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12/04/2013

CHEZ LES AUTRES

Chez les autres parce que je n'ai pas grand-chose à vous raconter ces temps-ci. Quelques gros projets qui pourraient aboutir, si un miracle fait un détour par ma rue. L'actu m'inspire à peu près les mêmes réactions que la météo, à savoir une certaine envie de coma artificiel.

 

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Je ne sais pas trop si l'immense majorité de mes centaines de milliers de lecteurs, vivant pour son malheur en ex-France, pourra accéder à ceci : si oui, et si ce n'est pas déjà fait (je m'excuse, je débarque), elle pourra oublier l'immonde début de printemps pendant nonante minutes en mâtant L'antisémite de Dieudonné. Etrange object cinématographique où Soral et Faurisson viennent faire les imbéciles, où chaque personnage est une caricature façon manga porno, où l'on oscille entre fiction et faux documentaire et où tout le monde dit et fait à peu près portnawak. La chose vire souvent à la potacherie sectaire pour initiés plus ou moins seuls à rire de leurs private jokes, c'est vous qui voyez si vous digérez ou pas. 

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La croyance absurde «l'épargne c'est mal, la consommation c'est bien» devrait entrainer la condamnation immédiate au supplice de l'entonnoir, estime Monsieur Lime, et il sait de quoi il cause puisque c'est exactement mon avis. Souvenirs flous de mon grand-père, qui s'était presque fâché pour de bon avec mon paternel, qui voulait le sortir d'une embarras passager en lui avançant une modeste somme : pas question d'avoir des dettes, question de dignité. Deux générations plus tard, vendre son cul à un usurier pour conduire une bagnole de luxe entre son appart minable et un job pire encore où tu te dessèches d'ennui, c'est parfaitement envisageable. 

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Quelques milliers de pages de littérature racialiste essentiellement en angliche. Je ne sais plus si j'ai déjà publié ce lien. 

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Juste parce que je crois avoir aperçu des trouducs de Grinepisse l'autre jour, je rappelle l'existence des travaux de Bjorn Lomborg.

 

11/04/2013

GRAND RABOUIN

Savoir si un grand rabbin ait ou non pougné pour remplir des bouquins qu'on ne lira pas sans la menace d'une arme, c'est presque plus chiant qu'un match de foot. Alors on lit distraitement ce qu'en dit un membre de la Tribu, histoire de tuer le temps, jusqu'à cette ligne qui attire l'oeil du judéosceptique qui sommeille en chacun de nous, juste à côté du cochon :

...le soupçon porté sur les juifs de France de déloyauté à l’égard de la République...

Non mais allô q Vous êtes sûrs ? Léjuifs, suspects de dérives antidémocratiques ? Demandez donc à un catho ultra et monarchiste comme de juste, ce qu'il pense de la Gueuse. Puis faites-le boire, mettez-lui votre petite cousine dans les pattes et quand il est à point, asticotez-le un peu sur sa vision de l'implication historique des intéressés dans l'affaire. Vous verrez de quels soupçons il vous parlera !

Nous n'avons aucun doute sur l'amour furieux que Moshe And Co International portent à la République: c'est leur hostilité un poil trop systématique à la Nation qui nous brouille légèrement l'écoute.

Quand on se fend d'un démenti, mieux vaut être au clair sur le crime dont on croit être accusé. Sinon ça sonne un peu comme hurler "Je l'ai pas touchée, cette petite allumeuse" dans un jardin d'enfants, au moment où débarquent flics et pompiers inquiets d'un début d'incendie, voyez ?

29/03/2013

LE DENI DE SODOMIE NE PREVIENT PAS LE MAL DE CUL

 

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Bien qu'ils affirment publiquement que les différences raciales n'existent pas, les gens agissent dans leur vie privée autant que publique d'une manière qui montre qu'ils comprennent que la race est bien plus qu'une construction sociale. Ce qui en est vraiment une, c'est bien entendu le concept d'égalité. D'où lle fait que le dialogue,  dans la BRA (Black-Run America), est à sens unique: il faut constamment rappeler aux Blancs leur ouacisme passé et présent, les forcer à expier leurs privilèges, pour qu'à l'avenir leurs enfants soient à jamais des citoyens de seconde classe.

