu'on y est ? 

"Notre" socialisme ? Meine Kouillen ! Autant parler de "mon" alcoolisme, de "mon" sida, de "mon" addiction au poker, ou de "ma" perversion quelconque - comme si l'appropriation d'une saloperie la rendait moins dégueulasse, comme si le fait de faire la même chose que d'autres ordures rendait cette chose moins ignoble !

Le Républicain de drouate, c'est un cas un peu moins cradoque que le nazbol, et d'un peu plus triste à la fois, car lui ne peut se prévaloir d'une certaine flamboyance romantique.

Le Républicain de drouate, lui, est juste lourdingue et déprimant.

De passage chez le paternel, qui a toujours été admirablement modéré en tout, je tombe sur une couverture d'un récent Figaro, placardant la tronche à Hollande, avec cet admirable et profond résumé:

Le problème, c'est lui

Stupéfaction face à la précision, la pertinence, l'audace, l'innovation d'une telle analyse.

C'est lui, personne d'autre.

Comme Bush Junior personnifiait le Mal yankee, qui a immédiatement disparu au lendemain de l'érec élection de Café-au-Foutre 1er.

Pas question d'un système de sélection des élites qui permet à un tel jean-foutre d'accéder à un certain degré de pouvoir politique.

Pas question non plus du poids de prétendus experts dont ne peuvent se passer ni un Hollande, ni un Sarkozy, ni un Chirac, ni un Mitterand, ni aucun autre postiche placé pour X année au guichet du grand Théâtre Guignol de la Démocratie européenne d'Après-les-Blancs. Comme si en changer de modèle allait avoir la moindre espèce d'impact sur la tête dégénérée qu'il camoufle à tour de rôles.

Sur Molletaire, ces derniers temps, ce n'est que ça. Flamby au chiottes. Flamby dégage. Flamby mauvaise personne. Flamby, on va vider la cave cul sel le jour où tu te vautres façon Miss Spencer sous le pont de l'Alma.

Et quand on vous aura mis à sa place un Juppé, un Coppé, un Sarko, ou va savoir quelle merde tout aussi soubrettement soumise aux mêmes chiasses mondialistes anti-aryennes, vous pensez avoir le trou de balle moins déchiré, tas de mongoliens volontaires ?

Vous vous payez à crédit le luxe de railler le culte de l'homme providentiel, en pataugeant quatre fers en l'air dans le vaudeville de l'homme catastrophique ?

Quel foutu putain de talent. Quelle persévérance dans l'erreur. Quelle bandaison dans le suicide. On vous scotcherait une lame de rasoir sur le bout de la bite que vous arriveriez encore à crever d'hémorragie massive au niveau de la carotide.

06/09/2014

A PART CA, CONTINUEZ À PARLER D'OCHOUITZE, PENDANT QUE VOS GOUVERNANTS TRANSFORMENT VOS VILLES EN GUANTANAMOS Á CIEL OUVERT POUR VOS FILLES

 

Here we have the spectacle of society condoning, indeed slyly encouraging, the mass rape, sexual exploitation, prostitution, and promiscuous impregnation of white children by foreigners resulting in the birth of mixed-race children—and the ruling class and Left subsequently posturing about the “right” of the girls to keep and raise their hybrid offspring! (...)

 

 

I strongly suspect that the overwhelming majority of people in media and government do not give a damn about the white victims. In fact, what we see every step of the way is media and government complicity.

 

The Conservative Party-linked Spectator (UK) magazine informs us: “Rotherham Council’s children’s services last made headlines when it removed three eastern European [i.e., presumably white] children from their Ukip-supporting foster parents. [Ukip is the moderate, non-racialist UK Independence Party, viewed as unacceptably “right-wing” by anti-democratic elites in Britain and abroad.]  One of its functionaries [a local government official] explained it was concerned about Ukip’s opposition to the ‘active promotion of multiculturalism’.”

