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09/07/2013

UN CRAN PLUS LOIN

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Il y a d'un côté la tentation de se réjouir du spectacle d'un rappeur musulman afroyanki, se soumettant de son plein gré (encore que les capacités cognitives d'un tel bestiau soient sujettes à la plus grande caution) à une abominable séance de torture. Ca rejoint un peu le plaisir malsain qu'on peut imaginer tirer de la guerre civile égyptienne, sur l'air de Pour une fois qu'ils se bouffent entre eux. Vous voyez le genre, glauque.

C'est justement la glauquitude de la chose qui retient d'en rire trop grassement. Je ne suis pas allé au bout de la vidéo et m'en veux de m'être seulement laissé tenté à cliquer, pensant me payer une marrade digestive. Mais on est loin de la déconnade à la Jim Rose Circus. La chose n'est pas drôle. J'ai peut-être trop tiré sur ma réserve d'ironie et de second degré, allez savoir. Qu'un simien probablement richissime et juste assez instruit pour lire des bribes de l'alcoran se prête à cette macabre bouffonnerie ne m'amuse pas.

Trois aspects de ce happeningue me défrisent en particulier. Le fait que c'en soit un, tout d'abord. Le gros con a certes payé de sa personne, mais dans la même mesure qu'une Belladonna ou une Sasha Grey, qui elles au moins font semblant d'aimer ça. Ayant loupé la fin, j'ignore s'il a seulement été capable de couiner un petit Allah est plus grand que mon oesophage. Je lui laisse le bénéfice du doute. Reste qu'on a affaire à de la pornographie, à un gonzo sans sexe bien cradoque.

En second lieu, et c'est peut-être un peu rassurant quant à ma capacité de m'émouvoir encore face à des images vraiment trop avilissantes, le fait que la grande presse joue le jeu de ce porno social est vraiment écoeurant. Au sens nauséabond du terme, vous savez, ce pauvre adjectif qui ne sert plus qu'à signaler au lecteur distrait qu'il lit en Z une dépêche parlant d'un faits divers impliquant une croix gammée. Il est réellement enrageant de voir la presse ne nous parler que du cul de telle starlette trépanée à chaque numéro, pour mieux nous faire le coup de la pas-si-conne-que-ça-redoutable-femme-d'affaires une semaine plus tard. Une pute reste une pute, un maquereau reste un maquereau, et le gribouilleur qui les glorifie sous couvert de cynisme bidonné devrait s'amputer les phalanges de honte. Avec cette campagne, nos journalopes nous font passer un petit cran plus loin dans la désensibilisation, l'abrasion des sens, l'engourdissement par overdose de laideur.

Et puis, cerise de chiasse sur le gâteau merdeux, il y a le puritanisme abject de la démarche. Pas gratuit, tout ça, le but est de vous bousculer, de vous interpeller, de vous forcer à réagir alors que la prétendue famille, les faux amis, les vraies larves de collègues et les véritables enculés de supérieurs hiérarchiques se chargent assez de vous puriner les recoins de votre existence miraculeusement abrités du ventilo à étrons médiatique. Une organisation néo-gouvernementale est là-derrière, on vous l'explique bien vite. Tout ça, c'est pour vous montrer ce qu'il se passe à Guano-de-Moineau, la méchante prison de Bush fermée par Saint Bâtard, enfin presque.

Ca, c'est c'est le petit couplet articulé par les blanchouilles à dreadlocks, toujours pas remis de ne pas pouvoir s'autoriser à haïr le président des Stazunis parce que ça serait nazi. Le contrepoint est assuré par le coeur des pleureuses du désert, le citoyen Dante Terrell Smith en tête, qui a voulu se payer son moment de gloire christique en solidarité avec ses frères exotiques à jihad portatif. Il en a bien chié ? Vouiche. Et après il a remis sa panoplie de proxénète, ses huit cent grammes de cailloux brillants, il est remonté dans sa septième bagnole et est retourné se taper de l'ukrainienne de luxe avec les liasses qu'il a gagnées en imitant Greystoke devant des parterres de sous-mongoliens. Je ne crois pas qu'il ait dorénavant choisi de dormir dans une cage.

Solidarité à usage unique. Ca claque.

08/07/2013

BONDIEUSERIES

Posté sur une liste de diff' rassemblant de mauvaises personnes. Il était question du christianisme et de son rôle dans l'actuelle implosion sociale, culturelle et raciale européenne. Tout est bien entendu parti du numéro de clown d'un certain François à Lampedusa - un événement qui aurait semblé exagéré dans Le Camp des Saints... Aux tradis postulant que le continent ne saurait être autre chose que chrétien, répondaient ceux pour qui on était déjà passé au stade "post-". Ma lumineuse et indispensable contribution sur la question :


Je ne vois qu'une façon digne d'être chrétien de nos jours: faire sécession spirituelle avec toutes les instances officielles de l'église, qui à de trop rares exceptions près sont exactement soumises à la Correction et engagées du côté du Grand Remplacement. J'imagine que c'est la façon contemporaine de rendre à César... Les protestants sont certes à l'avant-garde, mais j'ai connu aussi des cathos tradis qui auraient mille fois préféré voir leurs filles se faire troncher par des nègres baptisés que par des "païens" leucodermes.

C'est un fait, la chrétienté est attaquée, salie, emmerdolée quotidiennement par le Spectacle, les youtres, les bolchos, et les métissocrates qui estiment que la négrification ne va pas assez vite. Ca peut donner à penser à un croyant sincère que sa foi est naturellement du côté de la résistance à tout ce fleuve de chiasse qui entend nous submerger. De fait, les familles pratiquantes paraissent plus solides, les communautés bien organisées pourraient bien être les dernières à être debout, et on trouve plus de gens fiables, cultivés et orientés long-terme chez les théolâtres que chez les théophobes. Demeure un putain de constat : du pape au dernier cureton de village, la défense de la civilisation occidentale n'est pas très vigousse, quand on ne prône pas carrément sa destruction, parce qu'on le confond avec l'empire des banques, de la pornocratie et du relativisme.

Post-chrétien, l'Occident ? Je demande à voir, par contre. Même les agnostiques ont, quand on touche à leurs convictions, un comportement de prédicateurs hallucinés. Notre éducation, notre vocabulaire, notre comportement, tout est marqué par ces deux millénaires de présence chrétienne en Europe, qu'on le veuille ou pas, et ceux qui la refusent bien plus encore que ceux qui l'ignorent...