Le début, la suite et les exemples qui vont avec chez SBPDL.

27/03/2013

INSTINCTS PERVERS CONTRE GRANDS PRINCIPES

Alexandre Marie se demande ce qui rend Merdachon "intouchable", au vu de l'archipantouflard silence entourant l'empilement de ses déclarations ouacisses. La question n'est peut-être que rhétorique et la naïveté du questionneur feinte. Je prends le risque de l'hypothèse contraire.

Il y a la surface propre et brillante du lexique sursocialisé, et il y a la crasse grouillante de vermine qu'elle recouvre. De jure, le ouacisme est honni, interdit, immoral, contrahumanitatocriminel, aucune circonstance atténuante n'étant jamais admise. De facto, traiter les Blancs comme des ordures congénitales n'est pas que permis : c'est encouragé, parce que d'une impeccable moralité.

On se condamne à ne rien comprendre à ces questions si on zappe la notion de Honte Blanche, ce sentiment diffus de culpabilité qui pourrit la vie des civilisés. Chargé du poids des péchés originels que sont l'esclavage, la guerre moderne et les nettoyages ethniques perpétrés avec des moyens chouïa plus évolués qu'une machette et une mâchoire, le toubab est prié de faire acte de contrition, de demander pardon à toute l'humanité.

Au centre de cette secte masochiste, se trouve Ochouitze, dont la salissure morale souille tous les Européens, et pas seulement les Allemands comme le laisserait supposer un certain folklore olivoudien. Après les camps-de-la-mort-qui-tue, il n'est plus possible pour un bipède hétéro pâle de vivre autrement qu'à genoux et les yeux baissés. On sait où ça mène de relever le front (insérer ici un jeu de mot minable sur sa version "nationale", ovation garantie sur n'importe quel plateau en praïme-taïme) et d'exiger que le respect soit mutuel.

Les intellos, les artistes, tous les saltimbanques d'Occident, en première ligne desquels se trouvent nos parlementeurs et dé-putés, constituent l'élite de cet excécrable clergé. Plus que tout autre Face-de-Craie, ils sont affligés d'un dédoublement de la personnalité : seuls face au miroir, ils refusent "de se prendre pour des Blancs", mais se sentent pourtant investis d'une mission de rééducation de "leur peuple".

Dans leur vision classiste de la planète, tout Blanc est un Koulak, un contre-révolutionnaire, un provocateur bourgeois réactionnaire, un saboteur de lendemains chantants, une saloperie qui exploite le Tiers-Monde, ce Tiers-Etat mondial, cette Classe Ouvrière rédemptrice. Le Blanc est ouaciste et haineux, or la ouacisme et la haine sont haïssables et doivent être haïs, de toute son âme, de tout son coeur. Pas de tolérance pour les ennemis de la tolérance, vous connaissez la mélodie.

Il n'est pas question ici d'incohérences doctrinales. La cohérence est au contraire toute prussienne : tacitement, d'un commun accord, Les loups blancs sont plus sauvages et plus méchants.Tout ethnocentrisme grossier, toute manipulation vulgaire de symboles nationalistes, tout identitarisme brutal n'est pas traité avec les mêmes reniflements dégoûtés par nos curetons laïcs. Mamadou arborant un t-shirt aux couleurs d'une chimérique afro-mafia n'est pas l'homologue de Kévin paradant avec la tronche de Charles Martel sur sa bedaine : l'un exprime un amour bien légitime de ses origines dans un contexte social où "la parole ouaciste se libère chaque jour un peu plus", l'autre est l'illustration vivante et insupportable de ladite libération. Le premier est une esclave a brisé ses chaînes et les agite comme un trophée narquois, le second est son ancien maître en qui il faut exterminer toute tentation de nuire à nouveau, toute nostalgie pour sa domination passée.