 

The Spectator writes, “We don’t hold out much hope that anyone in a position of authority will be going to jail, nor even that anyone will lose their pension.” (Emphasis added.)

 

Indeed, Rotherham Council Chief Executive Martin Kimber, who is white, says that no council officers will even face disciplinary action. What does this suggest about the racial priorities and values of the British state and ruling class? That its apparatchiks are “horrified” by what happened? Hardly! The Politically Correct crimes are entirely consistent with state policy and interests. Whites are hated, and that hatred is institutionalized.

Le reste chez Counter-Currents

05/09/2014

MINISTÈRE DE LA SUBVERSION

Tous les X mois, un nartiste de mes deux se pique de remettre en question les clichés sur les rôles traditionnels homme-femme, ou l'appartenance-raciale-qui-n'existe-pas, und so weiter. Ca se veut souvent ludique et décalé - sans qu'on daigne nous spécifier par rapport à quel repère ledit décalage se mesure.

On en déduit que l'impertinence vise l'antédiluvien corpus culturel et idéologique de la bourgeoisie d'avant-guerre, ce temps béni où les bolchos avaient des ennemis un peu solides auxquels se confronter. Depuis, les malheureux en sont réduits à rejouer toujours la même pièce, le même Miracle sur le parvis de l'église, tout en se piquant bien sûr de railler les ricains qui s'afflublent de jabots et perruques pour revivre l'aube de l'indépendance du pays...

Ce qui est pathétique dans ce genre de démarches prétendument iconoclastes, c'est que les icônes martelées sont en miettes depuis quelques quinzaines de saisons déjà. Des gravats au gravier, au sable, à la poudre, à la poussière, à plus rien du tout.

Martelage dérisoire. Corrida contre un taureau réduit à l'état de vertèbres disloquées.

Mais plus grotesque encore que ces circulaires officielles du Ministère de la Subversion, c'est leur caractère profondément moutonnier, groupal, respectueux des normes, des bonnes moeurs et de la jurisprudence. Les clichés ne se basent sur rien de réel, donnent une image caricaturale de la diversité des individus, les enferment dans des carcans réducteurs ?

Personne n'est forcé de s'y conformer.

A chacun de se démerder. Tu ne veux pas correspondre à la norme ? Dévie, mon gars, dévie ! Ne demande pas la permission avant de le faire ! N'exige pas qu'un Politkommissar te signe une autorisation ! Ne fais pas voter une putain de loi écrite qui t'autorise à ne pas en respecter une autre tacite !

L'émancipation qu'ont en tête ces déchets sociaux ne fonctionne bien évidemment qu'à sens unique, et dans celui qu'ils s'imaginent.

"La liberté ? Oui mais pour faire ce qu'on vous dit, et absolument rien d'autre!" Il est ainsi interdit de disposer de soi-même si c'est pour se conformer librement et joyeusement à un cliché dénoncé par la Correction. De même qu'il est interdit de railler les clichés qu'elle-même défend à grands moulinets de ses petits bras (un président du Yankiland cesse d'être une ordure impérialiste à partir d'un taux minimal de mélanine, ce truc censé n'obséder que les ouacistes). 

27/08/2014

UNE CULTURE D'ESCLAVES

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[Remarque gratuite du taulier: Y en a bien d'autres qui se font une cultures d'internés de camdlamors, finalement, "t'es qui pour juger" etc... ]

Réfléchissez: en-dehors des rastas, il n'existe pas d'équivalents afro-américains aux beatniks et aux gothiques, aux mods et aux rockeurs, aux skinheads et aux Teddy Boys, aux punks et aux nouveaux romantiques, aux hippies et aux hippsters (...)