Les arguments nitzschéo-paganos sur la nocivité de la doctrine ? Mouaif: l'institution de la chevalerie tend à les affaiblir brutalement. Des siècles durant, on a pu lire la bible en latin sans que ça démotive à massacrer de l'infidèle (quitte à ce que ce soit le type de la vallée d'à côté) ni que ça incite outre mesure au suicide ethnique. Si les Romains ont planté de la vigne partout où ils sont passé, je crois bien qu'elles auraient dépéri si on n'avait pas incorporé le pinard au rite de la communion.

Je n'aime pas du tout la tendance de certains natios à vouloir expurger de notre passé tout ce qui peut être vaguement chrétien. Mais les cathos qui n'ont pas compris que leurs prêtres sont passés du côté des collabos sont encore moins supportables.

Finalement, j'ai un peu le même sentiment face aux biblistes que face aux joyeux. Se faire ramoner le cul ou croire qu'on mange un biscuit où que y a du Dieu dedans, ça me dérange pas plus que ça tant que c'est discret. Mais force est de constater que les têtes pensantes des deux communautés font partie du mouvement qui vise à l'éradication du mâle hétérosexuel blanc.

* * *

Rien à voir, pour se décrasser les zoreilles

04/07/2013

TU PERDS VRAIMENT TON SANG-FROID

22/06/2013

QUAND ON N'A QUE LA HAINE

All that remains is hate, which has kept many a man alive through much worse than what is now or is coming next. The important thing about hate is to include it in your day the same way you do salt on eggs. A pinch is too little and a pound gives you a heart attack, but used in moderation it offers just enough of a kick to begin the morning right.

18/06/2013

BEFORE THE QUARREL

14/06/2013

LA CUVEE DES CONNARDS

Bekim (Benn) et Ilir Frrokaj ont acheté en juin 2012 plus de 46'000 dollars un magnum de Domaine de la Romanée-Conti du millésime 1945 au chef du célèbre restaurant Charlie Trotter, maintenant fermé, à Chicago. Les deux hommes ne se sont aperçus que la bouteille n'était pas authentique que lorsqu'ils ont voulu l'assurer et qu'une consultante leur avait dit qu'elle n'avait aucune valeur.

Les deux richissimes imprononçables n'achetaient pas du vin, au sens d'un produit de consommation destiné à flatter les papilles et griser l'âme au bout de quelques godets. Il y a un prix au-delà duquel on n'achète plus quelque chose qui se boit, mais du prestige, de l'exclusivité, de l'esbrouffe.

Une pute sympa, une très belle pute, une pute top-model, la plus belle femme du monde pute-d'un-soir, au final c'est pareil: mêmes orifices convoités, mêmes services attendus. A quelques euros ou cent mille dollars, une pipe reste une pipe, tout le reste est de la poudre, du genre qu'on s'enfile par les yeux plutôt que dans les naseaux. Pour le vin c'est exactement pareil. Il y a la qualité du millésime, la spécificité du terroir, le travail du vigneron, le savoir-faire de l'encaveur, et tout cela a un prix. Rajoutez-y une marge pour que les artisans gagnent leur croûte décemment. Encore une pour faire vivre les intermédiaires. Une dernière pour la relative rareté du cru. Chaque centime supplémentaire sera dépensé au seul nom de la spéculation.

L'amateur bourrin mais éclairé calcule le juste prix de son jaja selon une échelle à trois variables: qualité, prix, et temps. Une bouteille, c'est X verres répartis entre X convives pendant X minutes d'une seule soirée. Au-delà d'une limite supérieure variable mais incontournable, on ne boit plus du vin: on flambe, comme au casino. Au plaisir de la dégustation se substitue celui de la frime. Une grasse liasse qui disparaît à chaque petite gorgée.

Le palais humain a ses limites, et pour les franchir il faut avoir recours à des substances hallucinogènes. Sans elle, on boit et mange excellement, mais on n'a pas de visions célestes, pas d'orgasme sec. Et puis au bout d'un moment on a simplement trop bu et trop mangé, et on finit par tout dégueuler, pareil qu'avec des chips et un litron de goron.

Ami novice, n'oublie jamais ceci: le vin le plus cher de la carte ne sera pas le meilleur, juste le plus cher. Et à partir du deuxième zéro au cul du prix, la courbe du foutage de gueule prend son envol. Mais les gros snobs ne veulent pas le savoir.

C'est ce qui explique notamment la renommée perpétuelle des "grands vins de Bourgogne": c'est connu ? c'est monstre cher ? c'est coté en bourse ? ça ne peut être que bon.

Si vous consentez à débourser le prix de quatre Ducati Monster neuves pour un litre et demi de rouquin, on peut aussi bien remplir votre magnum avec du cubi de beaujolpif nouveau 1985 aromatisé au sirop de cassis :

VOUS ALLEZ AIMER

Vous n'aurez pas le choix que d'être ébloui, de faire claquer la langue, de vous chiffonner la gueule en moue de connaisseur étourdi de bonheur.

Un intense plaisir gustatif est le retour sur investissement légitime que vous attendez. Si vous avez l'impression de vous rincer la gueule au vieux vinaigre de framboise, la sensation qui vient juste après la brûlure de l'acide s'appelle la honte : vous êtes un couillon qui s'est fait avoir, un richissime blaireau qui n'y connaît que dalle, une pive, un manche, un futur client de Monsieur M'Bougna, Grand Voyant Médium qui multiplie les billets de mille et fait revenir l'être aimé du royaume des morts.

L'admettre publiquement ? Plutôt crever. DONC ce que vous buvez est formidable et les moqueurs sont des béotiens aux papilles néanderthaliennes.

Brankim Foutraj et son copaing ont joué et perdu. Dans un monde juste, ils ne devraient avoir droit à que dalle à part les rires du public. L'arnaqueur a fort bien joué son coup, parce nos deux couillons n'auraient pas senti la différence avec le premier jus de betteraves venu.

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08/06/2013

L'OFFICIALISATION DE LA TARLOUZERIE VUE DE SUISSE, ET AUTRES CONSIDERATIONS INDISPENSABLES

Un correspondant me demande ce que la presse et le public de Chuiche a bien pu dire et penser de l'officialisation de l'enculade en ex-France. Je sais que cette question vous ronge depuis longtemps, alors voilà:

J'ai retiré l'impression que la presse romande a observé la chose avec le calme et la discipline d'un bon larbin - obéissant mais sans exubérance. La chose est faite, on en cause parce que ne pas en causer serait inimaginable, et en bien parce qu'en dire du mal est considéré comme suicidaire. Il serait tentant d'y voir une forme de lassitude face au tsunamerde qui nous submerge, mais c'est surtout de la zombitude, quand bien même il se trouverait des journaleux pour triquer sincèrement face à l'événement. Ce qui nous tient misérablement lieu de presse conservatrice - en Suisse-Allemande - s'est peut-être fendue de commentaires annexes sarcastiques, mais guère plus.