Contradiction ? Oui si l'on croit que l'antiouacisme est un activisme politique sincère basé sur des principes. Or il n'est qu'une saloperie mobilisant les instincts pervertis et suicidaires de pourritures qui auront de l'eczéma purulent sur les couilles aussi longtemps que tous les Européens ne seront pas enchaînés dans des champs de coton.

C'est cette vigilance muette, cette parano doucereuse et souterraine, qui explique la réactivité orgasmique de la presse dès que, miracle et anomalie statistique ! un criminel pâle fait une victime bronzée, alors que des milliers de cas inverses sont passés sous silence, ou provoquent stupeur et étranglements lorsqu'une proportion dérisoire en est compilée dans un bouquin.

Comme l'explique Werner dans le billet précédent, le régime n'applique ses propres lois les plus sacrées que lorsqu'il y a intérêt. Mais il y a, là encore, les lois officielles et les lois officieuses. Pour tout ce qui concerne les relations entre peuples, l'officieuse contredit violemment l'officielle, parce qu'il n'est pas possible de parler cash, cyniquement, pragmatiquement. Mais tels sont les faits : si Merdachon peut ouacister tant et plus, c'est parce qu'un toubab ne peut pas être victime, c'est parce que la race blanche n'a le droit à l'existence qu'en tant que ramassis de fils et filles de putes.

On peut faire preuve de ouacisme contre les Blancs, parce que c'est un juste retour de manivelle, parce que les Blancs sont ouacistes, parce qu'ils ont inventé et pratiqué le ouacisme le plus virulent et dévastateur de l'Histoire Officielle, et que l'idéal de Justice est de rabattre le caquet de cette engeance génocidaire, capitaliste, polluante, colonialiste, chauvine, cul-bénie, machiste, tout ce que vous voudrez dans le genre.

Le discours est cohérent, le programme homogène, la méthode rigoureuse. Simplement, on n'y entend que dalle si on est du genre à s'interdire d'avoir mal quand on se prend un genou dans les parties, alors qu'on pensait se faire offrir un free hug.

WERNER

Eric de son prénom, entrevué dans la dernière NRH. Parfaitement d'accord (il doit être content, l'heureux homme) avec ce qu'il explique brièvement sur le bordel ambiant de la zone grise continentale, qui n'en est qu'à ses débuts :

Ce que l'on appelle l'Etat de droit en prend volontiers à son aise avec le droit, y compris avec les principes généraux du droit : en sorte qu'on est conduit à se demander s'il mérite réellement son nom. Schématiquement, l'Etat de droit ne respecte ses propres lois que quand il a intérêt à les respecter : autrement, non. (...) On pourrait aussi dire que le régime occidental est une oligarchie, mais une oligarchie mâtinée d'éléments ochlocratiques, comme en témoigne le scandale récent des subprimes, sans parler de la crise grecque. Je prends l'adjectif ochlocratique au sens large. L'ochlos ne désigne pas seulement pour moi la "racaille, les éléments troubles de la population (ce qui est le sens étymologique), mais par extension aussi ceux des éléments de l'oligarchie se livrant eux-mêmes à des activités criminelles. Je pense en particulier à certaines banques ou complexes financiers et aux techniques leur ayant permis de ramasser un maximum d'argent lors des deux épisodes qui viennent d'être évoqués: sommes, paraît-il, dont les montants dépassent tout ce qu'on peut imaginer. Or il ne s'agit pas là de phénomènes isolés. La criminalisation affecte aujourd'hui toutes les parties du système. Aucune n'y échappe, pas même la partie centrale. Sous l'angle socioculturel, cela s'apparente à un processus de décomposition, de retour au chaos. Mais un tel processus peut aussi prendre beaucoup de temps. C'est pourquoi je ne dis pas que c'est la fin, mais seulement le début de la fin.

L'animal a aussi son propre blog, mais je confesse ne pas comprendre grand-chose à ses fines allusions et obscurs sobriquets... Il répondait en 2005 aux questions d'Eléments, traitant de la boulimie étatique en matière de surveillance, c'est à télécharger ici, grâce aux bons soins de M. Criticus.

