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06/12/2013

TOUT PASSE, TOUT CASSE

Il paraît qu'un type très important est mort dans la nuit du 5 au 6 décembre. Comme quoi il aurait gagné un Nobel de quelque chose. Les vrais Citoyens à majuscule en seraient affectés. De toute manière il fait gris et froid, c'est normal d'avoir un peu le bourdon.

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03/12/2013

UNE LONGUE SIESTE AU FOND DE LA RIVIERE

02/12/2013

L'INSTINCT TRIBAL

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Le plus souvent très isolé du fait de ses convictions, le faf se retrouve à chercher la compagnie de purs cinglés pour la mauvaise raison qu'ils paraissent avoir les mêmes lectures que lui. La déglingue de la droite radicale diffère de sa version ultragauchiste essentiellement par le style : plus propre à l'extérieur, cette race de tarés est tout aussi ravagée à l'intérieur, et son intégration sociale est plus délicate encore, parce que le faf ne dispose pas, lui, de squats où tenter d'oublier entre comparses le déséquilibre pathétique de son quotidien.

On traîne dans ce milieu quelques années, le temps nécessaire à s'en dégoûter pour la vie, et on reprend sa route hagarde. Pour beaucoup, ça suppose se rapprocher de ce qui semble être le moindre mal : la droite traditionnelle. Après tout, la défiance à l'égard de l'Etat y est forte, de même que le mépris pour les crasseux à tam-tams, et après quelques coups de blancs les blagues ouacistes déclenchent souvent des rires complices. Avec la fatigue des excès de jeunesse, on peut devenir assez cynique pour y creuser son trou. Mais il faut pour cela avoir tué en soi toute naïveté et tout romantisme, ces deux élans fondamentaux sans lesquels on ne serait jamais venus à l'ivresse nationaliste. Et le cynisme, ça ne s'improvise pas, il faut né pour, à la limite.

L'indolence et le coma sont la pente naturelle de la plupart d'entre nous, l'état de stagnation qui nous menace quasi tous tôt ou tard - mais pas l'amertume et le pragmatisme poisseux. Peu d'élus dans les rangs des véritables saloperies vivantes, ce qui est somme toute un motif d'espoir.

Dans le même temps, il arrive que l'on croise des individus dont les convictions professées nous heurtent, mais avec qui l'on trouve bien plus de terrains d'entente qu'avec les prétendus "alliés naturels" vers qui nous pousserait une grille de lecture strictement politicarde.

Entre un punk à chien moins con que la moyenne et un diplômé d'école de commerce truffant ses phrases d'anglicisme, le choix me semble assez vite fait. Surtout si ce dernier a les cheveux longs bien soignés et une cravate.

Voyez tous ces gauchiasses pauvres, qui ne votent pas socialiste, et qui donnent à leurs enfants des noms évoquant un siècle disparu, amoureux des petits troquets qui ont résisté à la gleichaltung urbaniste déshumanisée, chez qui on entend toujours un air d'accordéon, amateurs de petits pinards locaux... Un ouvriérisme dérisoire les a menés à un style de vie que le patriote enraciné ne peut que plébisciter. Leur pourquoi est abject, mais leur comment ? Il aurait pas une gueule cousine du nôtre, des fois ?

In fine, tout, mais alors absolument tout revient à la notion de clan.

Untel a-t-il ou non le sens de la famille ? Répondre à cette question, c'est en régler cent autres : tient-il sa parole, peut-on compter sur lui en cas d'embrouille, est-il un membre honorable de la "communauté nationale" au sens où nous l'entendons, etc.

Le discours affiché, les valeurs invoquées, le nombre de bouquins "illégaux" bien en évidence dans la biblio, pipeau que tout cela. La famille, tout est là. Quel rapport a-t-on avec la sienne, a-t-on relevé l'insane défi d'en créer une soi-même, tient-elle un minimum la route, quelle place y occupe-t-on, s'est-on vraiment arraché le cul pour la prendre et la conserver...

Voilà l'outil de tri tout bête, bien con, superbement banal, bourgeois en diable cracherons certains... qu'on aimerait bien voir à la tâche, des fois qu'ils s'y cassent les ratiches... Des fois que ce serait même cette certitude qui, tout au fond d'eux, les pousse à lever le nez avec morgue pour se donner une contenance... See if you can make it like the others do...

Je ne donne pas de leçons et ne m'érige pas en exemple, me contentant de divulguer un truc tout bête qui m'a été bien utile ces dix dernières années. Il m'en aura fallu quinze, de gaspillage obscène de ma jeunesse et de mon énergie avant de trouver celle, fondamentale, de m'attaquer à ce foutu chantier, le seul qui compte vraiment. Mais avoir signé est une chose, d'une autre monde que de l'assumer jusqu'au bout. Je ne fais pas le malin.

Le vrai résultat du test ne sera pas publié avant les environs de 2030, date à laquelle beaucoup d'entre nous ne serons plus là pour en prendre acte.

Pour notre génération de patriotes, se réconcilier avec ses instincts naturels et tenter de se plier vaille que vaille à leur loi est peut-être le sommet de ce que nous pourrons accomplir. Un saut par-dessus soi-même, par-dessus le désespoir, la fatalité, la dénatalité ambiante, la rationalité qu'invoquent en ne plaisantant à moitié ceux qui n'ont pas voulu de cette renaissance à plusieurs.