La plèbe ? Je ne saurais vous dire avec certitude. Les gauchistes de mon entourage ont acueilli la nouvelle avec décontraction : après tout, l'Espagne avait déjà franchi le pas, c'est dans l'ordre des choses, pas de quoi en faire un Epoisses, c'est quoi ton problème, etc. Mais prenons l'exemple de Madame et sa Mère, plutôt Correctes d'ordinaire: la chose les a sinon franchement révulsées, du moins agacées.

Cela n'engage bien sûr que moi, mais j'aurais tendance à croire que cette énième humiliation s'inscrit, dans l'oeil du Chuiche moyen, dans le cadre de son appréciation de l'ex-France en général : un nouvel exemple de Grand N'importe Quoi hexagonal, une mesure dont le battage médiatique s'explique par la platitude de l'actu et la nécessité de camoufler le désastre politico-économique général dans lequel patauge le pays.

Moi-même, gros nazi comme vous le savez, je peine à voir dans la chose un pas décisif dans notre dégringolade collective.

Tout cela est, somme toute, d'un colossal banal, dans l'ordre des choses qui dans leur ensemble vont de travers. J'attends et espère bien pire, bien plus grotesque: un Président se croyant obligé de tomber le pantalon pour révéler son string rose fluo durant les cérémonies officielles du Jour de la Mémoire des Déportés Juifs Homosexuels, par exemple. La common decency a été si finement broyée que la caricature n'est qu'à peine outrancière, étrangement probable. La légalisation de la polygamie et de la zoophilie ? Elles se fera sans ramadam excessif. Les réacs qui croient encore secouer les consciences engourdies avec ces épouvantails sont des chasseurs d'orage armés de pébroques en papier mâché. Ensemble, tout devient possible, et les abominations qui auraient fait crever de honte et de dégoût mon grand-père mobilisent à peine l'attention de Monsieur Moyen.

Nous en parlions pas plus tard qu'hier soir avec ma frangine, intéressant specimen de carriériste athlétique ne désirant pas d'enfants et rompue à toutes les courbettes progressistes: elle-même se rend parfaitement compte de la surinformation ambiante, et de ses effets. Le cul de Nabila, le suicide de Venner, l'homoenculade républicaine, le printemps bougnoule, la météo crado, le réchauffement climatique, l'huile de palme, Secret Story, Ochouitze, Fast and Furious 34, tout cela se mélange en un abject smoothie mental que chacun avale en se croyant pas dupe, complètement étourdi, étranglé par les exigences d'un patron psychotique, le rythme inhumain d'une famille semi-composée, les courses alimentaires, les salamaleks familiaux, les addictions plus ou moins sales, et un tranquille désespoir que cette accumulation permet de camoufler en petite fatigue passagère...

Bref : aucune importance, parce que plus rien n'en a, ne peut en avoir. En auraient des choses auxquelles nous aurions le temps, les moyens et la rage de réagir.
Quelques centaines de milliers de cathos ont pour une fois senti l'impact du glaviot expédié au fond de leur gorge par l'Hyperclasse et ont singé les gauchistes dans leurs moeurs manifestantes, se faisant baptiser à la matraque et au lacrymo. Je ne chie pas sur leur courage et leur détermination, mais je me demande où sont les milliers d'activistes de l'OAS, de Breiviks, d'Unabombers, de McVeigh qui, depuis 20 ans déjà au moins, auraient dû surgir et massacrer à l'aveugle face à tant de haine et de volonté délibérée de salissure et d'extermination.

"Que l'on touche à la liberté, Et Paris se met en colère" - ah ouais ? LOL. Notre capacité à nous foutre en colère a été ECRABOUILLEE, point. Nous sommes les Elois de la Machine à Remonter le Temps, et en Suisse comme en France nous contemplons le spectacle dantesque de notre propre abbatage industriel, avec une sourde angoisse, vaselinée par les antidépresseurs, les dopants, le porno et le crédit-conso, la bave aux lèvres et les yeux vitreux.

Dans ce magma général, le coup de feu de Venner a résonné comme le bruit d'une porte blindée qui claque au loin dans un asile de fou à échelle planétaire: une partie des pensionnaires l'a entendu de leur cellule, sans trop savoir de quoi il retournait, et sans que ça les retienne trop longtemps de recommencer à compter leurs orteils.

07/06/2013

COMBAT D'ARRIERE-GARDE ET POLITIQUE D'AVANT-GARDE

Ce qui suit est la traduction de l'article paru sur Alternative Right, Rearguard Action and Vanguard Politics, à la suite du premier « mariage » gay conclu en France.

Le premier mariage gay de France vient donc d'être célébré à Montpellier, avec la présence de la Franco-Marocaine et ministre des « Droits de la Femme », Najat Vallaud-Belkacem (une musulmane pour le « mariage gay » : ça ne s'invente pas).

Des manifestants du mouvement anti-mariage gay étaient également présents, et ils ont pu bénéficier des retombées consécutives à la victoire de l'amour sur la haine (ce sont les mots d'un des deux mariés) lorsque la police anti-émeutes a lâché ses chiens sur eux.

Les reporters présents devant la mairie ont, quant à eux, eu maille à partir avec un autre genre de manifestants anti mariage gay : un Noir a en effet pris le micro d'un des reporters et a crié : "J'emmerde les francs maçons!". Un journaliste d'une autre chaîne, qui avait commencé son reportage en célébrant les « couleurs du jour » (arc-en-ciel), a dû lui aussi interrompre son reportage lorsqu'un Arabe en colère s'est interposé entre lui et la caméra. Voir éclater devant nos yeux la montgolfière du Meilleur des Mondes fut un vrai régal. Mais cela n'a pas suffi à gâcher la fête, la mairesse socialiste de Montpellier n'ayant pas hésité à voir dans ce mariage un « moment historique » et un « symbole de progrès ».

L'histoire n'a pas de fonction « pause »

Maintenant que la loi est passée et le premier mariage gay célébré, le mouvement anti mariage gay apparait comme ce qu'il a toujours été, un combat d'arrière garde, sans telos propre. Un exemple parfait de conservatisme.

