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29/10/2012

LES EXPERTS

L'ami Goad signale une étude en Obamanie, tendant à démontrer que les gens sont un poil plus ouacistes en 2012 qu'en 2008, malgré l'élection du premier président beige noir, et ce qu'ils en soient pleinement conscients ou non. C'est que le ouacisme, c'est un truc pas facile à comprendre, tout particulièrement si on a tendance à choper des coups de soleil.

Pour nous faire bien comprendre toutes les subtilités de notre tendance congénitale à forcer les gens plus bronzés que nous à ramasser du coton, s'est rassemblée une bien belle brochette d'experts :

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Je sais pas pourquoi, ça me donne envie d'écouter Tommy ou Quadrophenia. Doit y avoir du préjugé blanchouille là-dessous.

 

26/10/2012

VOTRE EMEUTE RACIALE, MAINTENANT OU PLUS TARD ?

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Petite recherche amusante à faire sur gougle. Il y en a visiblement qui s'attendent à ce que ça soit la merde noire si le Rédempteur Beige se fait lourder de la Maison Blanche. Soit. Il y en a bien qui pensent que la fin du monde va leur gâcher le prochain Petit Nouvel An, après tout. Reste que :

- Lesdits certains craignent un avenir qui ressemble férocement à leur présent. C'est, sinon amusant, du moins distrayant à observer, et c'est déjà beaucoup. Notons que c'est un truc assez spécifique (mais pas exclusif) aux droitards, cette tendance à avertir d'un cataclysme qui s'est déjà produit.

- Admettons que Patrack rempile pour quatre ans (ce qui, faut-il le préciser ? nous en brossera une sans faire recoiffer l'autre) : en 2016, sauf Chavezisation assez peu probable, exit l'homme que nous aimons le plus le plus sexy, le plus intelligent et le plus charismatique du siècle. Les catastrologues s'attendent-ils aux mêmes conséquences ?

24/10/2012

... ET TOUJOURS LA MENACE FANTÔME...

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Putain, faut vwément tout faiwe soi-même.

(Bureaux de la rédaction, 10h04)

- Chef ! Chef ! On en tient un !

- De quoi ! De qui ? Hein !

- Un vrai putain de crime ouaciste au Yankiland ! Une Issue-De... crâmée par des encagoulés du quuquuqulan !

- De dieu de merde ! Photo de la grognasse avant carbonisation et mille signes indignés sur la chose !

(Bureaux de la rédaction, 11h08)

- Chef ! Chef ! On s'est encore faits baiser par La Menace Fantôme !

 

Je vous vois venir. Mais à des kilomètres. Vous arrêtez de suite. Vous n'essayez même pas. Vous me rangez ces sarcasmes nazis IM-médiatement dans les braguettes glaireuses et éternellement célibataires dont vous les avez imbécilement extraites. Depuis Elie Wiesel, nous savons que la vérité factuelle n'a pas d'importance : ce qui compte, c'est ce qui pourrait être vrai et ce qui sert à édifier la jeunesse pour que Plus-Jamais-ça et Vivre-ensemble vivent heureux et aient beaucoup d'enfants crêpus. .

En l'occurrence, vous devriez la considérer comme une martyre du ouacisme, une courageuse Américaine-qui-se-trouve-être-Noire-et-alors-? qui a pris sur elle pour alerter l'opinion publique sur la banalisation de la haine et de la Dixieminartion.

Si vous, lâches toubabs, accordiez plus d'importance au ouacisme ordinaire et à la négrophobie institutionnelle, on n'aurait pas besoin de mettre en scène du ouacisme extraordinaire et secouer votre infâme apathie.

Surtout, padamalgam ! La Honte Blanche demeure, envers et contre tout, une vertu que vous DEVEZ pratiquer, un vaccin nécessaire contre la Haine que vous devez inoculer à vos moutards et vos amis. Perseverare Democraticum. Parce que sinon, vous contribuez à rallumer les fours d'Ochouitze, voyez ? C'est pas comme si vous aviez vraiment le Shoah.