30/11/2013

CHACUN SA CHIMERE, COMME DISAIT L'AUTRE

Même un dégoûtant salaud comme mézigue possède quelques notions de décence élémentaire. Absolument. Par exemple, je suis conscient du fait que qu'envoyer certains fruits exotiques à la face de certains êtres humains peut être ressenti comme insultant. (Personnellement, si on m'envoie une côtelette de porc à la gueule, je serais plus outré par le gaspillage de nourriture que par la symbolique, mais passons).

Je sais aussi qu'il est malvenu de se moquer des fantasmes d'autrui, si ridicules qu'ils nous apparaissent. Vous savez ce que je pense de la recette à base de peau lunaire + cheveux de flamme + bottes montantes + corset + No Sleep til Hammersmith passé en boucle, et j'apprécie qu'on n'en fasse pas un sujet de dérision, merci. Alors si un sexagénaire rêve d'une grande partouze exhibo en costumes d'époque, qui suis-je pour le tourner en dérision ?

Une mauvaise personne, voilà qui je suis. Tentation trop forte.

Vous vous rappelez cette scène de JFK où David Ferrie et Clay Shaw se la jouent ancien régime décadent avec mouches et perruques ? C'est exactement ça, mais version républicaine - guillotine en peluche rose, Déclaration Universelle en latex et Marseillaise remixée avec Chantal Goya au micro. Avec, pour la touche plus spécifiquement antifa, une bonne fessée administrée avec une immense main Pas-touche-potesque et un riff des Bérus. Lisez l'intégrale de ce wet dream gauchiste chez l'Hibernation et ne vous sentez pas coupable d'aller jusqu'au bout : c'est de la gourmandise, mais ça ne fait pas grossir.

En toute franchise, j'ignore le taux de second degré contenu dans ce billet d'humeur; mais allez savoir: Woody Allen m'ennuie, Elie Semoun m'horripile, Anne Frank m'arrache à peine un sourire, l'humour juif est peut-être trop subtil pour l'obtusité néanderthalienne de mon crâne de ouaciste ? Si c'est le cas, là aussi j'ai droit au respect, parce qu'il est méchant et non-démocrate de rire des handicapés mentaux, alors merde.

Mais si borné sois-je, je peux malgré tout percevoir que le rire d'un tel billet est aussi jaune que certaines sinistres étoiles. "Voilà comment vous auriez dû réagir", se désole le prof, face à une classe amorphe, divisée en petits clans, où certains haïssent les autres qui les craignent. Le constat sous-jacent est foutrement amer : l'hexagone blaque-pâle-crouille, rassemblé sous la bannière de Saint Zinédine, est morte, si tant est qu'elle ait un jour vécu hors de la fantaisie perverse de quelque publicitaire déglingué. La sauce ne prend pas, et à force d'y rajouter de la farine, on n'a obtenu qu'une pâte crado. Le fameux "mélange" a fait caler la "mobylette", peut-être pour toujours.

"Dieu que les réveils sont difficiles…Mais que c’est bon de rêver…" conclut l'auteur. On dit que l'animal est triste après le coït, mais le spectacle qu'il offre évoque moins la mélancolie post-orgasmique que la déchéance du tox après le flash de la piquouze. L'antiouacisme est une came, plus addictive et destructrice que le crack ou la désomorphine. Elle file des visions extatiques qui isolent le consommateur et lui pourrissent tous les sens. Où il y a des voisins qui se méprisent et s'ignorent, il voit des frères siamois se pourléchant la pomme. Quand il émerge de sa transe, il se retrouve couvert de merde et de sang, face à des cadavres cousus de force les uns aux autres, façon Human centipede. Mais avant de comprendre son erreur, le toxico reprend une dose et replonge dans son univers parallèle, reprenant scalpel et aiguille avec plus de rage encore, chaque nouvel échec stimulant son ardeur à recommencer.

27/11/2013

PLEUREUSE, C'EST UN METIER

... évitons d'improviser et laissons les vrais pros s'en charger, comme l'explique fort bien M. Baiebleue chez j'aime-ton-genre.

(...) moi, a priori, je n’ai pas de problèmes avec le racisme antiblanc. J’aurais ainsi très bien compris à l’époque, orangeade à la main, à l’ombre du fronton de ma demeure coloniale, que mes manœuvres de couleur entretiennent un ressentiment, même racial, à mon égard. Il ne me serait jamais venu à l’idée de les punir pour cela. Ou, pire encore, de leur envoyer Sos-Racisme afin qu’ils soient culpabilisés et rééduqués dans l’amour de leur maître.

Faut être une putain de saloperie communiste pour envisager ça.


25/11/2013

DEATH OR JAIL

18/11/2013

EQUILIBRE et autres notes quelconques

Le sordide suit l'humain comme l'odeur de transpiration, qu'importe les progrès de l'industrie cosmétique.

S'en offusquer, c'est avoir le cuir trop tendre; s'en accommoder, l'avoir trop sec.

Toute la dignité de l'individu peut se juger à sa position entre ces deux pôles. Il est très faux  - très réaquement faux - de croire que notre époque rend plus difficile qu'une autre ce numéro d'équilibriste; mais il est tentant est facile, pour nous autres romantiques refoulés, de nous en convaincre contre toutes les évidences.

Cette conviction particulière justifie toutes les autres, hélas. C'est pourtant la même odeur, quand bien même l'étron serait différent. Tout ce qui a véritablement changé sont les outils qui permettent à l'industrie de précipiter l'homme vers la fange à crédit, et à l'Etat de traquer ses sujets à leurs déjections.