 

26/03/2013

LE GENOCIDE EUROPEEN EXPLIQUE SIMPLEMENT PAR UNE BELLE PARABOLE D'IVROGNE

 

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Posons que je vous invite à casser la croûte à la maison.

Oui, l'hypothèse est tirée par les cheveux, que je n'ai pas très longs. Cela supposerait au strict minimum que vous ayez écouté - et compris - l'intégralité de ceci, que vous ressembliez au moins vaguement à cela, un compromis entre les deux options étant bien entendu préférable aux yeux d'un modéré comme moi.

Vous ayant installés avec un apéro à base de taillé aux greubons et chasselas bien frais, je m'éclipse, prétextant le dépucelage d'une excellente bouteille pour l'occasion. Alléchés par les fumets sortant de la cuisine, vous y pénétrez sans autorisation et me surprenez non pas en train de touiller la sauce blanche avec mon troisième bras, mais de remplir une prestigieuse topette d'un grand millésime avec un rince-cochon rosâtre sortant d'un cubi graisseux. Je considère comme très probable que vous convaincre d'en boire et vous le faire apprécier sera un poil sportif.

Pourtant, si vous êtes un grand progressiste, la triste vinasse devrait vous faire l'effet d'un étourdissant nectar, du simple fait de son passage dans une boutanche portant une belle étiquette.

Ah mais oui ! Qui a dit que c'était à la portée du premier connard venu ? C'est difficile, je vous l'accorde. Mais d'une logique !

Si le récipient ne se brise pas, vous pourrez considérer ce pinard comme parfaitement intégré, et considérer tout individu sceptique face à ce raisonnement comme un hitlériste à lobotomiser sans anesthésie car nuisible au Vivransambles.

Si l'on poursuit le long de cette scabreuse métaphore oenologique, l'homme de droite s'intéresse au contenu de la bouteille, tandis que le sursocialisé n'est qu'un méprisable buveur d'étiquette. Pour ce dernier, l'inné n'est rien, l'acquis est tout, et il n'est pas de phénomène humain qui ne s'explique exclusivement par des facteurs environnementaux. Du chasselas transvasé dans une bouteille de pinot se transforme miraculeusement en vin rouge. L'homme ne compte pas, c'est sa place et sa fonction au sein de la société qui importe. Il s'y comporte comme la dernière des merdes ? La société est coupable et doit s'amender en se montrant infiniment plus patiente, compréhensive et maternelle qu'envers, disons ? un joueur de foot qui met son bras à un angle non-validé par la Licra.

Depuis quelques décennies, les propriétaires du monde semblent très intéressés à remplacer le contenu démographique des pays occidentaux, tout leur conservant l'apparence de leur état originel. La devanture du restau gastronomique reste, l'arrière-boutique est devenue un kebab-pizza-sushi bar où les normes d'hygiène sont gang-banguées jour et nuit. S'en formaliser ? Fasciste. Les chiens font très officiellement des chats, parce que reconnaître le contraire serait apporter de l'électricité à la dynamo d'Adolf.

La traçabilité du vomitif hachis de fausses lasagnes surgelées pour le lumpen à crédit-conso ? Plus que nécessaire. Un marigot quelconque où des espèces exotiques, importées par pure obsession du pognon, ont éliminé la faune autochtone ? Un désastre écologique. N'y pensez même pas en matière de groupes et d'individus constituant une nation.

De ce point de vue, les écolos les moins inconsistants, et les plus « respectables », sont encore ceux qui ont assez mûri pour faire leur deuil de l'antique folklore subversif du Komintern et se sont mis au service du libéralisme à visage humain greffé: eux au moins tentent de vous la mettre sans vous faire croire que c'est pour vérifier l'élasticité de votre prostate.

21/03/2013

ENCORE UN CRIME OUACISTE PASSE SOUS SILENCE !

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Nous sommes tous coupables.