Le principal problème avec les conservateurs est que ce qu'ils veulent conserver, la plupart du temps, a cessé d'exister depuis longtemps. Prenons pour exemple le mouvement pro-vie: ils continuent à se battre, en vain, contre l'avortement, clamant que n'importe quelle vie est digne d'être vécue, tandis que des scientifiques tentent de créer un utérus artificiel. Que feront les pro-vie lorsque le premier Uruk-hai sera ainsi conçu ? Feront ils sauter les machines pour raisons religieuses, ou les protégeront ils car selon eux "toute vie est sacrée" ?

C'est le même problème pour le mariage, même si nous en connaissons déjà l'issue. Les conservateurs prétendent que le mariage gay est une tragédie, car le mariage est un pilier de la société, même si dans les grandes villes, un mariage sur deux se finit par un divorce.

Certains chefs de file des récentes manifestations, la plupart catholiques, prétendent avoir combattu pour le "mariage traditionnel". Mais ce qu'ils défendaient n'est autre que le mariage civil, instauré durant la Révolution française pour détrôner le mariage religieux. C'est certainement un vestige de mon époque libérale, mais je ne vois absolument rien de traditionnel dans une simple démarche administrative. Et il devrait sembler parfaitement logique qu'un mariage conçu comme un contrat entre deux individus abstraits (des "citoyens") finisse par pouvoir être conclu entre n'importe quel couple. Le mariage étant devenu une loi, ce n'est qu'un problème de paperasse pour le législateur que de l'accorder aux nouvelles modes. Vous aurez du mal à faire comprendre ça au conservateur moyen. Cela le forcerait à aller à la source du problème, et les conservateurs ne sont pas des radicaux, ce sont juste des poseurs. Aujourd'hui ils protestent contre le mariage gay, demain ils le défendront. Un jour ils prétendront même l'avoir inventé. Après tout, Martin Luther King est de nos jours décrit comme un conservateur !

Un moyen pour l'activisme radical

Ces manifestations auront au moins eu un mérite, celui de permettre à des activistes radicaux de se faire connaître auprès du grand public, chose pour laquelle ils auraient eu bien plus de mal sans ces mouvements. Avec plus d'un million de manifestants aux trois grands rassemblements, il était effectivement impossible pour les leaders au charisme digne d'une huître, de contrôler les slogans qui étaient scandés. Alors que ces manifestations devaient être seulement contre le mariage gay, elles devinrent rapidement un moyen pour beaucoup de clamer leur opposition au gouvernement.  "Hollande démission" y était un slogan très courant.

En marge de la dernière manifestation, Génération Identitaire s'est montré à la hauteur de son précédent coup d'éclat (occupation du toit de la mosquée en construction à Poitiers), en se hissant sur celui du siège du Parti socialiste. Là-haut, ils ont déployé une énorme banderole incitant Hollande à démissionner, comme ils l'ont fait depuis son élection. Bien que moins spectaculaire que l'action de Poitiers, elle a peut être plus de poids politiquement parlant. La police, obéissant aveuglement au gouvernement socialiste, a gardé les 19 activistes pendant 48 heures.

Ils seront traduits devant un juge le 25 juillet. Sous contrôle judiciaire jusqu'à leur procès, ils ont également l'interdiction de se rencontrer. Ils écoperont certainement d'amendes, mais le fait qu'ils n'aient pénétré dans aucun bâtiment devrait amoindrir leur montant.

Pendant ce temps-là, de violentes échauffourées ont opposé des nationalistes à la police, en dehors des Invalides. Il est important de noter que ceux-ci se réclament d'un nationalisme réduit à l'Hexagone, contrairement à Génération Identitaire qui eux sont des « Euro-nationalistes ». C'est donc sans surprise qu'ils se sont lancés dans un combat perdu d'avance avec la police. Plus d'une centaine d'entre eux a été embarquée par la Police et pour eux la sanction sera certainement bien plus sévère.

Le seul résultat positif de ces évènements est qu'ils ont forcé beaucoup de droitards à reconsidérer leur affection injustifiée pour la police. Car non seulement les policiers ont tapé sur des militants, mais il ont également gazé des manifestants pacifiques, et même parfois des femmes et des enfants. Des vidéos ont été diffusées, dans lesquelles on pouvait voir des policiers lancer des bouteilles en verre sur les manifestants qui, eux , n'étaient pas équipés de casques de protection. Personne ne peut dorénavant contredire le deux poids, deux mesures existant en France, entre des gens bien éduqués et maltraités par les forces de l'ordre, tandis que des sauvages peuvent en toute impunité casser et piller le Trocadéro après la victoire du PSG. Que le peuple cesse de considérer ce gouvernement comme le sien reste à voir, mais une chose est certaine, c'est que le passage d'un mouvement d'arrière-garde à un mouvement d'avant-garde est intéressant.

Il nous faut absolument une culture de droite anti-gouvernementale, car l'adoration des institutions par les gens de droite est ce qui nous empêche d'avancer, les droitards finissant par défendre des institutions devenues dysfonctionnelles, voire complètement subverties.

Il nous faut également nous rappeler que la dernière fois que la droite était véritablement anti-gouvernementale, elle a fini par règner sur presque toute l'Europe, et ce en moins de vingt ans.

M. Criticus

21/05/2013

DERNIER BRAS D'HONNEUR

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J'apprends la chose du retour de l'hôpital, c'est parfait avec le temps qu'il fait. Ambiance Camp des Saints, en direct, sans effets spéciaux. Ca pue et ça sent bon à la fois, comme de coutume pour les narines trop longtemps plongées dans de la naphtaline.

Eclabousser de son sang l'antre de la Grande Métisseuse, que certains pensent encore être la solution et non pas l'un des tentacules du problèmes du Grand Remplacement, on concédera que ça a une certaine gueule.

"Le geste intrigue", commente le Figamou. Belle épitaphe de la part de cette ex-droite qui, décidément, n'a toujours absolument rien compris. J'espère très égoïstement, et sans excès déraisonnable d'espoir, que la NRH lui survivra.

A votre mémoire et votre oeuvre, Monsieur V.

 

Ma caboche fatiguée est pleine d'électricité, tandis que je rumine la nouvelle, mon gamin dans les bras.

Un tel geste n'est pas qu'un ultime bras d'honneur à la trahison, à la Correction et à la machine à bousiller les Aryens. C'est un doigt accusateur, humiliant, impérieux, qui se pointe dans la gueule de chacun d'entre nous, une voix de pure rage qui nous demande

ET TOI ?