Pour le reste, rien de fondamental n'a changé depuis des millénaires. Certes, la race blanche et la culture européenne s'éteignent sous un déluge de chiasse, dans une atmosphère de carnaval porno funèbre évoquant les dernières lignes de L'Ecume des jours, et c'est ennuyeux pour un vrai patriote (quiconque croit mériter ce titre et affecte de faire sous lui quand accusé de ouacisme est une panosse). Mais à l'échelle planétaire, c'est vrai que ça fait un peu dérisoire.

Heureusement, aucun individu, si cosmopolite qu'il se veuille, n'est justement "à l'échelle planétaire". Au mieux, pour les ceusses qui se piquent de priver les vers de viande, peut-on répandre ses cendres à l'échelle d'une ou deux communes et puis basta. Ca ne paraît trivial qu'aux

 

* * *

 

Sophie Coady, dont j'apprends l'existence, mérite d'être officiellement répertorié au patrimoine de l'aryanité (mais je crois que l'Unesco n'a pas le temps de s'en occuper). Une objection ? Donnez vos yeux à des Serbes qui en ont besoin (1) , ou réfléchissez enfin à faire votre cominguaoute. Dans les deux cas, vous vous sentirez mieux.

(1) Oscar et Grand Prix du Public pour le rire le plus laid et le plus forcé de la décennie. On a connu des orgasmes feints avec plus de conviction dans des films de boules bulgares à trois levs de budget.

 

* * *

 

Les Rolling Stones ? Oui mais comme ça, si ça ne vous dérange pas trop :

17/11/2013

"...N'ACCEPTE PAS QU'ON LA LUI SERVE"

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Je n'ai pas l'honneur de connaître Maître Bonnand, et ne suis donc pas au clair sur ses opinions politiques et sa vision de l'effondrement de la civilisation européenne - si tant est qu'il en ait. Mais à ne retenir qu'une seule chose de lui, je choisis son dernier billet dans La Matin (17 novembre) qui, à la manière douce et ferme d'un gardien prévenant, renvoie dans sa cage la guenon sous acide qu'une improbable Armée des Douze Singes avait laissé sortir.

Le tam-tam provoqué par un récent article de Minute dicte mon propos. Ici ou là, d'une possible mauvaise foi.

Nous sommes, nous Suisses, ignifuges. Hélas, peut-être...

Les Français, eux, révolutionnaires inconsolés, s'embrasent d'un rien. Même la trivialité les porte à l'incandescence.

Il ne faut pas méconnaître la nécessité pour un exécutif, légitime mais indigne, d'un pays exsangue et sous haute tension sociale, de faire diversion. L'invocation des grands principes et des "valeurs républicaines" est une incantation. Un appel au drapeau... 

Mais au-delà de cette nécessité politicienne, un débat de fond surgit qui importe.

Minute consacre à Mme Christiane Taubira un texte... résolument élogieux.

Ainsi le journal salue-t-il l'esprit inventif de la Gardienne des Sceaux, son sens du mouvement et de l'adaptation, son intelligence en un mot. Elle est dite "maligne comme un singe". Réservé à un "Arian" (sic), le jugement serait réputé flatteur.

L'icône de la gauche progressiste se voit aussi reconnaître la maîtrise des règles de notre modernité, qui veulent que l'on se dise victime pour rassembler. La compassion nous tient lieu de pensée; notre réflexion se réduit à la sympathie et s'y épuise.

La victime est le seul et dernier héros de nos temps délétères.

Enfin, Minute de se réjouir du retour en grâce, après quelques turbulences, de la Grande prêtresse du mariage recto, par une formule familière et argotique, mais attestée, "Taubira retrouve la banane."

Mots pernicieusement choisis...

Que Minute n'a-t-il écrit que Mme Taubira était "rusée comme une renarde" et qu'elle avait retrouvé "la pêche"...

Nous n'aurions pas entendu le premier ministre français, soudainement matamore, dire, d'une voix qui chevrote, que sa main, elle, ne tremblerait pas et qu'il châtierait les rebelles à la bien-pensance régnante.

L'injure raciale ne passera pas.

Un singe... une banane, c'est pour les ignorants, l'Afrique.

Or, Mme Taubira est d'origine guyanaise et d'apparence mélanine. Sa singularité exige une sollicitude particulière. Les métaphores et le vocabulaire communs lui sont une offense et toute référence, même allusive, à sa race, par quoi il faut entendre sa lignée, devient infraction.

Le ministre, lecteur d'Aimé Césaire, revendique sa négritude, mais n'accepte pas qu'on la lui serve.

La notion de race concourait à définir l'identité. L'essence. La race, c'était le roman des origines, le récit des mythes et légendes fondateurs, une religion souvent, une langue et une culture toujours. Un héritage. Une verticalité qui nous détermine...

Le concept est aujourd'hui récusé.

La race n'existe plus. Le mot même devrait être à l'initiative de la gauche rayé de la Charte fondamentale française.

Les races n'existent pas, mais le racisme existe. Aporie qui voit l'antiraciste consacrer la notion de race que par ailleurs il nie et pourfendre... ce qui n'est pas. Don Quichotte dérisoire et inutile : le vent des moulins reprend toujours ses tours.

Le racisme n'est pas une opinion, aventure Jean-Marc Ayrault, mais un délit.