Qui plus est, très peu de Noirs osent (ou ont quelque chose à foutre de) s'aventurer au sein de ces sous-cultures majoritairement blanches. Quand ils le font – comme l'explique franchement Don Letts, le pionnier punk d'origine jamaïcaine, ils sont en général bien accueillis par leurs nouveaux amis Blancs, tandis que leurs anciens amis Noirs les fuient. Pour parler du milieu avec lequel je suis le plus familier, un film de soixante-six minutes suffit amplement à faire le tour du nombre total de punks Noirs bien connus (et le film a été réalisé par un type à moitié Blanc).

Imaginez que l'immense majorité des Américains Blancs, tous âges et classes sociales confondues, s'habillent en Teddy Boys; que la seule musique à la radio était du rockabilly, et ce depuis 1958. Si le scénario paraît absurde, il correspond parfaitement à la culture effroyablement conformiste des Afro-américains d'aujourd'hui. (...)

Si la «diversité» est la vertu cardinale de notre temps, il est intéressant de noter que la «communauté urbaine» en fait si peu preuve. Si Starkes a raison, le fait ne s'explique pas par un simple phénomène de mode [mais il découle] d'une culture de captivité délibérément choisie. Sur cette plantation, les Noirs sont aussi bien les esclaves que les maîtres.

Le reste chez Taki

24/08/2014

OÙ EST LE VRAI OUACISME ?

Repéré chez Counter-Currents.

18/08/2014

COUP DE CHAPEAU AUX TARÉS

Ma "carrière" aux frontières du mouvement natio a été courte et chaotique. Y avoir croisé trop de tarés m'a permis de refermer rapidement ce chapitre de mon inepte existence sans trop de dommages, et à ce jour ce passé encombrant ne m'a pas trop pourri la vie.

M'en reste pourtant quelques excellents souvenirs et une vibrante gratitude pour l'amitié que j'ai pu y trouver ça et là.

Je ne vais pas essayer de sous-bricoler une liste de remerciements qui omettra la moitié de ceux qui mériteraient d'y figurer. Je vais cracher à l'arrache un hommage collectif dont j'espère que quelques destinataires auront quelques échos, un jour ou l'autre.

Je n'ai pas trouvé dans ce milieu la famille de substitution que je venais chercher. C'est une saine et bonne chose que cet échec; trouver une prothèse à ma taille m'aurait conforté dans l'idée d'une mutilation qui n'avait pas de fondement. La déconvenue subséquente m'a donc forcé à me réconcilier avec ma propre famille, et plus important encore, avec la perspective de la prolonger, d'y ajouter mon propre petit chapitre.

Je salue le type croisé un soir dans un bar parisien, qui me demandait si j'avais en tête de faire un jour des enfants. En ce temps-là, j'avais surtout comme idéal de mourir jeune et seul, de préférence dans un attentat-suicide. J'ai donc répondu par la négative. Réaction du gaillard: "Alors, tu n'as rien compris à notre combat". J'en ai été vexé, bien sûr. Mais c'était parfaitement juste et bien vu. Familie über alles. Les nationaux-socialistes eux-mêmes ne l'avaient pas compris, avec leur insupportable Lebensborn, si soviétique dans l'esprit. Mais je m'égare.

Je salue la petite équipe qui m'a accueilli quelques années durant, me réservant un hôtel ça et là, pour m'y retrouver pour l'invariable rituel: salutations, distributions de chocolat suisse, après quoi chacun posait son cul sur un coin de plumard et, l'oeil avide, le regard égrillard, l'un d'entre eux me disait: "Hé... Parle !" Le plaisir de déguster mon grasseyant accent du terroir vaudois...  C'est avec cette petite escouade, probablement dispersée à présent, que j'ai découvert quelques coins de France à l'âge adulte, pionçant chez l'un, trinquant avec l'autre (immense plaisir et honneur d'avoir pu le faire avec de Beketch), parfois en plein air, façon punk-à-chien, comme l'ont prouvé des photos compromettantes qui existent peut-être encore quelque part...