Pareil pour les pisse-copies : comment voulez-vous qu'ils échappent à leur obligation d'entretenir ladite Honte Blanche ? C'est pas du tout qu'ils bandent à se la fendre en trois pour la chose, c'est juste que si, par hasard, pour une fois, c'était vrai, et qu'ils passaient à côté...

Profession fouille-merde, qu'il disait, l'autre, ne croyant pas si bien dire : c'est un boulot qui consiste à patauger dedans, à s'en mettre plein la tronche, à s'en barbouiller toute l'anatomie, en jurant que ça sent bon et que c'est excellent pour la peau. Fausse accusation de ouacisme aux USA  ? Gros délire victimaire blaque-paoueure aux USA ? Que pouic : Ouacisme aux USA, encore et toujours après le - plutôt rapide - dégonflage du soufflé.


En Démocrassie, le peuple a tous les droits, mais le peuple est bête, alors il faut lui répéter les choses longtemps et souvent pour qu'il comprenne. Reprenons donc :

Des Blancs agressent une Noire :

OUACISME

Des Blancs n'agressent pas une Noire qui se fout de la gueule du monde :

OUACISME QUAND MÊME jusqu'à ce qu'on puisse passer à

PAS GRAVE puis à

DE QUOI VOUS PARLEZ ?

Un bâtard chicano dégomme un Afro, selon toute vraisemblance en état de légitime défense :

C'EST QUAND MÊME LA FAUTE AUX BLANCS OUACISTES, SCANDALE, EMEUTE.

Deux Noirs étranglent une Blanche :

DRAME DE LA PAUVRETE, DE LA DIXIMRNATION ET DU OUACISME DES MECHANTS BLANCS


En faire un joli slam sur fond de post-jazz minimaliste et répéter en boucle toute la journée jusqu'à ce que ça rentre.

 

 

TO RID THE DISEASE

21/10/2012

ITINERAIRE D'UN PARFAIT SALAUD - Souvenirs non ouacistes, vol.3

Adolescence. Nouveau déménagement. Nouveau collège. Assez stupidement, je me suis battu pour pouvoir terminer ma scolarité obligatoire dans l'ancien, à des dizaines de bornes, où je n'ai aucun ami et où je suis fâché avec pas mal de profs. Persévérance dans l'erreur et l'ennui, va comprendre.

Dans le train, j'écoute la radio pour suivre en direct la première guerre du Golfe. La chose me fascine. L'histoire est simple, assez belle : une grande dictature envahit un petit pays voisin, qu'on imagine sympathique puisque petit. Les Américains, qui sauvent la paix dans le monde depuis un demi-siècle et ont donc l'habitude, interviennent. La grande dictature s'en prend plein la face. La télé diffuse des images en vision nocturnes, noires et vertes fluos. Des colonnes de fumées opaques s'élèvent des puits de pétrole en flammes. Tout ça est très esthétique. Iron Maiden compose Afraid to shoot strangers sur le thème.

Des histoires horrifiques circulent. L'Irak est un pays foutrement dangereux, Saddam un putain de cinglé génocidaire. Il va, par exemple, balancer du gaz asphyxiant sur l'Europe, un beau gaz bien vert et bien visible. Ceux qui n'en claqueront pas mettont leur masque, et là paf ! ce salaud rajoute un gaz vomitif inodore et incolore : les survivants crèveront dans leur gerbe. Terreur. Le petit supermarché de la plus grosse bourgade est pris d'assaut, les gens stockent du sucre et de la farine. C'est la guerre jusque dans la cambrousse vaudoise. De l'autre côté de la flaque, l'Amérique aussi est en état de siège. Poison Idea annule sa tournée par trouille des détournements ou destruction d'avions.

Un matin, pas très réveillé, je suis si concentré sur les infos que je m'assieds au hasard dans le train, et me prends une prune pour défaut de billet première classe. Tout ça pour que dalle. En complète dégringolade dans pratiquement toutes les matières, j'échoue aux examens finaux. Il va falloir redoubler dans mon nouveau bled. Je passe du Gros-de-Vaud à la banlieue lausannoise.