Oui... un délit d'opinion.

La loi porte ainsi atteinte à la liberté de penser et d'expression. Le pouvoir nous intime de penser droit. C'est-à-dire à gauche. Violence inacceptable.

Le racisme est légitime, s'il n'est que le constat de ce qui différencie les hommes. Ce constat fait, ni l'intelligence, ni le coeur ne peuvent renoncer à conclure. Ils élisent ou rejettent. Parce qu'ils choisissent, ils discriminent.

Certes, nous sommes tous descendants de tel ancêtre de Lucie. Ou d'Adam. Nous sommes les héritiers de Sem, de Cham et de J'affaire (sic).

Mais nous ne sommes que des cousins. L'idéologie dominante nous voudrait frères... Mieux, jumeaux monozygotes. Egaux et indifférenciés. Poisseux de l'Autre que nous sommes de surcroît sommés de respecter et d'aimer.

Obligation répulsive pour toute intelligence exigeante que le coeur n'adultère.

10/11/2013

POUSSEZ PAS, Y EN AURA PAS POUR TOUT LE MONDE

Depuis un quart de siècle, le Spectacle semble très anxieux de partager républicainement le temps d'antenne symbolique entre tous les segments imaginables de son audience. Plus précisément, la bête se croit manifestement investie d'une mission de rééquilibrage de l'estime des uns et des autres: il s'agit de donner aux mineauritées des rôles propres à améliorer l'image qu'elles sont censées avoir et donner d'elles-mêmes. L'analyse idéologique sous-jacente est que les femmes, les Noirs, les latinos et autres, ont trop longtemps été cantonnés au statut de faire-valoir, le Mâle Hétéro Leucoderme monopolisant le devant de la scène. La guerre, l'exploitation, l'Eau-Low-Cost, l'injustice, les tommes au cumin, tout ce que la société a pu produire de pire ces derniers siècles vient de lui, et surtout de son arrogance, de sa trop haute estime de soi, de son usurpation du trône de l'Humanité, qui de toute manière ne devrait pas exister.

Il s'agit donc de lui rabattre son caquet et de permettre à ses anciens esclaves de relever le front, de retrouver leur dignité perdue. Les séries policières allemandes mettent donc en scène des turcs policiers, chez les Coboilles le juge ou le commissaire est afro, en ex-France il sera arabe : on voit bien le principe. Inversement, toujours programmer des toubabs en tant que tueurs en série, violeurs, voleurs etc. La fiction sert donc à "casser des stéréotypes", à proposer des images contrevenant à ce que Monsieur Moyen voit ou plutôt croit voir dans la réalité.

Au niveau du traitement médiatique de cette dernière, un tel tuning est évidemment plus difficile. On peut tenter de faire passer un bâtard latino pour un toubab s'il tue un foncé à capuche. Si ce sont des foncés à capuche qui violent des pâles dans leur propre maison, mieux vaut ne pas en parler - pour ne pas "accréditer des stéréotypes", voyez ? C'est un peu compliqué, à première vue, mais c'est un coup à prendre : Pâle sur Foncé, faut s'indigner - Foncé sur Pâle, y a pas d'scandale.

Ainsi, les déséquilibres en matière d'estime de soi vont progressivement se corriger, et la planète se rapprochera enfin de l'harmonie post-raciale où chacun sera jugé selon ses seuls mérites et non point selon son taux de mélanine.

Violons, applaudissements, confetti.

Délire de suprémaciste ? Je réponds foutaise de déraciné. Le cosmopolitisme est un discours d'abstinence prôné par des eunuques. La Diversité, c'est à usage des toubabs, et d'eux seuls. Ce sont les territoires qu'ils occupent où elle est prônée avec tant de force - ailleurs, les ethnies peuvent bien se bouffer la gueule parmi, rien à secouer. Le but ? Briser l'estime de soi de Monsieur Blanchouille. Nous subissons une campagne de démoralisation, qui a déjà pas mal porté ses fruits dégueulasses.

Sauf que ça ne va jamais fonctionner sur le long terme. Pas parce que ledit Blanchouille va se réveiller et sortir les fourches - autant croire que l'Empire romain avait la moindre chance de retrouver la puissance et l'assurance de la défunte République après l'édit de Caracalla. 

La vérité, celle qui dérange autrement plus que le misérable greewashing d'Al Gore, c'est que personne ne veut tenir le guidon à tour de rôle, équitablement et démocratiquement - pas plus que l'immense majorité des mecs n'ont envie de se faire engoder une fois sur deux par Madame. La suprématie perpétuelle est l'instinct qui guide tout le monde - excepté les toubabs, bien entendu, mais c'est normal : eux n'ont depuis longtemps plus de culture à défendre et peuvent donc se payer le luxe suicidaire d'affecter de s'en foutre. Entre ethnies néo-occidentales, la compétition pour le contrôle ne va jamais s'arrêter à une représentation équitable et proportionnelle. Ni l'Etat ni le Spectacle ne seront jamais considérés comme une instance neutre, distribuant faveurs et punitions, improbable DJ d'une cacophonie où chaque instrument veut sonner plus fort que l'autre.

Il y a des tarés qui croient éliminer la violence de l'histoire humaine en faisant disparaître l'Européen de ses propres terres. Ils ne font que rendre inévitable sa version rwandaise la plus infecte.

