21/03/2012
"J'SUIS PAS D'TON CLAN, PAS D'TA RACE" (Renaud, chanteur fâchiste)
12:21 | Lien permanent | Commentaires (4)
13/03/2012
LES GAGS DE LA NARINE
- La voilà, ta signature, ptite conne !
- Merci Monsieur, c'est une grande victoire contre vous !
17:07 | Lien permanent | Commentaires (8)
08/03/2012
APRES LES GENS
J'ai déjà causé et recommandé le visionnage en boucle d'Une vie après l'homme quelque part sur ce bleaugue, je sais plus où. Le même thème a fait l'objet de miniséries tout aussi sympathoches, à voir ici.
18:51 | Lien permanent | Commentaires (0)
03/03/2012
CHALEUR TERMINALE
On veut des Noirs et des Arabes partout mais pas de burkas ni de racailles, on veut du lettré et du rigolo, on veut une vérité qui nous plait, on va voir Intouchables par millions et on césarise Omar Sy, parce qu'on a besoin de chaleur... Partout cette urgence de l'inoffensif pour un pays qui ne peut plus se regarder en face, qui n'a pas le courage d'affronter le visage du monde d'aujourd'hui, et qui se renferme alors sur lui-même en s'empoissonnant sciemment, pour adoucir sa vue dans l'anesthésie, pour crever en douceur... La France n'est pas un pays d'ivrognes communistes, comme on pourrait pourtant le croire, mais un pays de bourgeois sous antidépresseurs.
10:34 | Lien permanent | Commentaires (5)
02/03/2012
UN TRUC DE BLANC : FLINGUER SES PETITS CAMARADES
(...) pourquoi les médias s'appliquent-ils tant à retransmettre l'histoire du «tueur blanc solitaire» dézinguant ses camarades de classe ? Pourquoi, à l'inverse, ce genre de choses n'arrive-t-il pas plus souvent dans des écoles majoritairement Noires ou Hispaniques ?
Répondons tout d'abord à la seconde question :
1 – Les établissements majoritairement Noirs – ou à prédominance Hispanique – sont essentiellement des mini-pénitenciers, encadrés par un corps de policiers patrouillant dans les couloirs pour contrôler la guerre des gangs, empêcher que les toilettes ne deviennent des baisodromes, prévenir les bastonnades aléatoires et protéger les profs contre les agressions.
2 – Chaque étudiant doit passer par un portail de détection de métaux, pour prévenir tout port d'armes. De même que l'Agence de sécurité dans les transports (TSA) traite comme des terroristes la majorité blanche de leur passagers, tous les élèves des écoles majoritairement Noires ou Hispaniques sont considérés comme potentiellement dangereux et sont fouillés pour les armes et la drogue.
3 – Les Noirs les plus violents sont soit déjà en prison, rejoignant les colonnes des statistiques de leur guerre fratricide, soit éjectés de leur école, la privant ainsi des brillantes intelligences qui auraient pu découvrir un vaccin contre le cancer. Ou encore, ils ne se font plus chier à venir aux cours, quand bien même bien des arrondissements scolaires estiment que les payer pour leur peine est une manière efficace de lutter contre la criminalité.
Le reste en globish chez le monomaniaque et légèrement obsédé-par-le-sport mais difficilement contournable SBPDL
20:21 | Lien permanent | Commentaires (5)
01/03/2012
DANS TON CULTE
15:03 | Lien permanent | Commentaires (2)
28/02/2012
DOG FROM HELL
19:07 Publié dans Survie musicale zonarde | Lien permanent | Commentaires (1)
TABOUCHE TAGUEULE
17:24 | Lien permanent | Commentaires (10)
24/02/2012
PARLEYE-VOÛ FRONSAYE ?
Toi rosbif ? Ou toi crouille-de-luxe-des-Emirats ? Ou toi constipé-des-rizières ?
Boucou problim maîtriser frenche langouadge romantîque ?
Toi clique sur la belle image de circonstance Diverse pour avoir tout le vocabulaire nécessaire à baston/baise/biture, triptique sans lequel il n'est pas d'Ouverture-sur-l'Autre digne de ses majuscules.