Toi qui prétends avoir des idéaux, qu'as-tu fait à ce jour ? Qu'es-tu prêt à faire ? Quel geste nouveau, spectaculaire et symbolique seras-tu capable d'accomplir à l'instant crucial ? Toi qui agites si volontiers la fierté de ta lignée et tes ancêtres, auras-tu la force et la noblesse de les rendre fiers de toi ?

08/05/2013

OUACISME ET EUGENISME

Chez Counter-Currents, un texte en angliche pour ne plus confondre les deux.

07/05/2013

CARLYLE CLUB

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L'original en format lisible

et d'autres taquineries de la même race espèce

ICI

Pas envie de vous taper la rata avant de passer au calva ? Allez directement ici:

In this week’s issue of Radish, the Thomas Carlyle Club for Young Reactionaries (Students Against a Democratic Society) finds solace and inspiration in the glorious cultural heritage of the white race.

Yes, I know, we’re not supposed to call it that.

29/04/2013

POUR UN JOUR DE PLUIE

28/04/2013

TIME IS NOT MONEY

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Incarnation du rêve, du bonheur et de la classe, Occident, années 1400 de l'hégire

Le processus de gentrification de l'axe lémanique se poursuit dans la bonne humeur. Du bout du lac à Lausanne, comptez minimum un million pour un appart, le double pour une maison de 150 m2 (Habiter, printemps 2003) Mais de quoi se plaint-on ? En priant ces porcs d'autochtones fauchés d'aller crêcher en France voisine, l'Etat s'enrichit en attirant les grosses fortunes, et l'Etat, en démoucrassie, c'est nous, hein? Je m'enrichis, c'est süpaire. Et puis ça crée de l'emploi, la preuve :

Le Temps nous apprend ainsi la création à Calvingrad d'un club de rencontres pour gros friqués. Cotise de base: dix mille balles. Tristesse fabuleuse du truc expliquée par la fondatrice de la chose, blonde quadra sans enfants :

«Nos membres n’ont pas un profil type. Il y a des médecins, des hommes d’affaires, des avocats, des chefs d’entreprise, des photographes, des actrices, c’est très varié. Mais leur dénominateur commun est souvent d’être «cash rich, time poor» [riches en argent, pauvres en temps]

C'est presque systématique: quand un fauché vous parle de ses glauques rêveries de fortune, un laid et gras cliché monte à la surface de son fangeux discours : Je veux plus devoir réfléchir à l'argent. L'essentiel à retenir étant bien entendu : Je veux plus réfléchir. Ce qui suppose, prétention chuptzesque, que c'est quelque chose qu'il fait souvent, en y mettant du coeur. Leaullons en choeur.

Belle performance de la part de MTV, M6 et de tout le réseau d'égouts cathodiques : avoir promu l'image d'une richesse insouciante, le mental de Donald pour la piscine à fric de Picsou (Oncle Jérémie, à l'origine, la bédé c'est nazi), pouvoir se permettre tous les caprices, les coups de tête les plus déraisonnables, ne jamais calculer que dalle. Il est bien connu, en effet ! que les gens de la haute dépensent sans compter, sont d'une générosité folle, toujours prêts à filer mille balles aux potes en délicatesse. Voyez le pognon monstrueux dont Monsieur Ikéa, vieux faf, arrose les mouvements natios de Suisse ! Je vous dis pas la qualité de la soie dans laquelle on pète grâce à lui, un régal.

Si on résume, nous avons donc des working poors cons à manger des cailloux, et des working riches à qui des montagnes de biftons ne permettent pas de se dégager assez de temps pour tenter l'aventure semi-suicidaire d'une famille à peu près stable. Si le luxe c'est l'espace, alors la fortune c'est précisément du TEMPS. La possibilité de choisir quel jour on bosse et quel jour on n'en fout pas une. Le privilège de pouvoir lever le pied quant au boulot, histoire de trouver de quoi mettre quelques héritiers en route.

L'apparition de ce service démontre que bien des gros bourges sont, finalement, aussi seuls, largués et débordés que nous autres, petites mains et valetaille. Ca vaut bien la peine, et c'est vrai que ça file une envie irrépressible de gratter un ticket d'euromyhon.

27/04/2013

ACH GROSS HUMOUR

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Chez Herr Schöndrikourt

LOUNES

Si chaque grande ville de France comptait seulement un petit millier « d’enragées volontaires » de l’espèce de Emma West et de Jacqueline Woodhouse alors nos ennuis seraient résolus très rapidement. Personne, aucun cargo d’immigré, aucune pelletée de crépu d’ou qu’ils sortent, aucun décret-loi, aucun serpent racailleux cannabique, aucune loi aucune industrie aucun principe frauduleux, aucun lobby même le plus immonde ramassis la plus concentrée fourmilière de cafards richissimes déchaînés de racisme à mort anti-blanc ne peut tenir une seconde la distance contre une femme qui a décidé d’avoir ce qu’elle veut. (...)

Les faits concrets les voici. Surreprésentation extraordinaire des gens de ce sérail dans les domaines suivants: production et diffusion de la pornographie, origine des armateurs de bateaux d’esclave, trafic de drogue, plagiats de livres et d’idées, incitations à la haine de la France, incitations à la haine de la race blanche, incitations à la haine de l’Eglise, conceptualisation et diffusion du gender, mariage gay, dead white males, suppression/modification du nom de famille, élévation des taxes sur héritage, diffusions d’image pour grand public qui représente le métissage systématique d’un Noir et d’une Caucasienne, entretien de mensonges et d’exagérations sur un martyrologe passé pour culpabiliser d’avance les gens qu’ils persécutent, appauvrissement des Français qui les accueillent par intrigues fiscales à l’intérieur de l’Etat, truquage des informations participatives dans Wikipédia, financement colossal des campagnes d’Obama et écrasante majorité de vote communautaire en sa faveur aux deux élections, triche et cooptation communautaire pour squatter les jobs importants et valorisants, origine de la législation sur le divorce et surreprésentation dans les avocats spécialisés dans les divorces, lobbyisme pour les manipulations génétiques type GPA, mise en place de structures pour favoriser l’immigration et l’impunité de la délinquance. (...)

Le reste ici

23/04/2013

NE PAS LOUPER LA SIGNATURE

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Peu avant que ce grand progrès nécessaire inévitable et réjouissant du mariage pède ne soit légalisé au Bougnoulistan du Nord, un quelconque connard publie chez Atlantico un argumentaire en faveur de la chose.