08/11/2013

MALGRE TOUS MES EFFORTS, JE NE SUIS PAS HOMOPHOBE

... La preuve : quand j'entends ceci, j'ai de nouveau quinze ans, et je me tape la tronche sur le sol en rythme avec un entrain presque comparable à celui de 1990. Alors merde quoi.

 

Oui, y a pas de quoi être fier. Si vous n'avez rien d'autre à dire, épargnez ma rubrique comm' et allez polluer quelqu'un d'autre, je sais pas, quelqu'un.

(Et si quelqu'un se demande : oui, de fait, je suis bourré au-delà de ce qui est littérairement descriptible. Je ne demande aucune circonstance atténuante pour si peu.)

Vous voulez pire ? L'idée est d'avoir vraiment la gerbe ?

Je suis ouaciste et quand j'entends ceci, j'ai une gaule longue comme le bras.

C'est ennuyeux pour rester crédible auprès des quatre pelés et trois barjots qui constituent le vrai Milieux hardcore de chez hardcore.

Chagrin et affliction.

28/10/2013

MODERNE, TROP MODERNE

Que pouvez-vous encore faire tout seul ?

Tous les outils qui vous entourent chaque jour, vous ne savez ni les entretenir, ni empêcher qui'ils tombent en panne, ni faire en sorte qu'ils refonctionnent. "Oh mon pauvre Monsieur, mais ça vous coûtera moins cher d'en racheter un neuf !"

Rien de ce que vous mangez, vous ne l'avez ni fait pousser, ni cueilli, ni chassé, ni pêché, ni découpé. Il est rarissime que vous l'ayez acheté à celui qui l'a fait. Tout ça vient de perpète, amené par camions, distribué dans des usines blanches et froides dont les seules machines sont des frigos. Et s'il vous prend la fantaisie de manger du pain, pour changer des éponges industrielles qui sèchent avant même d'être achetées, c'est dans des machines que vous le faites - pour le plaisir de bouffer la même merde.
Mais "faite maison".

Les fringues que vous portez, des esclaves les ont cousues à la chaîne de l'autre côté de la planète. Si vous les portiez assez longtemps pour qu'elles se déchirent, vous ne sauriez pas les recoudre; heureusement, vous les foutez loin quand elles sont  encore neuves, parce qu'une mafia d'homos explique dans les magazines que lit votre femelle qu'elles ne sont plus tondonsse.

Les petits bobos et pépins physiques du quotidien ? Vous ignorez quelle plante, quelle décoction toute bête, quelle astuce de grand-mère permet de les faire disparaître ou  de les supporter: il vous faut du chimique, délivré sur ordonnances de médicastres chez qui on ne prend rendez-vous que deux mois à l'avance.

Les boulots dits pénibles ? Pour les bronzés. Aux toubabs les boulots crétins, humiliants de vacuité, où l'on ne pousse même plus une feuille d'un bureau à l'autre depuis qu'on n'a plus qu'à forouarder un imêle.  Même la délinquance est délocalisée, puisque nous ne sommes même plus foutus de fournir à notre société sa propre pègre autochtone.

Et le meilleur, le dessert, la cerise ? C'est que si un miracle vous faisait retrouver tous ces savoirs perdus, vous ne pourriez même pas vous en servir pour mener une vie digne et vaguement intégrée. Cent minuscules esclavages, accoutumances, laisses, non-dits et routines les cantonnent au fantasme, au coup de main épisodique, au hobby sans lendemain, parce que l'existence qui va avec suppose une discipline dont nous ne sommes plus capables, une guérilla sociale que nous sommes trop seul (ou pire: trop mal accompagné) pour mener.

C'est ainsi que l'antimoderne se réveille chaque matin un million de fois plus Moderne encore que ceux sur qui il crache, les "zombis", les "passifs", tous ces gros cons qui font exactement la même chose que lui, mais qui ont la délicate décence de ne pas trop s'en plaindre.

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23/10/2013

JUSQU'ICI TOUT VA BIEN

Un de ces soirs trop rares où j'arrive à croiser X et sa légitime, qui n'habitent pourtant qu'à moins d'une plombe. Pareils à eux-mêmes. Délicieux vertige du genre qui ne vous saisit d'ordinaire qu'en visitant une antique cathédrale ou les ruines gallo-romaines de Vidy : le temps qui a suspendu son vol sans qu'on le lui demande même poliment. Toujours la même gueule, toujours les mêmes potacheries, la certitude d'avoir été compris avant d'avoir prononcé les premiers mots indispensables à n'importe qui d'autre.

Bien amortis par la ripaille, nous digérons en sirotant une grappa barrique si délicieusement ritale dans l'esprit qu'on a de la peine à l'imaginer vaudoise. Après un de ces longs silences qui embarrassent quiconque ne partage pas cette ligne directe animale, X lâche, un brin mélancolique :

- On s'en est pas mal sortis, quand même, quand tu penses. On aurait pu tourner autrement plus mal.

Rien n'est plus vrai ni de plus banal à la fois. Pas mal de gens qu'on ne voit plus de ce temps-là ne s'endorment pas sans leur dose de THC, quand on ne parle pas de plus costaud. Les gosses de certains sont déjà ados quand les nôtres parlent à peine, mais les leurs n'étaient pas spécialement voulus. D'autres sont abonnés aux sous-jobs merdiques, parce que leur casier fait de l'ombre au reste de leur curriculum. De la gnôle, des armes, de la bécane, quelques bastons grotesques, deux ou trois gamelles, un abonnement aux urgences, un nihilisme crétin ne menant qu'à des prises de risques hautement dispensables, des provocations ne prouvant que dalle, des idées très très cons suivies jusqu'au bout, le cocktail idéal pour se transformer en loque avant l'âge, pourri de dettes et trente boulets à chaque cheville...  Tout ça pour être certes un poil amochés mais toujours là, pas trop tordus, pas trop mal entourés, passés correctement entre les gouttes.