Je salue tous ceux et toutes celles qui ont rendu chaleureuse, satisfaisante, humaine, chacune de ces rencontres épisodiques entre pseudonymes ridicules, rassemblés par l'espoir de partager une même vision du monde, et donc une partie de ce même monde, si vaine et grotesque qu'ait été cette prétention. Bien plus jeunes ou bien plus vieux, vous m'avez ouvert votre porte, offert l'hospitalité d'un coin de canapé où pioncer quelque peu avant de reprendre la route, supporté mes déconnades, traité comme l'un des vôtres. J'ai oublié les dates, les prénoms, les circonstances, mais aucun geste, aucun sourire, aucune preuve de générosité brute, animale, réconfortante, guérisseuse. Aucun réveil n'est trop difficile, trop pâteux, quand on reçoit un tel accueil, simple et brut.

16/08/2014

"DES LOIS QUI PROTÈGENT LES CRIMINELS"

14/08/2014

LA HAUTE S'AMUSE

C'est devenu une constante, un classique, une figure imposée du cinéma de masse, principalement yanqui: dès qu'il y a futur dystopique ou contexte historique impliquant une certaines aristocratique, ses membres sont systématiquement dégénérés. Ca se pomponne, ça minaude, ça parle avec des voix de fausset ridicule, c'est fragile, ça s'amuse à des jeux idiots ou cruels, et c'est bien sûr intégralement déconnecté des vraies réalités réelles du vrai peuple qui trime et qui souffre et qui tôt ou tard va révolutionner tout ça.

Version courte: La Haute = Fin de Race.

Je tombe sur des images de Hunger Games et c'est une fois de plus le même air de biniou, pour se limiter à un seul exemple récent. Y a du frou-frou, de la perruque, du maquillage, de l'outrance, de la métrosexualité, tout ce qu'on veut.

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La différence entre le monde de la fiction et celui des médiats censés nous causer de la vraie réalité réelle qui intéresse le vrai peuple ? Dans le premier, tout le monde est républicain et méprise les richissimes dégénérés. Dans le second, une stricte monarchie prévaut, et la moindre pitrerie d'un aristo est fourrée dans la gorge du public.

Voir ceci.

Notre aristocratie contemporaine est constituée de gens devenus riches d'un jour à l'autre, en pompant l'idée du voisin, en spéculant, en arnaquant leur public, en captant du fric de l'Etat, en bluffant d'autres plus riches et plus naïfs. La proportion de "têtes couronnées" parmi cette couche sociale dominante est infime: on y croise du nègre à micro, du financier ashkénaze, de la pute à temps partiel, toute une lie humaine sans noblesse, ni au premier ni au second degré. Ils sont omniprésents dans la presse, le moindre de leur rot est répercuté jusqu'en Alaska, et c'est le boulot humiliant autant que sale des journalopes que d'assurer cette répercussion.

Certes, ils ne sont pas toujours présentés sous leur meilleur jour. Une certaine presse, qui assume sa bassesse (contrairement aux journaux "de référence", qui font semblant d'être propres et intègres), se spécialise d'ailleurs dans la salissure de l'image et le colportage de ragots sur nos élites médiatiques. L'irrévérence superficielle y est de rigueur: Untelle est fringuée comme un sac, Untel a la gueule plâtrée de cocaïne, va savoir quoi encore. Mais derrière cette traque au faux-pas, il y a la promotion brutale et monolithique d'une étiquette de cour, qu'il faut connaître et observer si l'on veut éviter de dégringoler.

En ce sens, l'obséquiosité du baveux people moderne n'a rien à envier aux vieux numéros de Point de Vue ou aux commentaires de Zitrone aux mariages princiers. Et depuis que toute pub même mauvaise est bonne à prendre, il n'y a plus d'irrévérence véritable: pour vous la faire version sous-Debord, on dira que le blasphème est un moment du culte.

30/07/2014

QUAND LES VICTIMES FONT LA LOI

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