(Troisième ligne particulièrement utile pour découvrir en toute sérénité les charmes de l'Ex-France)
21:38 | Lien permanent | Commentaires (1)
23/02/2012
STEREOTYPONS DANS LA JOIE
... en allant nous fournir en globish chez la mauvaise personne alimentant Unamusement Park
(Si je suis moins flemme et que je trouve le me rappelle du moyen de faire des pédés-heffe, je vous la fais en french une prochaine)
16:29 Publié dans De quoi j'me merde ? | Lien permanent | Commentaires (5)
17/02/2012
NO MAN'S LAND
If you were a science fiction writer freelancing for a men’s magazine in the 1940s, you might have dreamed up a lurid dystopian future where women rule. You might have described a “New Girl Order,” or titled your tale “The End of Men.” For your bizarro tomorrow, you may well have envisioned a world where boys were punished, drugged or expelled from school for the kinds of things you remembered doing as a kid. Males would be referred to as “the second sex,” regarded as “louts” and relegated to low paid, low status jobs. Women would be sexually promiscuous, even marching together as “proud sluts,” while men would be legally required to ask for explicit verbal permission for every kiss. When it came time to reproduce, females would often raise children (hopefully female children) on their own. Fathers would be considered quaint but ultimately disposable.
Your readers, back then, would have had quite a chuckle.
However, if writers for America’s major newspapers and magazines are to be believed, that future is not far off. While their phrasing could be a touch fantastic and things may not yet be quite as bad as they say, there seems to be a growing consensus that unless major changes occur, the future is no man’s land.
19:40 | Lien permanent | Commentaires (21)
14/02/2012
" UNE RELIGION QUI N'EST PAS LA NÔTRE"
L’Art Contemporain s’applique à remplacer l’esthétique par la morale. Il veut désincarner l’art parce que la chair est mauvaise. Il craint la séduction et entend éradiquer toute idée de beauté qu’il perçoit comme une perversion. L’AC est un rêve de pureté absolue fondée sur une haine du corps et de la matière. Les thèmes et pratiques omniprésents de l’AC sont la maltraitance, la trivialité, la dégradation. La chair est si méprisable qu’elle peut être souillée sans conséquence. Le corps glorieux n’existe pas. (...)
Le dogme de l’AC dit qu’à partir d’Auschwitz la pratique de la peinture est une insulte à la mémoire des victimes. Il n’y a pas de comparaison possible entre le mal qui se manifeste sur le Golgotha et celui qui déferle sur Auschwitz. Le premier était représentable parce qu’il s’ouvrait sur l’espoir d’une rédemption. L’autre est un mal absolu, sans remède, irrémissible, donc irreprésentable. (...)
Le premier pas pour liquider un peuple est toujours d’effacer sa mémoire. Détruire ses livres, ses arts, sa culture, son histoire, pour écrire de nouveaux livres, créer une autre culture, inventer une autre histoire. Avant longtemps la nation aura oublié ce qui est et ce qui fut. Le combat de l’homme qui refuse d’entrer dans le moule n’est que le combat de la mémoire contre l’oubli.
La suite, avec des bouts de Céline dedans pour le même prix, chez Polémia
Et ça n'a rien à voir mais allez aussi lire Goad, qui cause de l'étrange insistance des suprémacistes paydays sur la génétique comme facteur de préférences en matière de trous :
Sure, some people are gay because they’re not attracted to the opposite sex. But maybe some become that way because they’re not attractive to the opposite sex. Denying choice and insisting on genetics is part of a larger cultural pattern that abdicates all personal responsibility for one’s actions. Genes have also been “found” for obesity, schizophrenia, violence, and alcoholism. What if it turns out there’s a gene for “homophobia”? Will that lead to universal acceptance of homophobes? Will they be able to sue for civil-rights violations if some hateful homophobe-o-phobe hurts their feelings? The “gay community” may not want to thrust so hard with this “genetic” angle, because if a “gay gene” is discovered and a prenatal test for it is devised, couples who wish to have grandchildren may choose to abort gay-gene fetuses and thereby gradually blot the gene out of existence.
08:20 | Lien permanent | Commentaires (8)
10/02/2012
THE GREY ZONE
Si l'on pense réellement que l'avortement est un meurtre, et qu'il y a vraiment une usine à meurtres au coin de la rue, il n'y a qu'une manière d'agir pour un honnête homme. Si l'on est absolument certain qu'un groupe armé s'apprête à envahir notre domicile avec la complicité du gouvernement, pourquoi ne pas suivre l'exemple des hommes de Daniel Shays ? Si une justice tyrannique s'oppose au peuple par la force, pourquoi ce peuple ne sort-il pas le goudron et les plumes ?