Est-on jamais assez vigilant face à Babeth Ymonde ? Pourquoi si peu de cierges pour illuminer nos Heures Sombres ? Comment expliquer la coupable indulgence de la presse occidentale envers les ouacistes qui viennent jusque dans nos bras égorger nos Divers© et nos Chances© ? Sans doute cette dégueulasse tendance s'explique-t-elle par le fait que la grande majorité des pisse-copies sont Blancs... 

Indignez-vous ! Indignez-vous ! Une nouvelle agression du kukuklan s'est produite au Yankiland, pays de la ségrégation et de l'exclavagixme, il y a déjà quatre mois, et pas un mot dans les feuilles de chou ! Halte à l'impunité des encagoulés brûleurs de croix !

Dénonçons vigilons plusjamaiçons !

20/03/2013

LA PETITE CINEMATHEQUE MYTHO DU MERCREDI

 

17/03/2013

VOUS AVEZ TOUT FAUX - CONTINUEZ COMME CA

Si je retrouve rapidement une aiguille à me planter dans la fesse, j'arriverai peut-être à verser une larme sur les déboires d'un footeux. Mais outre le légitime mépris que l'on peut réserver à cette répugnante sous-classe sociale, et en faisant brièvement abstraction de tout adolfisme, posons quand même rapidement les faits de manière brute et simple :

Je fais un geste avec le bras et dans les minutes qui suivent, je peux changer de métier. Ni mort, ni blessé, ni détournements de fonds, ni tricherie, ni insulte, ni viol d'aucun règlement. Une articulation qui se déplie, un membre placé à un certain angle, et paf - viré, honni, sali.

On peut faire une belle carrière de déPUTé européen en ayant admis s'être fait masturber par des enfants. On peut revenir aux affaires d'un pays en traînant au cul mille affaires de prostitution de mineures. On peut faire magiquement disparaître des milliards de milliards de francs et toujours être considéré par les chefs d'Etat et les journalopes comme un grand spécialiste de la phynance mondiale. On peut torturer, violer, tuer, et toujours trouver un avocat pour vous défendre, une pouffiasse pour vous marier en prison, une ordure post-catho pour organiser un cercle de silence en votre faveur. Mais il y a un angle de bras par rapport au corps qui, si vous l'adoptez pendant plus qu'une seconde d'inattention, vous dégage de la société des honnêtes gens.

Dans un monde un peu normal, des hordes de supporters auraient déjà parcouru les artères des plus grandes bourgades alentours, offrant des séances d'acupuncture gratuite à toute personne passant à proximité d'une batte cloutée. Mais souvenez-vous, bande de distraits canaillous : ce monde n'est pas normal.

Mais oublions ces remarques de vieux con avant l'âge.

Correcteurs professionnels, castrateurs démocrassouillons, Politkomissars à peluche rose, je vous conjure,

NE CHANGEZ RIEN

Continuez exactement comme ça.

Nous savons, de toute manière, que c'est une question de survie pour vous : dans une ville sans rats, personne n'a besoin d'un dératiseur. Or la seule chose qui vous sépare du suicide collectif face à la grisaille sans espoir de vos minables existences, c'est l'argent de poche que vous vous faites à pourchasser les rats de vos propres élevages.

Le ventre de la Bête Immonde, c'est vous. La Gestation Pour Autrui, ça fait depuis 1945 que vous la pratiquez à vous en fendre le bassin en deux. L'adolfisme mort, carbonisé et dispersé aux six cent soixante-six coins du cosmos, vous en avez conservé des hectolitres de foutre, vous en tartinant le cul à chaque fin de menstrues, pour pouvoir bouffer vos propres bâtards jusqu'à l'extinction des rares spécimens d'humains vaguement intelligents.

C'est dans vos serres putrides qu'ont germé les graines des futurs massacres interethniques. Je suis l'un de vos bâtards. C'est vous, votre saloperie, votre obsession, votre trouble obsessionnel compulsif déguisé en Demoire de Mévoire qui m'a inoculé cette Haine que vous passez votre vie à renifler, comme des eunuques qui se feraient embaucher dans une commission de censure, histoire d'être payé à mâter du porno sans bander. Vous faites pire encore que ces tribus grotesques des égouts de la planète, qui tannent la gueule de leurs gosses quand ils se chient dessus à l'âge où le contrôle du sphincter est physiquement impossible.