Première rencontre avec la Diversité. Il y a de tout, mais surtout des Italiens, des Portugais, des Espagnols. Des Turcs aussi. Quelques visages très foncés. Beaucoup écoutent ce rap qui semble débarquer fraîchement sous nos latitudes. Sa laideur, sa stupidité, son étrangeté me heurtent, hostilité radicale dès les premières écoutes. Sont-ils des cons pour s'enfourner une telle chiasse dans les oreilles ? Pas vraiment. Quelque chose me dit que je ne peux pas vraiment les comprendre, on n'est pas exactement pareils, c'est leur truc, on s'en fout. Je retourne à Maiden, seul à écouter ce genre de choses.

O. est espaga, noireaud, poilu, déconneur, grand connaisseur en porno, grand fan de ce qu'on n'appelle pas encore hip-hop. Ce jour-là, il tire un peu la gueule. Je demande pourquoi. L'air profondément lassé, il m'explique une histoire de permis à renouveler, pour lui et toute sa famille. Què permis ? Je n'ai pas besoin de cette connerie, moi, comment se fait-ce ?

Pourquoi le gouvernement et la bureaucratie font-ils chier O. avec de la paperasse ? Je n'y vois que tracasserie administrative, mesure vexatoire. Il ne faut pas emmerder les gens "juste" à cause de leur nationalité, c'est n'importe quoi. Si je connaissais le terme, je parlerais de discrimination, avec dans la voix un mélange ostensible de dégoût, d'agacement et d'incompréhension vertueuse. Il y a quelque chose de pourri au royaume d'Helvétie.

A cette époque, pas du tout politisé, du moins consciemment, j'ai déjà assimilé l'idée que nous sommes dirigés par des gens tristes, gris, sécuritaires, de droite, qui se plaisent à persécuter les étrangers par ce genre de lâche et futile biais. Je ne sais pas d'où je sais ça. C'est simplement une évidence : les puisants sont riches, xénophobes, droitards, ils ont une vie de merde qu'ils occupent à emmerder les immigrés.

Quand éclate l'affaire des fiches, cette conviction n'est que renforcée. Quand Ruth Dreyuss débarque au Conseil fédéral - évidemment une grande et belle nouvelle - je blague sur les autres Sages qui doivent se retenir de la traiter comme une secrétaire et lui demander d'apporter des cafés. Ces vieux machos, comme ça doit les faire chier ! C'est bien fait.

Un an plus tôt, des gonzesses organisent une "Grève des Femmes". Nos parents, braves intellos gauchistes, y entraînent toute la famille. Souvenirs confus de l'événement. Beaucoup de parlote. Des sketches aussi, peut-être. Je gueule, ravi, des slogans dont le sens m'échappe : ça semble être monstre provocateur, et en même temps très juste, légitime, moral, cocktail jouissif pour le gosse qui prend ses repères dans la société, pétri de ce bon vieux paradoxe d'être le primus inter pares.

Père fait quand même une remarque amusée sur le fait qu'il y a, dans l'assemblée, beaucoup de dames qui aiment manifestement les dames. Mère n'aime pas, fait une remarque aigre sur ce genre d'observation, manifestement "déplacée". Là non plus, je ne pige pas. A quoi voit-il ça ? En quoi est-ce important ? N'empêche que la chose me travaille, c'est un détail qui vient un peu gâcher cette fête infantile. J'aimerais ne pas avoir connaissance de ce fait. J'aimerais que nous soyons tous réunis, entre gens de bonne volonté, par une noble cause, et pas pour des histoires de cul plus ou moins glauques.