Pas qu'on ait déconné au point de risquer la taule, non plus. Qu'on ne me foute pas dans le clavier ce que je n'y ai pas mis. Je parle de cette désocialisation légère qui fabrique les couples improbables, les familles bancales, les petits arrangements glauques, les réputations poisseuses que chacun connaît mais que personne ne vous envoie cash dans la gueule - la zone grise où pataugent tant de discrètes ruines sur pattes mâles ou femelles.

Peut-être n'étions-nous après tout que des petits joueurs, convaincus de miser très gros.

Ridicules et prétentiards mais en un seul morceau et pas plus putes que la moyenne. Deuxième chance accordée.

Un sort très appréciable, somme toute.

"I got plastered one night, Cried like a lil bitch to this song."

 

20/10/2013

FAF SHAMING

Si nous autres ouacistes sommes effectivement des nazis, des nostalgiques du Troisième Reich, alors il me semble que nous rabâcher des histoires de four gazeux et autres escroq est la méthode la plus idiote possible pour nous faire abjurer. Car c’est bien cela l’idée, s’pas ? Une minorité de staliniens souhaite nous égorger, mais pour la majorité soc-dem, l’idée est avant tout de nous faire confesser nos crimes et avouer nos erreurs ; la victoire sur la Bête ne doit pas être que physique, elle doit aussi être morale. Du temps de la splendeur guerrière de l’église catholique, on trouvait aussi qu’une contrition avait plus de valeur qu’une attrition. Et l’autocritique était, jusqu’à récemment, une obligation non-négociable pour tout communiste convaincu.

Or, nous expliquent ceux qui se font un devoir sacré de n’y rien comprendre, un nazi n’est pas un homme doté d’une conscience comparable à celle, disons, d’un élu écolo. Il est l’incarnation, sinon du Mal, du moins de la cruauté. Il croit à la force et à elle seule. Il pense que les forts doivent écraser les faibles. Il estime que tuer ses ennemis ne fait pas l’objet d’un interdit fondamental. En lui jouant en boucle le violon d’Ochouitze, on tente de guérir un ivrogne en lui faisant enchaîner les cuites.

« Vous devriez avoir honte de ne pas avoir honte de ne pas avoir honte. »

On ferait bien mieux d’insister sur l’abjection du Lebensborn. Moi qui suis très ouaciste, très traditions et qui ne m’enchie pas les savates en pensant au nombre de six millions, cette institution de génétique industrielle me remplit d’écoeurement. National mon cul, socialiste à fond.

C’est en cela qu’on peut être fondé à souligner le cousinage entre nazis et marxistes. D’ordinaire, le réac qui se pique de le faire n’y croit qu’à moitié. Il cherche surtout à faire au Correcteur ce qu’il lui fait subir, le salir, l’hitlerifier pour le réduire au silence. Mais la vraie salissure est inverse : c’est le socialisme qui est odieux, parce que même son archétypique ennemi s’est laissé corrompre par son fumier idéologique. Ce qui devrait nous faire haïr le Adolf's Big Band, ce n'est pas d'avoir appliqué sa propre doctrine, mais de l'avoir trahie, d'avoir bétonné l'Allemagne, idolâtré l'usine et la machine, partagé le même insane et dégoûtant culte du Progrès et du Nouvel Homme que les bolchos.

Les vrais nostalgiques du Reich, ce sont ceux qui depuis soixante ans jouissent d’une impunité morale et politique absolue en se cachant derrière son ombre. Et le jour où l'humanité ne sera plus qu'un misérable entassement d'humanoïdes vaguement beige, il s'en trouvera toujours pour accuser les plus clairs de manquer de respect aux plus foncés.

19/10/2013

LEONARYODA

Le père nous cache décidément tout sur son histoire familiale. La comparaison de ces deux clichés démontre clairement que la petite Leonarda n'est pas la fille de celui que l'on croit. Voilà qui va chambouler de manière autrement plus brutale les théories sur l'histoire de l'humanité (et les hypothèses d'une vie extraterrestre) qu'un pauvre crâne de Géorgie.

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17/10/2013

DRUG RAID AT 4 AM - version lorraine

... avec de sacrés gros sabots, les vilaines !

Comprenne qui connaît ses classiques.

 

 

13/10/2013

PUER POUR AVOIR L'AIR PROPRE

Quiconque me connaît depuis moins de vingt ans pourra être un peu interloqué de l'apprendre, mais il fut un temps où j'étais sincèrement et viscéralement antiouaciste. J'en ai déjà parlé quelque peu ici même. A cette époque, passer pour nazebroque m'aurait plutôt horrifié. S'il m'était arrivé de taper des bras ou de chanter Lili Marleen, l'idée était d'envoyer à six mètres les communistes qui prétendaient m'embrigader, rien de plus.