Merah et Breivik, c'est vous. Tous les Merah et tous les Breivik de notre gerbatoire avenir, c'est vous qui les avez conçu, élevés, nourris, nazifiés, holocaustocratifiés.

La sagesse populaire prétend qu'à quelques centimètres d'une plante toxique, pousse son antidote, à disposition de qui sait le voir. Nous autres, archétypes de tout ce que vous considérez comme ce qu'il se fait de pire à la surface du globe, nous sommes précisément cela : votre contre-poison.

15/03/2013

LES ENFANTS D'UN SOLEIL

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Nous parlions, en des lieux peu fréquentables, avec des gens ne l'étant guère plus, de l'impact de l'optimisme sur la santé. Toujours vivant, pas très vaillant mais sur deux pattes néanmoins, je répondais ceci à Unetelle, me prédisant un long avenir pour cause de pessimisme :

Voltaire, qui ne s'est pas trompé sur tout, affirmait l'exact contraire. J'aurais tendance à lui faire confiance sur ce point.

De fait, les gens qui nous impressionnent le plus, dont on veut être le pote, dont la simple présence physique vous réchauffe et vous motive, sont ces êtres presque irréels sur qui la noirceur et la bêtise du monde semble n'avoir aucune prise. Ils ont toujours la banane, la patate, le mot pour rire, la tournée spontanée. Je hais cette mélancolie qui me colle au cul depuis ma naissance, et j'envie plus que tout ces hommes et ces femmes comme nés d'un soleil, irradiant autour d'eux.

Deux de ces créatures hors-normes - surtout l'un d'entre elles, Lui, l'Indispensable, l'Incontournable, mon Pote, mon Frangin depuis vingt ans - seront là ce soir. La boustifaille en leur honneur frémit déjà dans les casseroles. Ils auront droit au meilleur picrate, aux gnôles les plus soigneusement sélectionnées, et j'irai même leur chercher à pied des croissants après une dévastatrice nuit blanche s'ils daignent rester toute la nuit ici-même, ce dont je doute.

Lui est un cas particulier. Des pépins de santé indescriptibles auraient pu le soustraire à notre affection - que dis-je ? notre quasi-idolâtrie - depuis des lustres déjà. Et il s'acharne encore, le putain de bestiau ! Toujours parmi nous, toujours le Premier, toujours en avance sur tout le monde de plusieurs coudées, l'air, en plus ! de ne pas y toucher, de faire dans le modeste et le discret, le salopard !

Souvenirs des immondes années 99-2000, si froides, si laides, si solitaires. Passons les détails : ayant fait fuir par stupidité et égoïsme une feniaule de compétition, je pataugeais jour et nuit dans l'ineptie, ne respirant pleinement à nouveau qu'en la présence de ce grand taborniau, dévasté à chaque fois qu'il me ramenait chez moi, au petit matin. Treize ans plus tard, est toujours là, inchangé, inchangeable, irradiant plus fort que dix Tchernobyls, si radicalement aimable qu'il vous ferait presque prendre l'hétérosexualité à la légère.

14/03/2013

LE PUTANISME EST UN FEMINISME

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On peut poser que la dangerosité d'une propagande est fonction de son caractère plus ou moins insidieux, subtile, indétectable. Qu'elle est à l'inverse moins offensive à mesure qu'elle gagne en épaisseur, en lourdeur, en grossièreté. Se barbouiller de rouge à lèvres quand on ne s'appelle pas Robert Smith, ou porter des talons quand on n'est pas Lux Interior, ça n'est plus de la tarlouzerie d'enterrement de vie de garçon, c'est une manière de manifester son soutien à la Cause des Femmes.

Oui, on trouve vraiment des mecs hétéros a priori normaux pour participer volontairement à ces guignolades. Et c'est une bonne chose. C'est un excellent de dépister les infectés du sida d'la tête avant que la maladie ne se déclare complètement. A l'inverse, ça peut contribuer à faire sortir de ses gonds des individus non-politisés, calmes et discrets, qui trouveront quand même que se laisser pousser le caca jusqu'au niveau de l'oesophage au nom de l'Ouverture et de la Tolérance, ça n'est quand même pas négociable, en fin de compte.