C'est encore l'époque où je sais qu'en tant que mec, je dois faire des efforts envers les gonzesses, et qu'en tant que Suisse, je dois être coulant avec les étrangers. Nos dirigeants sont de tristes enflûres, mais dans l'ensemble, notre société va bien, quelques broutilles à corriger, scories du passé destinées à la poubelle, qui traînent encore là par la paresse ou l'incompétence d'une minorité. On ne m'a pas encore expliqué que les choses sont beaucoup plus graves que ça, que cette niaiserie souriante est très insuffisante, qu'il n'y a pas "quelque chose de pourri", que tout est pourri, et que c'est la faute aux gens qui ont ma gueule. Avant seize ans, tout ça sera devenu très clair. Entre la fin du collège et le début des études secondaires, les doses de Honte Blanche administrées vont être massives.

A suivre

16/10/2012

THE CASE FOR WHITE IDENTITY

13/10/2012

TA PEAU SERA TON UNIFORME

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... et si tu veux déserter, va falloir te faire écorcher. Ca tombe bien : plein de gens qui n'ont pas ton taux de mélanine ont du temps libre, des couteaux qui coupent et une grande envie de te rendre service.

Si le règne de l'homme blanc en Occident voire dans le monde est arrivé à son terme, comme l'affirment les intellectuels et les progressistes, et n'est pas un fantasme dérisoire de petit bourgeois déclassé, en quoi devrais-je me réjouir ?

D'où vient cette joie mauvaise, cet orgasme moral que les commentateurs éprouvent face à cette destruction de toute une culture ? 

"La justice" n'est pas un argument suffisant, il est abstrait, théorique. Quand on l'applique, il entraîne des conséquences très réelles et déplaisantes, à commencer par la substitution ethnique, la repentance héréditaire obligatoire, le métissage de masse organisé par les forces coalisées du marché, de l'Etat et du spectacle. Il n'est possible d'acclamer cette guerre contre l'héritage européen millénaire que pour deux catégories de personnes : les non-Blancs qui espèrent en profiter directement, ou les "Blancs" qui "ne se prennent pas pour tels", qui veulent surpasser cette partie de leur identité, qui la minimisent, qui la nient, la méprisent, la vomissent. Mais pour tous les autres qui n'ont pas de tels problèmes personnels ou familiaux, participer à ce simulacre de correction des erreurs passées et de redressements des torts coloniaux ou ouacistes, le choix est tragique : le reniement ou la disparition.

Si j'accepte qu'une partie plus ou moins considérable de mon identité individuelle est rattachée à l'histoire de l'Europe, alors je suis le grand perdant de l'affaire. C'est normal, bien fait, un retour de manivelle de l'Histoire ? Possible en théorie : en pratique, c'est inciter la victime d'un viol à se détendre et collaborer parce qu'elle l'a cherché, quelque part, sans qu'elle s'en rende bien compte. C'est expliquer aux descendants d'esclaves qu'ils n'ont qu'à encaisser leur propre histoire, parce que si leurs ancêtres ont été vaincus, c'est qu'ils étaient plus faibles, mal organisés, pas assez intelligents ou solidaires ou combattifs, et que de toute manière l'Histoire leur a, à l'époque, donné tort. C'est refuser d'appliquer aux colonisés actuels les principes de justice universelle, de compassion pour les vaincus et de défense des cultures autochtones dont les progressistes et les intellectuels font bénéficier quiconque n'est pas Blanc et a souffert d'une manière ou d'une autre par la faute d'individus ou de groupes constitués majoritairement de Blancs.

Cette logique tordue, malhonnête, d'une colossale mauvaise foi, ne tien que par l'application, le plus souvent inconsciente, d'un principe auquel rien ne permet de déroger : Blanc mauvais, non-Blanc bon. Ce qui nuit à l'un est toujours digne de soutien, ce qui nuit à l'autre doit toujours être dénoncé. Ce qu'on véritablement accompli les Blancs dans leur histoire n'importe pas directement : tout doit être prétexte à justifier leur détestation et structurer leur humiliation, leur attrition. Et si je me retrouve, par le hasard de la biologie, dans ce nouveau camp des perdants, cette morale insane me commande d'accepter mon sort avec le courage du martyr qui sait se sacrifier pour une noble cause. Mais je ne crois pas à la noblesse de cette cause, je ne crois pas à la pureté des intentions de ses propagandistes.