De tels actes ne sauraient être encouragés ni soutenus, mais on peut se demander pourquoi ils sont si rares. Si des millions de gens sont aussi engagés qu'ils le disent en faveur de leurs idéaux sacrés, pourquoi sont-ils presque tous incapables d'agir ?
La triste réalité est que, même si les Américains sont en train de se séparer en deux nations philosophiques distinctes, ils se coagulent en une seule masse. Les divergences politiques font peut-être plus de bruit, mais le passage à l'acte significatif devient toujours plus improbable. (...)
De nos jours, la volonté populaire est presque toujours outrepassée par des ordonnances anonymes. Nos dirigeants rient au nez des citoyens tout en travaillant jour et nuit à leur ruine. Les Américains sont supposés être mieux armés que jamais, au moment où ils font entendre leur opposition avec le plus de force. Et pourtant, rien ne va se produire. Pas de nouvelle guerre civile. Pas de débâcle nationale. Rien du tout.
Nous n'en avons tout simplement pas la force de caractère. L'autocratie en est consciente, et nous pouvons nous attendre à bien pire de sa part. Alors recouchez-vous et savourez vos donuts.
10:11 | Lien permanent | Commentaires (8)
08/02/2012
DREAM SONG
17:57 Publié dans Survie musicale zonarde | Lien permanent | Commentaires (1)
04/02/2012
TENIR
La plupart des Blancs ne se protègent pas parce qu'ils ne se sentent pas MENACES. L'exinction de leur lignée leur paraît soit une chimère ridicule (ils s'imaginent donc que le substrat ethnique perdurera aussi longtemps qu'ils pourront se payer des Ipad à crédit) soit un phénomène qui ne les concerne pas (ils ne se sentent donc Blancs qu'une fois qu'un exotique le leur permet, de préférence pour endosser une culpabilité qui lui est profitable), soit l'aboutissement d'un processus à la fois naturel (il n'y a rien à faire contre) et légitime (nous avons pillé l'Afrique, au tour des Africains de piller l'Europe).
Avec la plupart des individus qui acceptent sans broncher l'un de ces trois schémas de pensée, la discussion est vaine. Tous ou presque ont accepté la certitude de leur extinction en tant que peuple, et ne peuvent être inquiétés que par leur disparition individuelle. La dhimmitude ? Volontiers ! Toutes les bassesses collectives pour faire durer ma pauvre vie un jour de plus... Rien de plus normal. Tant que vous êtes valide, vous pouvez vous gonfler les plumes et prétendre que vous vous neufmillimétrez la cafetière dans la minute où vous ne pourrez plus bander ou chier sans l'aide d'une infirmière des tropiques. Et blam ! Vous voilà dans une cholie chaise à roulette, et votre amour de de la vie se prend une dose cosmique d'amour dans le gueule, pour rien au monde vous n'en zapperiez la moindre seconde...
La démonstration scientifique de l'inégalité des races n'aura pas d'impact sur un tel public. Comment voulez-vous participer à une course d'endurance quand vous devez vous déplacer en chaise roulante ? Telle est la situation de l'identité blanche: quand bien même elle accepterait la notion hautement fasciste de compétition entre les peuples pour la prévalence de leur identité respective, elle n'aurait pas les moyens moraux de participer à la course. L'Occident est un géant aux pieds d'acier et au coeur d'argile, un Gulliver qui enseigne l'art des noeuds marins à des Liliputiens trop stupides pour tresser eux-mêmes leur propres cordes.
L'extrême judéomanie des Culs-Blancs elle-même ne leur est d'aucune utilité pour s'échapper des sables mouvants de leur propre relativisme suicidaire. Ils écouteront religieusement un juif leur enseigner la repentance éternelle pour les crimes supposés de certains de leurs arrière-grand-pères, mais classeront parmi les timbrés mystiques celui qui leur dit Blancs défendez-vous. Monsieur Toubab est un puritain dont le Troisième Testament lui commande de tout faire pour crever et faire la place aux métèques, de subordonner le moindre aspect de son existence à ce but sacré.