C'est en ce sens qu'on peut franchement se réjouir de la tournure Mowat-Wilson prise récemment par le féminisme un peu partout en Occident. Les grognasses aboyantes des Femen, dégaine de putes de luxe tombées dans le crack ? Excellente nouvelle ! Des poilus qui se baladent en fuck-me-shoes ? Admirable ! On se réjouit de la prochaine initiative, encore plus conne, encore plus insultante, de nature à s'aliéner encore plus de bonnes volontés, et à ne recueillir que les suffrages des plus irrécupérablement atteints. Tout ce qui peut, par excès de grotesque, saper la légitimité usurpée de la misandrie à prétention intello, est à plébisciter par avance.

13/03/2013

LE RECYCLAGE, C'EST BIEN

Sauf quand on fait ce genre de choses, et alors là le recyclage, c'est MAL.

09/03/2013

"GENIUS AND COMPLETELY UNDER-RATED"

On ne saurait mieux dire. La belle découverte, avec trente ans de retard, de cette fin de semaine. Passez outre la pochette immonde, le contenu vaut réellement le détour d'une paire de portugaises débouchées.

08/03/2013

LE PUTAIN DE NEOLOGISME GLOBICHE A LA CON DU JOUR

"Ils pimpent votre smartphone"

Oui.

Pimpent.

Quand on n'est plus capable d'éprouver la moindre espèce d'espoir, le seul recours est d'avoir chevillée au corps une indéfectible naïveté. Sans elle, à force, plus possible de se foutre en rogne, parce que plus possible d'être encore surpris par l'obscène foutage de gueule assumé de nos maîtres à ne-pas-penser.

Si encore ces enfilés avaient parlé de customisation de téléphone portable ! C'est laid, ça se traduirait littéralement par coutumisation, mais enfin ça aurait juste été tolérable, en un temps où, après tout, des "supporters" supportent une équipe, au lieu de la soutenir...

Au vu du nombre de richissimes mercenaires métèques qui monopolisent le haut du panier de crabes putrides qu'est le foutreball mondialisé, le terme n'est peut-être pas si inadéquat. Mais je m'y connais autant en baballe qu'en tricot, faut-il préciser.

Mais non. Nous avons droit au pimpage, du néoverbe pimper, dérivé du globish pimp, ou maquereau, nom masculin désignant originellement le bel et noble emploi de proxénète. Il semble, depuis quelques modestes années,  désigner toute forme de luxe ostentatoire et du plus mauvais goût possible, considéré comme tolérable, banalisable ou amusant parce que nègre.

(Puisque tout ce qui semble intéresser nos frères de la brousse est à prendre avec des gants de soie, j'attends avec impatience la glamourisation du cannibalisme; en vrai amateur de cochonnaille, il m'attristerait de crever sans goûter du filet mignon de bipède)

Depuis plus récemment encore, le terme s'est transformé en verbe pour décrire
la personnalisation  - ou tiouningue - de toute espèce d'objet de consommation proposé par la société capitalopatriarchale leucocentrée hétéronormée ouaciste dans le but exclusif d'asservir les populations sous-capables défavorisées qui, ça tombe sous le sens ! démontrent leur féroce sens de l'humour et de l'ironie irrévérencieuse en singeant le bourgeois haï, en détournant ses codes, et autres dégueulons mao-freudien de mes couilles.

Pour la reconnaissance par le dictionnaire de l'Académie Française, prière de patienter jusqu'à ce que Christiane T'Oubliera soit (enfin!) nommée Immortelle.

Si quelque soralien veut se réjouir de ce doigt d'honneur à la Correction Politique féministe en pleine journée de la chatte, qu'il se fasse plaisir, je passe mon tour.

07/03/2013

DE MORTUIS NIL etc.