Je ne veux pas accepter une punition collective que j'estime ne pas avoir mérité par mes actes, ni les miens ni ceux de ma famille, de mes proches, de mes semblables. Je ne veux pas accepter de "ne pas me prendre pour un Blanc" si c'est pour combler ce vide par des miettes de socialisme, ou si ça mène, comme c'est si manifeste, à se prendre tôt ou tard pour un juif, un noir, un musulman, ou un adepte misérable de la première secte venue.

La nature humaine a le plus horreur du vide, et une blessure identitaire doit toujours être guérie par n'importe quel moyen, il faut toujours "se prendre" pour quelque chose, sans quoi on devient un zombi consumériste, un toxico, un non-individu. Les progressistes le savent parfaitement : ils "se prennent" pour des individus "émancipés" de leurs racines ethnoculturelles, ils estiment avoir découvert une "vérité" qui les met au-dessus de la plèbe de leurs ex-semblables, ils pensent faire une oeuvre morale en contribuant à salir et humilier la culture européenne, mais ils le font lâchement parce qu'ils ont renié leur appartenance à cette culture, ils s'en font les bourreaux volontaires, dans l'espoir de survivre à cette mise à mort. Ils appellent rédemption leur trahison.

Les rares Blancs qui vont au bout de cette haine de soi n'ont pas leur arrogance, ils aspirent à la flagellation, ils s'agenouillent devant le Divers Inconnu, ils jouissent de leur propre suicide identitaire, mais ils font profil bas le reste du temps, ayant ingéré, digéré, assimilé la conviction qu'ils sont, de par leur nature elle-même, intrinsèquement mauvais, partie intégrante d'une lignée coupable de ouacisme et de colonialisme. Les moralistes et les puritains ne prennent pas sur eux leur part de culpabilité : ayant renié leurs origines, les ayant remplacé par un patchwork de tiers-mondisme et de maoïsme en lambeaux, ils estiment être à l'abri des accusations. Ils pensent que, pour plaire à Monsieur Divers, il suffit de "ne pas se prendre pour un Blanc" - alors qu'à ses yeux, ils ne sont que cela. Il

n'y aura pas de fraternité universelle une fois que l'identité blanche et l'héritage européen auront été détruits, ils ne constituaient pas l'obstacle incompréhensible et scandaleux à l'harmonie mondiale et la fraternité humaine. Ces choses-là n'existent pas, personne n'en veut, sauf des individus hallucinés qui ont renoncé à leur appartenance ou qui la considèrent comme une tare héréditaire. Après l'Europe et l'Occident, il y aura la domination du clan, de la tribu, de la secte, du tyran, et personne, du côté de la matraque, n'aura quoique ce soit à foutre de ce pour quoi vous vous prenez : votre gueule sera votre passeport, votre peau sera votre uniforme. Parce que c'est tout ce qui demeure quand le blabla et les théories s'évanouissent. Or l'intelligence décline et les nouveaux arrivants ne lisent à peine ou s'ils lisent, ils n'ont qu'un livre à la maison.

Un semblant de stabilité sociale, vernis par une triple couche de propagande, une polytoxicomanie massive (porno/crédit-conso/THC/coke/poker) et la stupéfiante molesse d'un Occident qui encaisse les
chocs comme s'il espérait épuiser ses ennemis par sa passivité comateuse, laisse croire à beaucoup trop encore que ces questions sont idéologiques, doctrinaires. Elles sont au contraire basiques, animales, primaires. Il ne s'agira pas de choisir un "camp", mais de ne pas se faire bouffer par des cannibales.

On ne choisit pas son ennemi, c'est lui qui nous choisit, et lui servir délibérément de kleenex humain ou d'esclave transi d'amour ne suffira à rien du tout, à part exciter sa haine, son mépris et son dégoût. Etudier l'histoire et les méthodes de la Fraternité Aryenne, ce n'est pas plonger dans l'obscurité de la haine  sectaire d'une poignée de malades, ni faire un mythe exaltant à mettre sur le même plan que Charles Martel ou Rodrigo Díaz de Vivar. C'est prendre un peu d'avance sur ce qui nous attend tous sur nos propres terres.