Dette envers les homos à cause des souffrances passées.

Parallèles bouffons d'anachronisme et de portnawak avec l'antiquité romaine.

Les opposants traités comme des hydrocéphales qui demain ne sauront plus ce qu'ils ont voté la veille.

Le bon vieux parallèle pourri qui postule que mieux vaut deux papas qui vous font des mamours que deux parents qui vous scalpent les couilles.

Un sommet de foutage de gueule, de malhonnêteté intellectuelle, de bassesse et d'imbécilité volontaire qui retourne le crâne et l'estomac.

Et puis d'un coup, on se détend, on sourit, on respire et on range (provisoirement) le fusil à pompe parce qu'on a vu la signature de l'auteur.

Il est vrai qu'en Eretz, c'est chose faite depuis si longtemps...

LA HAINE OU LE MEPRIS

Une belle friandise, grasse, douce et croustillante à souhait, signalée par de la Souche chez Libé.

Trop facile, trop évident, un péché de gourmandise, je craque !

Et l'indigestion me donne des visions : demain, tous les paydays qui voudront survivre seront au minimum de droite dite "décomplexée", celle que leurs prétendus porte-parole vomissent encore actuellement. Façon femme battue qui insulte le voisin qui appelle les flics, écoeuré de l'entendre gueuler de l'autre côté du mur.

Pas que je croye qu'il n'y a pas, à droite et très très à droite, le contingent plus que nécessaire de bougres. Mais à part un Gripari ça et là, ils (j'ai pas dit "elles", félicitez la maîtrise de soi) auraient comme tendance à se faire discrets. Ou du moins, ce qui est le minimum qu'on en attend, ne pas faire de leur cul un étendard.

Sodomilitants, qui ne me lisez pas et vous avez bien raison, il faudrait vraiment que quelqu'un vous explique ceci, quelqu'un qui a votre confiance, qui a prouvé qu'il ne vous veut pas du mal MAIS qui ne vous passe pas toutes vos putains de lubies. Moi, ça ne sert à rien. Mais j'ai une demi-heure à tuer avant la prochaine corvée, je vous la consacre. C'est pas gué-freine-de-lit, ça, Madame ? La vérité !

Vous semblez nombreux (j'ai pas dit "nombreuses", ovationnez) à croire sincèrement que la droite, toute la droite, vous en veut par nature et que la gauche est votre famille politique naturelle, la seule où on vous foute la paix. Pour faire plus faux et ridicule, il faut s'imaginer qu'Ariel Sharon va sortir de son coma pour se faire salafiste.

La gauche est métécocrate depuis trop longtemps pour espérer jamais changer. Sa nouvelle classe ouvrière, c'est le lumpen des bas-fonds de la planète. Tout son programme, au-delà des contorsions idéologiques et des plans quinquénaux, a été résumé par Sartre quand il parlait, chez Fanon, d'abattre un Blanc pour libérer un bronzé. La gauche, c'est l'expiation du péché colonial, l'obsession d'inverser la tendance historique, dégager le toubab fatigué d'un podium qu'il ne veut plus occuper, et faire rois ses anciens esclaves. Le reste est fioritures.

Or, est-il besoin de vous faire un topo sur la popularité de vos moeurs auprès du Sparkatus afro-arabe ?

Là encore, pas de foutaises: on y agrandit le cercle de ses amis ni plus ni moins qu'ailleurs. Mais on le fait avec des risques plus considérables que de choper des maladies pas propres. On peut finir accroché à une grue, ce qui est un peu plus désagréable que de se faire regarder de travers.

Ces moeurs indélicates sont importées par canadairs entiers en Europe. La responsable logistique de ce transfert massif, c'est cette gauche que vous imaginez encore de votre côté, parce qu'elle prétend vous permettre de jouer au papa et à la maman. Pour complaire aux plus déséquilibrés d'entre vous, c'est toute votre communauté qu'elle met en danger, un danger très réel, clair et immédiat. Vous savez parfaitement ce qui est plus dangereux pour vous : une soirée avec des supporters hétéros avinés et bourrins, ou une promenade nocture dans un quartier populaire, jeune et vibrant de Diversité.

Les réacs ne vous aiment pas et vous donnent de vilains noms. Les Divers ne crachent pas forcément sur vos services, mais leur phobie prend une tournure autrement plus radicale.

Faf incurable, je vous l'affirme : personne de raisonnable partageant mes quelques convictions ne souhaite vous scalper, vous rééduquer, vous coudre à vif une étoile rose sur la couenne. Vos moeurs nous heurtent, ne nous mentons pas, mais de là à vous forcer d'en changer, ou à vous en guérir à coups de parpaings ? Nous ne sommes - hélas, peut-être - pas si cinglés que ça. Nous ne demandons qu'un peu de décence et de discrétion. De votre part comme de celle d'un couple bien hétéro, encore puceaux à la trentaine et qui, avec un coup dans le nez, se tripote obscènement sur le canapé en se foutant du reste des invités. Pour le reste, nous sommes très disposés à vous foutre la paix. Parce que, de nos jours, c'est cela un nazi: un type normal, tranquille, qui veut bien foutre la paix à tout le monde, et qui se retrouve à accumuler des armes parce que, à lui, on ne fout pas la paix justement, parce qu'on exige de lui repentance héréditaire, acceptation de l'inacceptable, tolérance du dégueulasse, recul et respect de ce qui lui fout la gerbe.

Cette nausée existera toujours. Le plus acharné des progressistes, la ceinture noire de relativisme, le contorsionniste de la tolérance, crachera toujours un brutal et sonnant "pédé" au malotru qui lui grille une priorité, s'offusquera qu'on doute de sa virilité en le traitant de tarlouze. Aucune rééducation, aucun procès, aucune surveillance 24/7 n'y changera quoique ce soit. Différents de la norme, par nature ou par choix, le mépris vous suivra éternellement. Certains s'en sont faits une gloire. D'autres s'en tapent. Il arrivent que d'autres encore craquent et finissent par se défenestrer. Il ne s'agit pas de minimiser ces souffrances, mais d'affirmer qu'elles seront infiniment pires dans le monde dont rêvent les bolchos qui prétendent lutter pour vos droits. Vos représentants officiels, qu'on ne saurait trop vous recommander de museler pour votre propre sécurité, ne veulent pas du respect et de l'égalité. Ils veulent de l'amour inconditionnel. Ils veulent qu'on leur passe ce qu'on ne passerait à personne. Ils veulent les bénéfices de la déviance, une déviance revendiquée, sans passer à la caisse.