Chavez :

A leader who redistributed wealth to the less-White sector of his nation’s population and is mourned by the ANC, is hardly a fitting coffin-fellow for White Nationalists. A grave that is bedewed by the tears of the BBC, Guardian, and other leftist mouthpieces, should rightly be pissed on by radical traditionalists – except, of course, radical traditionalists don't piss on graves.

Alvin Lee :

BLACK POWER SHORTAGE

Ah, 2008, Frères Citoyens, 2008 ! La belle époque... L'obamania à son pic, une érection journalistique si durable et épaisse que parler de priapisme semblait bien faible... Oui nous pouvons, Bush enfin dégagé, le pire passé et le meilleur à venir... Est-ce que ça ne vous manque pas, cette sensation de pouvoir donner dans le marypoppinisme le plus sirupeux tout en paraissant éclairé, avant-gardiste et respectable? Allez ! On se fait un petit shoot de changement-auquel-on-peut-croire.

Et n'oubliez pas de lire le numéro de Radish Mag sur le Black History Month, pour voir le génie Noir en action, hier et aujourd'hui.

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Non, pas celui-ci.

28/02/2013

GRENAILLES

Un vieux type est mort à Paris l'autre jour. Il paraît qu'il avait écrit un livre, juste assez épais pour caler une table, ce qui est quand même bien pratique. Les gens sont tristes (enfin pas tous). Il est vrai qu'on rencontre si peu de vieillards serviables, et qui pensent plus à vos meubles bancals qu'à leurs problèmes de pertes urinaires. Saluons donc. 

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* * *

 

Tu as traversé la rue principale de mon bled ce mercredi soir aux environs de 18h30. Je changeais de trottoir, emprunant le passage-piétons tel le bon Chuiche respectueux des usages, mon moutard dans les bras. Arrivée à notre hauteur, tu as légèrement freiné, puis kaxonné avant de poursuivre ta route, nous passant à quelques centimètres.

Je n'ai pas distingué de doigt d'honneur, mais l'expression de ta gueule ne laissait aucun doute : tu nous avais vus et nous laisser traverser n'était pas spécialement dans tes priorités. Je sens que je vais m'en vouloir très longtemps de n'avoir réussi à mémoriser ton numéro de plaque. Je n'ai que l'image d'une pouffiasse brune, la quarantaine, la tronche déformée par une grimace de vomissement, au volant d'une caisse grise immatriculée à Genève.

Tout ce que je souhaite, c'est que tu passes régulièrement dans le coin, pour que nous puissions faire plus ample connaissance dans un très proche avenir.

 

 

* * *

Les gens de Politique Magazine sont bien aimables, très talentueux, agréablement parfumés, beaux, intelligents, musclés, et je ne dis pas cela parce qu'ils causent de ce blog dans leur numéro de février. Qui le prétend est une mauvaise personne qui ne mérite pas son apéro.

Précisons que même sans ce fabuleux coup de brosse, le papelard est d'un niveau remarquable. La flatterie n'a vraiment de saveur que si elle provient de quelqu'un d'estimable.

 

* * *

 

Femen : y en a en Suisse aussi, et elles s'en prennent à la nature, les garces.

21/02/2013

DU NEUF AVEC DU VIEUX

15/02/2013

TAKINERIES

Allez lire Takimag. Vous y apprendrezdes choses aussi nécessaires que

° les raisons objectives pour un catho réac de se réjouir face à la perspective d'un pape nègre

° les façons de reconnaître les pires trouducs, à savoir ceux qui font semblant de ne pas l'être (il y est question de koalas, sur un ton que même le bien-aimé Amiral ne s'est jamais permis)

° la déchéance intellectuelle de Robert De Niro, qui chasse le nazi imaginaire à Boston

 

En passant, mes excuses à ceux qui n'ont pas trouvé ici ce qu'ils cherchaient :

porno des enfants 3.33%

bruxelles fout la france dans la merde 0.83%

détendez vous ça va bien se passer 0.83%

comment se branler avec une chaussette 0.83%

de la beuh 0.83%

08/02/2013

CYCO