Le nouveau christianisme laïc et citoyen a fait d'un péché mortel l'absolu sine qua non de la Rédemption moderne. Il est plus facile à un ouaciste de passer le chas d'une aiguille que d'accéder au royaume des cieux. Livre tes filles aux simiens et va claquer loin du carnaval funèbre donné en l'honneur de ta propre disparition. Chrétiens, oubliez vos pauvres écritures et tatouez-vous cette courte épitre à l'envers sur le front, pour vous en rappeler chaque matin et chaque soir.
Quelle issue pour nous autres que ce seppuku continental emplit de bile et de fureur épileptique ? De rares et misérables expédients, dont un ivrogne assumé se passe aisément, parce que lui au moins n'a pas besoin de justifier son autodestruction délibérée.
Et pourtant il nous faut tenir. Je ne dis pas « témoigner », vous noterez, parce que personne ne nous écoutera et que nos gesticulations de naufragés ne marqueront pas plus l'Histoire que celles des victimes du Titanic.
Juste TENIR.
Tenir pour que dalle. Tenir pour l'absurde et douteuse beauté du geste. Tenir pour emballer de sparadraps poisseux les débris suintants de notre dignité brisée. Tenir parce qu'un tétanos complet est la seule forme de droiture dont nous soyons encore capables. Tenir pour la misérable consolation d'avoir haï nos corrupteurs jusqu'à notre dernier souffle asthmatique. Tenir pour bercer nos effondrements internes avec le vertige du désir de vengeance à jamais inassouvi. Tenir contre les sarcasmes, le relativisme, le chantage des gens qui nous veulent du bien, la prétention de maturité, le réalisme vaseliné, et la colossale dérision de nos propres prétentions. Tenir au-delà de l'absurde et du ridicule.
17:23 | Lien permanent | Commentaires (9)
02/02/2012
COMMENT PENSER AVEC SON CUL
09:54 | Lien permanent | Commentaires (5)
01/02/2012
POUR ETRE RESPECTE, ETRE RESPECTABLE
Elle, septembre 2015, couverture du numéro spécial
"Grandes figures philosophiques du Monde Premier"
Nouveau combat de la Diversité Métissée : permettre aux Difféwentes d'être elles aussi putifiées comme des Blanches par la presse féminine.
L'ex-France, décidément à la ramasse loin derrière le Yankiland, s'offre donc quelques mois plus tard une resucée de ce dont nous causions ici : une fois de plus, une Blanchette bienveillante essaie de se joindre maladroitement au choeur du gospel de la néo-brousse et se fait remettre à sa place - au fond du bus. La Fierté Noire, c'est pas pour les Fromages. Certains ne le comprendront jamais. Tant mieux, voir une journalissse se faire publiquement fesser dans l'exercice de ses brenneuses fonction est une gâterie dont il ne faut pas se priver.
Posons que nous soyons charitables et bien intentionnés envers nos frères Divers. Quel enseignement les aider à tirer de cette cocasse non-affaire ?
Il faudrait leur expliquer que le concept même de ouacisme structurel les condamne à ne jamais sortir de ce statut de victime à protéger perpétuellement contre ses propres échecs, et contre cette immaturité qui l'empêche de les accepter, d'en tirer profit, d'apprendre de sa malheureuse expérience. Un ouacisme sans ouacistes, c'est un meurtre sans meurtrier, une faute commise par personne, un procès sans quiconque à accuser. Voir du ouacisme - donc de la haine ciblée - dans les fondements mêmes de la société où l'on vit, c'est accuser tout le cosmos de méchanceté et de cruauté. C'est faire sienne la logique des plus vaches des vrais nazis, qui acquièscent qu'effectivement, Mère Nature n'a pas été tendre avec eux.
De ce point de vue, ségrégation, génocide, déportation et Affirmative Action découlent d'un même constat : y en a qui n'y arrivent décidément pas tous seuls. C'est plus humiliant encore quand ça part d'un engagement humaniste. Sous les pavés de l'enfer, la plage est souillée par une marée noire.