Seul nazebroque de tout mon entourage ou peu s'en faut, croyez bien que ce que je vis peut m'aider à piger votre quotidien. Entre la réputation du ouaciste et celle du payday, la plus enviable n'est pas celle que vous pensez. J'essaie de vous tirer des larmes ? Nenni. J'illustre : sans renoncer à rien de ce que je suis et crois, je dois, pour conserver un salaire et éviter des poursuites, mettre quelque peu ma foi en sourdine. Personne ne se fait la moindre illusion à son sujet, mais aussi longtemps que je ne fourre pas des tracts sous le nez des gens, on ne m'en fait pas grief. C'est un statut de pestiféré mondain, de lépreux emballé sous vide. Ai-je besoin de vous dire qu'on s'y fait ? Vous connaissez ça par coeur.

La décomplexion de l'homophobie, la banalisation de l'asticotage voire pire, est non seulement le fait majoritaire de métèques d'importation récente, mais aussi et surtout une conséquence de l'homocratie gauchiste. Socialopes et maoïstes du Rotary ont cru bon de vous draguer en faisant des plus tordus d'entre vous les symboles, les représentants, la moyenne de toute la communauté. Dans leur discours, par leurs actes, dans les échos que leurs larbins médiatiques, la folle est devenue la norme. Nous voilà sommés d'applaudir la plume dans le cul et les froufrous dont, si ça se trouve, vous ne voulez pas plus que nous, bourrins hétéros.Mais ne pas applaudir aux extravagances les plus glaireuses, c'est vouloir vous Ochouitzer par paquets de mille. Dixit la Correction.

Dans un Occident toujours plus Divers, vous allez tenir une forme éclatante ! A force de devoir courrir pour échapper aux mamours Citoyens des Divers, vous allez perdre tous ces kilos en trop et vous faire des fesses d'acier. Profitez-en à fond et dites-vous bien que c'est tout ce que vous avez à y gagner.

 

21/04/2013

AGENCES DE NOTATION MORALES

On ne veut plus qu’on nous prenne pour des imbéciles. On veut qu’on appelle un chat un chat. On veut qu’on pense d’abord à la France et aux Français. Qu’on se soucie de nous, qu’on s’inquiète de nous. Qu’on nous écoute. Qu’on arrête de nous étiqueter «réacs», «fachos», «racistes» dès que nous osons dire ce que nous voyons, ce que nous vivons.

Robert Ménard

 

Ne rejetant pas l’homosexualité, cela fait parti de la vie, certains préfèrent les hommes aux femmes de la même façon que je préfère les pomme de terre aux choux de Bruxelles, c’est une question de goût et cela ne se discute pas. Je n’ai pas la moindre hostilité envers les homos, sauf peut être envers ceux qui font passer leurs désirs consuméristes avant la morale et l’éthique et ceux qui utilisent des arguments fallacieux pour justifier l’injustifiable. Alors dites moi, suis-je homophobe ?

Skandal


Si les notions de "droite" et de "gauche" n'ont plus aucune validité, si comme Ménard l'affirme une nouvelle génération de traditionnalistes semble avoir compris qu'il n'y a pas d'antinomie fondamentale entre libéralisme et libertarisme, il reste encore aux radicaux à poubelliser un archaïsme de leur pensée : la croyance qu'il est possible de choisir son appartenance officielle, son label, sa réputation médiatique, en fonction de ce que l'on dit et fait, et pas selon le bon vouloir des agences de notation morales.

J'estime avoir suffisemment traîné mes savates chez les droitards bon teint et les nazebroques à l'ouest pour parler avec quelques légitimité de ces deux milieux. Si les premiers craignent de passer pour de mauvaises personnes, les seconds ne s'inquiètent que de noircir leur image autant que possible. Dans les deux cas, les ennemis de l'Europe mènent la danse: c'est de leurs humeurs que tout dépend, que l'on s'échine à ne pas leur déplaire ou à les faire bisquer.

J'évoquais Dieudonné l'autre jour. Il y a, entre ses shoananasseries et l'adoption sarkotique d'un chtit nenfant juif zykloné, une filiation directe, un cousinage évident: blasphème ou génuflexion, on est en pleine mystique, c'est la nouvelle religion ochouitzienne qui est au centre de l'attention. Certes, il est horriblement tentant de pisser contre les idoles de croyants que l'on hait, surtout quand ils vous les enfoncent dans la gorge soir et matin depuis deux générations. Mais on ne peut pas retourner efficacement la Correction contre ses adeptes, et exiger qu'ils nous respectent comme on serait prêt à les respecter, entre adultes, à la loyale, est idiot.

Je ne vis pas à Paris et ce n'est pas moi qui me prends lacrymos et boucliers dans la gueule. Je n'ai donc pas à donner de leçons à ceux qui se les mangent pour leurs convictions. Je prends néanmoins le droit de leur dire ceci:

Blancs, tradis, hétéros, et pas trop honteux de l'être ? Vous serez toujours perdants au jeu de cons du Spectacle. Toujours. La fiction de votre culpabilité héréditaire et irrémissible sera la dernière en place de cette civilisation crevarde. Vous n'avez besoin d'avoir commis aucun crime : vous êtes le crime, vous incarnez le cauchemar d'un continent Blanc qui tarde à se noircir, qui le fait dans la douleur, à la grande rage de ses corrupteurs.

L'Ennemi n'est pas loyal, il ne se comporte pas en adulte, il méprise les lois de la guerre, il incarne l'arrivisme et la volonté de domination absolue, et surtout c'est lui qui contrôle la Machine à distribuer les Bons Points. C'est cette machine qui va chercher des circonstances atténuantes aux deux métèques explosifs de Boston, conchiant la gueule de leurs victimes et leurs familles, et cherche des "têtes de nazis" chez les manifestants anti-mariage homo, dont la bonne tenue générale ne protège pas des gazeuses, matraques, GAV et insultes impunies.

Chez Causeur, une activiste qui a passé quelques temps en cellule s'offusque d'encouragements à la radicalité - clair, venant de flics qui vous coffrent pour moins que rien, ça fait une couleuvre un peu large à déglutir. Est-ce faux pour autant ?