Surtout, il ne me serait jamais venu à l'idée de jouer au nazi pour prouver que je n'en étais pas un. Ca a l'air con, dit comme ça. Nous étions deux ou trois plutôt portés sur la potacherie, mais à ce point ? Autant refuser de se laver pendant un mois pour promouvoir l'hygiène et soutenir l'industrie du savon.

Faut croire que j'étais déjà cryptofasciste, parce que s'afficher en tant que "salope" pour refuser d'être traitée comme telle, c'est manifestement faisable et considéré comme crédible.

J'entends les enfants du paradis qui demandent qu'on arrête la mauvaise foi et le sarcasme deux minutes. Ca roule.

Je comprends la démarche, du moins sa logique: pousser l'outrance de la caricature pour faire honte au machisme ordinaire. S'il s'agit de s'amuser, de se borner à choquer l'Ennemi, warum nicht ? Mais pour convaincre sérieusement qui que ce soit, autant chier dans une cornemuse avec une paille.

Combien de sionistes "retournés" par la grâce d'une quenelle ?

Et à l'inverse combien d'entre nous gros fafs poussés à la repentance lacrymale à l'écoute de Supreme Mrap ?

Brocarder l'Ennemi est un loisir, un défouloir pour initiés. Niveau recrutement de nouveaux convertis, c'est presque aussi efficace que du sirop de piment pour soigner une courante chronique.

Derrière le cirque d'apparence extrême, on trouve un puritanisme affolant de grisaille, de froideur et de médiocrité. Conviction tacite qui sous-tend tout ce dérisoire barnum : le matschysme ordinaire, comme le ouacisme ordinaire, n'est pas quelque chose de délibéré et de conscient, un crime commis par des salauds qui savent l'être et l'assument. C'est l'équivalent moral d'un gros rot qui échappe à l'imprudent convive en plein silence d'un repas dans la haute. Une Bonne Personne ne se vautre pas de son plein gré dans une telle vulgarité : elle se rend responsable d'un tel impair parce qu'elle manque de discipline, parce qu'elle s'oublie, par paresse. Dans l'ensemble, et en contradiction absolue avec le reste du discours alarmiste politkorrekt, la société n'est pas "toujours plus ouaciste" : nous sommes entre gens majoritairement bien élevés, au sein desquels évolue une toute petite minorité de salauds. Ces derniers n'ont "pas d'opinions", mais ils commettent "des délits" - inutile donc de raisonner avec eux. En revanche, il faut rappeler au reste des agneaux de ne jamais songer à les imiter, ni à les trouver amusant, ni même à les écouter.

Dames patronnesses à poil, dames patronnesses quand même. Pitoyable jeu de rôle. Différence avec la Cadavre Pride ? Les zombies d'un jour ne se déguisent pas pour faire des sermons Citoyens.

GLOBALEMENT POSITIF

Merci à l'hoplite pour cette épiphanie dominicale.

On se détend, car tout va bien. Les problèmes qui nous paraissent insolubles vont se régler d'eux-mêmes avec le temps. C'est tout simple, limpide.

Apporter soi-même à vélo ses cartons et son bac d'épluchures de patates à la déchetterie communale ? Bouffonnement insuffisant, ça tombe sous le sens. Regardez le petit film jusqu'au bout (en faisant l'impasse sur le commentaire en français, d'un insoutenable amateurisme), pour parvenir aux dernières minutes, dont le message, là aussi, est clair. Pour l'élite de l'hyperclasse, pas de changement particulier: juste plus rien des phénoménales réserves de pognon, tout étant investi jusqu'au dernier centime pour ne rien perdre des privilèges addictifs. Pour nous autres, selon le niveau de chance, retour quelque part entre le quotidien du XVIè et du XIXè.

La surpopulation ? Un peu de patience, c'est bientôt réglé. Le développement sans fin, la mondialisation d'un style de vie vorace en énergie non renouvelable d'un bout à l'autre de la planète ? Chimérique. Durera une génération et demi au maximum. Parce que tout ça demande de l'entretien, donc des compétences, donc un niveau d'intelligence minimal. Or ça fait partie des choses réparties les plus inégalement à la surface du globe. Les progressistes et les Corrigés ne veulent pas l'entendre - littéralement : ils en sont à se remplir les esgourdes de dentifrices et à hurler des incantations à Saint Mandela pour couvrir le bruissement si agaçant que produisent les faits.

Qu'importe.

Broutilles.

Ils y viendront et/ou en crèveront. La trop grande croissance démographique de l'humanité va disparaître d'elle-même pour les mêmes raisons, et selon le même schéma qui fait que le Tiers-Monde est en train de claquer la gueule ouverte : trop de gamins, pas assez de manioc.

Vous avez remarqué, ces dernières années, comme le spectacle tente régulièrement de nous convaincre de bouffer des insectes ?

Bien entendu, personne n'accepte de claquer la gueule ouverte. D'où les vagues d'invasion migratoire dont les récentes victimes tirent des larmes à Margot ces derniers temps. Ces vagues vont, elles aussi, croître à qui mieux mieux à l'avenir pour venir s'échouer un peu partout en Occident. Ceux qui ne n'y resteront pas en chemin seront accueillis, nourris, logés, soignés, avec une attention particulière pour donner un maximum de vigueur à leur ressentiment et leur conviction d'avoir droit à tout ça parce qu'ils sont pauvres et bronzés.