Il faudrait leur dire que tant qu'ils piorneront sur le ouacisme - plus encore s'il est structurel, inconscient, involontaire - ils ne feront que capitaliser sur la Honte Blanche. Or c'est précisément la Honte Blanche, elle seule! qui fouette le paternalisme et la condescendance des Blancs dégénérés à leur égard ! C'est elle qui leur fait idolatrer des merdes parce qu'ils pensent devoir tout accepter de Monsieur Ladidon, ne pas devoir le pousser à l'excellence, se montrer inconditionnel, quitte à absoudre ses assassins et ses violeurs de leurs crimes, à chercher des excuses à ses voleurs et ses menteurs, à voir des poètes et des génies dans ses arnaqueurs et saltimbanques les plus embarrassants de nullité.
Même la presse considérée comme à peine à droite de Karl Marx plébiscitera n'importe quelle merde du moment qu'un blaque en assume la responsabilité. N'oubliez pas de mâter le clip (coupez le son et passez-vous un mp3 de Godflesh pour rendre ça tenable) et visez le message subliminal bâclé à base de "bouffe-moi la chatte" - la classe blackgeoise chimiquement pure.
Ceci dit, atteindre leurs objectifs est plutôt simple. Vous voulez faire la une des journaux ? MERITEZ-LE.
Pas par des revendications, pas par des slogans, par des actes. En étant autonomes. En prouvant qu’un taux de mélanine phénoménal n’est PAS une condamnation à l’échec. Faites mentir l’exemple douloureux du Libéria, de l’Afrique du Sud Mandelique, de la Rhodésie post-toubabs, de Detroit. Sortez-vous les pouces du fion.
La journaliste blanchette mouille pour vous depuis plus d’un demi-siècle, elle ramasse religieusement le moindre de vos crachats pour en faire une relique, elle abaisse pour vous ses critères d’évaluation si bas qu’on pourrait creuser des tunnels jusqu’en Chine. Vous n’avez qu’à FAIRE et les pisse-copie en parleront. Ils ne vivent que du buzz, si idiot, laid, absurde qu’il soit. Les rédactions d’Occident ne sont que des chambres d’écho où l’on attend que résonnent enfin vos symphonies, vos théorèmes, vos aphorismes, vos alexandrins, vos fulgurances philosophiques, vos innovations scientifiques, vos prodiges technologiques.
Vous voulez de l’égalité ? Chiche ! Agissez en égaux. Démontrez que vous possédez de quoi être traités comme tels. Eblouissez-nous. Devenez ce que Blanchette aimerait tant que vous soyez. N’attendez pas que des Blancs combattent à votre place ce « ouacisme structurel » qui vous étrangle. N’attendez pas qu’un Jésus pâle vous dise « Lève-toi et marche » ! Contribuez à l’avancée et au progrès de la civilisation !
N.B. : le détournement de vieux bidons en instruments de musique, ou de vieux pneus en instruments de torture, c’est déjà fait. Mais nous avons pleine confiance en votre créativité.
08:37 | Lien permanent | Commentaires (3)
28/01/2012
C'EST NORMAL, VOUS ETES BLANCS
Le ouacisme, vous n'y comprenez rien ? Vous n'en voulez à personne, ni individus particuliers ni groupes quelconques, et et vous êtes un petit peu étonné qu'on vous demande de vous excuser en permanence pour des crimes que vos grands-parents n'ont pas commis et que vous ne cautionnez pas ?
C'est normal.
(clique là-dessus, génocidaire congénital, qu'on t'essplique la chose)
Et quand on est Blanc, le ouacisme, on s'en rend pas bien compte. On pratique sans croire, comme on respire. Ce n'est pas de la méchanceté intrinsèque, non non ! Pas de caricatures contre-productives ! Détendez-vous ! On ne dit pas que vous êtes un fils de pute, juste que vous appartenez à une lignée de fils de pute et que, sans le faire exprès, vous nazifiez à pleins poumons.
Comme un handicapé, exactement, vous pigez le truc. Mongolito, quand il gueule, qu'il bave, qu'il se conchie et qu'il écrit avec son caca sur les murs, on ne lui en veut pas, on ne lui agraphe pas une souastiqua sur le front, on ne le force pas à suivre un stage Citoyen. Mais on ne le laisse pas faire pour autant, on est d'accord ? On est d'accord.