Monsieur Lime l'explique fort bien: Normal et sa clique, les noces des paydays, ça ne les obsède pas plus que cela. C'est de l'enfumage, de la distraction massive. Mais derrière l'instrumentalisation politicienne d'un projet absurde, il y a la même saloperie Rotary-Mao que d'habitude: une simple étape de plus dans la destruction de la civilisation européenne et de ses fondements. La chose fait partie d'un pack d'éléments qui n'ont rien à voir entre eux, mais dont la convergence vise le même but ultime. Régularisation des illégaux, assistance aux roms, promotion de tout ce que les mili-Tantes pourraient avoir la fantaisie d'exiger, glorification paradoxale de la négritude et du métissage, tout concorde à ratiboiser, saloper, exterminer l'Europe historique.

Les alliances les plus contre-nature deviennent possible avec cet objectif en tête. Tel est le Plan général, et on n'a vraiment, mais alors foutrement pas besoin d'imaginer un quelconque Complot : une conspiration, c'est un truc clandestin, caché, maquillé. Mais la brasilification des nations occidentales se fait au grand jour, en alternant paluchages collectifs lors de ses avancées, dénégation de ses conséquences néfastes, criminalisation de ses opposants, chantage affectif contre les sceptiques et les tièdes.

Les dirigeants et partisans du Printemps Français en sont-ils conscients ? Comprennent-ils que faire reculer le gouvernement Hollande sur ce point ne peut être, là aussi, qu'une étape, une minuscule bataille à mener pour la survie de la France et de l'Europe telles qu'elles méritent d'être aimées et défendues ? Que c'est tout un "projet de société", de la moindre de ses instances officielles jusqu'au lexique définissant ses valeurs, qu'il faut foutre en l'air ? Que ce sont des coups de massue et non de balai qui s'imposent ? La tolérance et l'acceptation de l'Ennemi n'importent pas et il ne faut pas les quémander. A leurs provocations, injures et crachats doit répondre une Colère sans bornes, et une défiance envers tout saltimbanque professionnel, qu'il parade sur scène pour un parti ou pour un quotidien. 

PS : Ceci et ceci illustre des plus clairement que le combat à mener n'est pas que politique, au sens où il ne s'agit pas que de renouveller le personnel parlementaire. Le Marché est tout autant l'ennemi que l'Etat, et il n'a que foutre des lois, des remaniements ministériels, des déclarations officielles. Des gens pour qui vous n'avez pas l'illusion de pouvoir voter travaillent à l'extermination de votre ethnie, au salopage de vos traditions, à la marchandisation des choses les plus intouchables et sacrées de notre histoire. Des motions, des pétitions, des manifs pacifiques et bonenfant ne les effraient pas. Des mesurettes gouvernementales n'entravent pas leur action. Ce sont eux qui ont le pouvoir de créer des précédents que l'Etat se dira forcé d'entériner, des "évolutions" dont il faut "prendre acte courageusement". Ces pourritures étaient là sous Sarko comme sous Hollande, sous Bush comme sous Obama, et n'ont été inquiétés par aucun slogan, aucun jonglage de rue, aucun calicot de leurs contempteurs respectifs. 

16/04/2013

PREDISONS L'AVENIR AVEC DESABUSION

Un post sponsorisé malgré lui par Ali Razeghi, Euphrate de la pensée scientifique iranienne, pompé chez AmRen, et qui concerne le final pyrotechnique du marathon de Boston:

* If the doer is a white right winger, the media will run with it for weeks, and the SPLC will raise money.

* If the doer was Muslim/AQ, the media will slowly stuff it under the rug, and our Federal government will react in a way that's at best 1% right 99% wrong, and you can bet that not granting student visas to young Muslim men from questionable countries will not be part of what we do. And they'll refuse to define this act as "terrorism," or if they'll do, it will be painful for Official America to say that word.

* If the doer was black, we'll be told that he had to do it because he was a victim of white racism.

* If the doer was Hispanic, we'll be told that it's our fault for not passing "comprehensive immigration reform" by now, and that he was upset that Mitt Romney once used the phrase "self-deportation"

* No matter what happened, because the media and Official America has totally borked its credibility, half of us won't believe the truth even if they happen to be telling us the truth.

15/04/2013

I'M WITH STUPID

Le temps que je publie ceci, je présume que l'étronicule à casquette de faux nègre aura déjà rampé dans du verre pilé et des cendres certifiées Ochouitze AOC pour sa sortie délirante. J'ai la flemme de chercher une confirmation factuelle de cette intuition, mais je ne vois tout simplement pas comme l'animal pourrait se passer d'une telle contrition pour son blasphème.

Je ne pense pas être lu par le dépressif chronique d'Amoyquechaut, mais je prends le risque de lui inspirer un billet sur "Bieber, nouvelle Jeanne d'Arc de la fachosphère dégénérée."

Les guignolades quenellesques d'un Dieudo' ou les nichonneries des Femen, c'est pareil, à se confondre. On a affaire à des incroyants qui semblent penser sincèrement que le blasphème est une arme efficace contre des bigots, qui pratiquent le déconno-militantisme en visant moins à convaincre quiconque qu'à choquer ceux qui ne se laisseront jamais polluer par le doute.

Rien d'une telle démarche dans la bieberade en question. Le morveux pensait certainement faire un compliment en comptant la petite Sainte du Placard dans ses fans post-mortem. C'est la naïveté de l'énormité qui fait sa saveur, là où celles que profèrent un Dieudo (et Votre Serviteur à ses heures, soyons lucides) ne relèvent que de l'intention de nuire et salir.

Les dégueuleurs de haine dans mon style et les saltimbanques rutilants à la Bieber sont tous les produits d'une certaine éducation. La nôtre a mal tourné, donnant les résultats inverses qu'espérés, la sienne a donné les fruits attendus. Il fait partie de cette génération intégralement élevée selon les méthodes du Spectacle, pour reprendre le verbiage situ. En clair : c'est une andouille irrécupérable, d'une inculture phénoménale, offerte en fétiche semi-sexuel à des hordes de feniaules ayant à peine leurs règles.

A force d'abrutir les masses, le système est en train de produire une génération Hitler connaît pas, une vraie de vraie cette fois, invraisemblablement plus bête que la première. Une génération Hitler allô quoi, qui dérapera sans même s'en rendre compte, qu'il faudra toujours ramener dans le troupeau à coups de pique électrique, là où mes contemporains avaient eu l'échine si bien brisée qu'il leur fallait une overdose de colère folle pour retrouver un erzatz de dignité punk. Les Correcteurs se préparent un avenir fatiguant. Ca ne change rien au schmilblick, mais c'est toujours ça de pris pour la bonne humeur.