La populace blanchouille ne s'y opposera pas. Son échine mentale est brisée, sa conscience collective violée et salie, sa vulnérabilité entretenue façon bonzaï. Le nouveau monstre siamois, entre prétendue gauche cosmopolite et prétendue droite populiste, a devant lui un glorieux avenir. On ne peut pas en dire autant de la civilisation européenne, mais les meilleures choses ont une fin, s'pas ? C'est l'oeuf indispensable à l'omelette du futur. L'avenir de la planète l'exige, faut s'y faire les cocottes.

Tout ça fera qu'à mesure que l'Afrique verra fuir ses enfants, l'Europe s'empressera de lui en fournir de nouveaux tout neufs et bien beige. Le modèle brésilien va s'exporter un peu partout dans l'hémisphère nord. Déjà bien entamé par la nocivité croissante de l'emprise des merdiats, le niveau intellectuel et culturel de la plèbe va plonger sous l'action d'un métissage généralisé à l'ensemble des couches basses et moyennes de la société.

(Dans les hautes sphères, la tendance déjà observée de nos jours est plutôt à l'eugénisme. Faites un tour dans les mal nommées rues basses de Kalvingrad, en particulier les jours où les clinquantes boutiques font la fête : vous ne croiserez jamais nulle part ailleurs plus de blondes sculpturales dépassant le mètre septante-cinq.)

Structure sociale complexe + haut niveau de technicité + population toujours plus crouillo-négroïde, vous voyez le résultat de l'addition ? Effondrement technologique puis démographique. Autant espérer qu'un train de marchandise arrive à destination avec un bonobo au volant, fut-il excellement dressé. Les usines qui ne tournent plus. Pannes d'électricité à l'échelle de régions entières. Plus rien qui n'est entretenu de manière à durer. Le bidonville comme modèle d'organisation sociale majoritaire. Le crétinisme généralisé - avec ça et là des petits kibboutz de luxe réservés à ceux qui auront eu la cruauté et la discipline nécessaires à maintenir leur lignée et leur niveau d'origine.

Dépopulation faute de savoir/pouvoir soi-même tuer sa viande et faire pousser ses patates. Le rythme d'épuisement ressources non-renouvelables qui chute faute d'individus capables d'organiser le pillage actuel ou d'imaginer, mettre en place et faire durer les structures indispensables de son accomplissement. Un cercle vertueux de décroissance initié par la pire décision possible en matière de préservation culturelle.

La planète sauvée par la négrification générale.

Et il s'en trouve encore pour s'étonner que les écolos paraissent finalement plus obsédés par le ouacisme que par la lutte pour la sauvegarde de toutes les espèces autochtones.

07/10/2013

LA MANDALE SOUVERAINE DE LA REALITE

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I love when this happens to liberals. They start out on a crusade and get slapped in the face with reality. They rail against hate speech and get stuck with blacks being anti-Semitic. They push diversity and are left with Muslims performing female circumcision. They pretend the gay lifestyle is just like ours and have to stomach the huge percentage of rent boys who are underage. If you are truly worried about gun deaths in America, go where the death toll is highest—the ghetto. It’s not dads buying their son a .22 for his birthday. It’s black kids without a dad using an illegal gun to settle a score in a drug battle. The epidemic isn’t guns. The epidemic is the decay of the black family. Almost three-quarters of them are raised by single mothers. One of the reasons behind this is the brutal incarceration rate black men either endure or subject themselves to. Black kids aren’t in danger of being shot by George Zimmerman. They’re in danger of being shot by black kids. This doesn’t fit the Times’ narrative, however, so they stick a bunch of white kids on the page and use a mother’s tears to push their agenda.



01/10/2013

MAURICE

C'est aujourd'hui l'annif' à Bardèche. Pas sûr qu'on en trouve mention sur la fafosphère francophone. Allez donc lire ce qu'en disent les Yankis qui le découvrent petit à petit.

29/09/2013

BREVES DU DIMANCHE

° "Les grands-parents de Fiona portent plainte" - non, pas contre leur propre fille pour s'être maquée avec un criquet d'talus. (On pourrait leur reprocher une part de responsabilité, il est vrai)

° Le jet de chaussure est rigolo contre un président Américain semi-mongolien, moins contre un président Iranien "modéré". Il faut en déduire qu'il s'agit d'un sport visant exclusivement les handicapés, un peu comme le lancer de nain. Indignation.  

° Ah, époque bénie, où il suffisait d'accuser l'Udécé de populisme pour classer comme broutille la moindre affaire concernée ! Mais la Bête Immonde a accouché depuis un moment et ses chères têtes blondes commencent à se montrer remuantes. Il faut donc commencer à courir après les wagons pour ne pas avoir l'air complètement déconnecté de la-vraie-réalité-des-vrais-gens, et tant pis si lesdits wagons mènent à une station qui proclame que Le Travail Rend Libre ! Le parti socialiste suisse s'essaie donc à l'islamoscepticisme républichose, tout en respectant son cahier des charges non-discriminant et vaginiste. Ce que ça nous donne ? L'idée géniale de sanctionner les barbus qui forcent leurs moukères à s'ensacher publiquement. C'est pas mimi ? On dirait mon neveu qui se vexe quand on ne prend pas son rôle de pirate assez au sérieux.

° Si Madame vous demande de lui passer dessus et de la défoncer, ne la prenez quand même pas trop au sérieux. Oui, elles veulent toutes ça, mais quand même pas à ce point.

° Repérez le rythme en deux secondes, puis battez la mesure contre le mur avec l'occiput.