Alors évidemment, ça ressemble à de la criminalisation de l'essence même de tout un peuple, comme si on disait qu'avec une certaine couleur de peau on incarnerait ce qui se fait de plus dégueulasse sur la planète. Mais il ne faut pas s'arrêter à ce genre d'évidences faciles. Si vous vous laissez prendre et que ça vous donne un tout petit peu envie de casser la colonne vertébrale de celui qui vous tient un tel discours, histoire de lui donner la souplesse nécessaire à lui enfoncer sa propre tête dans le cul, eh bien il ne faut pas culpabiliser trop fort non plus : là aussi, c'est parce que vous êtes Blanc que vous avez l'impression qu'on vous chie dans la gueule, alors que tout ce qu'on fait, c'est vous aider à dépasser les limites de votre éducation.
Détendez-vous. Ca fera un peu mal au début, mais si vous apprenez à vous relaxer, d'ici deux générations maxi, tout sera rentré dans l'ordre.
Après quelques ateliers de perfectionnement, Marie-Christine est enfin capable
de ne plus participer malgré elle à la domination nazie des minorités.
20:56 | Lien permanent | Commentaires (10)
MOSQUITO SONG
17:37 Publié dans Survie musicale zonarde | Lien permanent | Commentaires (3)
26/01/2012
CANONISEZ POURRIA
... et libérez Barabbas
Elle est déjà libre ? Alors canonisez-la, martinlutherkinguez-la, truquez les élections hexagonales de cette année pour la présidentialiser, démerdez-vous. Je le répète : cette feniaule est une bénédiction. Son boulot, c'est de dire ce qu'un Le Pen n'a jamais fait que suggérer par périphrases, ce que Lepenette s'efforce de ne pas penser, ce que les plus extrêmes radicaux toubabs ne se hasardent à dire que dans la quiétude de leurs caves militantes : le privilège blanc existe, et il consiste à se faire mettre avec le sourire par les métèques. La haine raciale est légale quand elle touche les Faces-de-Craie. Permis de leur dégobiller dans la gueule, de contribuer activement à leur disparition et à la souillure de leur passé, de leur culture, de leur identité. Impunité officielle. Jurisprudence précieuse pour les redistributions des terres à venir, une fois qu'Ils seront chez Eux chez nous, et que nous ne serons plus chez nous nulle part.
Une telle franchise est véritablement un soulagement. D'ordinaire, la machine se contente de nous humilier par petites doses quotidiennes contre lesquelles il faut accepter l'étiquette de parano pour leur opposer la plus futile des résistances. Un massage intégral façon coupures de papier par paquets de cent. Là, la baffe est nette, l'insulte carrée, la répartition des rôles écrite en noir viril sur blanc soumis.
On pourrait être tenté par un parallèle avec l'autre castratrice des fjords, n'y voir là encore qu'un repoussoir, une caricature trop facile à usage des ouacistes fin-de-race, un croche-patte vulgaire. La nuance, c'est qu'Eva Joly est le symbole de la fin de notre histoire, tandis que Pourria personnifie la civilisation qui prendra la place de la nôtre. Je dis civilisation sans guillemets, c'est pas mignon de ma part ça ?
Ce genre de récapitulation des évidences, de rappel de vaccin, est très nécessaire. Une génération arrive pour qui les noms d'O.J. Simpson (meurtre légal de Blanche) ou de Rodney King (représailles raciales massives légitimes) ne signifient rien. La génération d'avant, de toute manière, n'y avait pas entendu grand-chose. Trop loin, tout ça. Trop abstrait. Il faudrait, pour que la leçon pénètre les crânes les plus épais, que Pourria ait été acquittée après avoir éventré et bouffé un pâlichon à dreadlocks pour l'avoir dragouillée. Pas touche à la nouvelle race des seigneurs !
Si j'étais plus saoul, de cette ivresse exaltée qui fait croire aux belles histoires de vengeance et de justice civile expéditive, je me laisserais aller à gazouiller sur l'utilité de telles meurtrissures de l'orgueil occidental, préalables au réveil du Berserker-sous-la-Montagne. Vous connaissez ce genre de conneries : c'est un peu l'équivalent du calme des Caddies Vides avant la tempête Revolucion. Les Blancs qui se réveilleront quand ils auront été traînés plus bas que terre, violés à la chaîne dans leurs propres fosses communes, le Très Saint et Très Glorieux Retour de Manivelle, un jour ça va péter.
Mais ce soir, c'était salade et eau plate, je suis désolé.
23:42 | Lien permanent | Commentaires (9)