09/10/2012

L'INNOCENCE EST LA PREMIERE VICTIME DU SPECTACLE

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Le spectacle, c'est le viol de toute dignité. La surmédiatisation, le flux constant des brèves, l'info jetable, c'est la privation de la saine ignorance péouse, qui ne sait pas ce qu'il se passe dans la grande ville et s'en porte admirablement.

Il y a quinze ou vingt ans, disposer de certaines informations, c'était le signe d'une appartenance à un groupe spécifique, à qui elles s'adressaient, et dont l'en-dehors pouvait sereinement se foutre, sans avoir l'impression d'être largué. Mieux encore : savoir des choses de milieux qui nous indifféraient ou nous répugnaient passait vite pour de la connivence, de l'hypocrisie. Il était normal pour un mec moyen de savoir assez peu de choses de la vie amoureuse de Tom Cruise, pour ne prendre qu'un exemple. Aucun intérêt personnel ? Alors aucune recherche entreprise pour en savoir plus, merci bien.

Comparez avec la situation actuelle : vous avez beau ne pas VOULOIR savoir qui est Pourris Hilton ou Kim Kardàchier, vous n'avez pas le choix. A un momen ou un autre, en quelques secondes de zapping ou de visite d'une page internet, l'abomination vous a sauté aux yeux et a laissé une trace de freinage dans votre mémoire que rien ne peut torcher de l'outrage.

Vous ne voulez rien savoir des frasques gerbatoires des saltimbanques cosmopolites, mais le bruit et l'odeur qu'ils dégagent sont amplifiés jusqu'à résonner dans les cambrousses les mieux préservées. Rien à foutre du dernier James Bond ? Vous savez pourtant qu'on l'y voit boire de la bière au lieu de son coquetèle préféré et que les puristes s'en déchirent les joues de rage. La simple évocation de Lady Cracra vous attaque au niveau de la vésicule ? Faites des stocks de tisane d'absinthe parce que le pauvre organe va déguster, l'immondice vertical vous guette à chaque coin de rue.

L'encerclement est total. On vous impose des informations que seuls des cas sociaux AOC devraient ramasser par terre. L'odeur de pisse vous révolte ? Le Spectacle vous traite comme un soupeur, en vous fourrant dans la bouche une ration de  baguette qui a trainé dans une cagoince publique tout un week-end de fête de la bière.

Pas moyen non plus d'échapper à des polémiques et des débats humiliants de stupidité. Reprenons l'exemple des deux radasses évoquées plus haut : le simple fait de concevoir à leur égard des projets d'écorchement vous classe dans la catégorie des gens qu'elles "cherchent à choquer pour provoquer le buzz", comme vous l'expliquent les peopologues - catégorie de puritains archaïques opposée à la meute des sous-merdes décérébrées qui, à l'inverse, les adule et veulent imiter leur inepte "plan de carrière" warholien.

La seule attitude digne et raisonnable serait d'ignorer la chose, de pouvoir se prévaloir d'une complète ignorance de ce dont on vous parle. Mais pas moyen : vous avez reçu en pleine gueule votre dose individuelle de diarhée spectaculaire, et il vous faut décider entre les deux attitudes qu'on attend de vous, à savoir le scandale ou l'adulation, deux pôles complémentaires du "buzz" qui alimente le dispositif mondial  d'arrosage automatique de merde liquide.

HAINE CHIMIQUEMENT PURE

06/10/2012

SPECTACLE

Toute la presse francophone soutient la candidature du black muslim de Chicago. C'est un fait. Et ça ne doit pas être hyper-confortable, par rapport à l'orgie Y a Bon de 2008. Le type est planté tel un gode noir beige dans le cul frétillant des banques, son bilan est inversement proportionnel aux attentes folles placées sur ses maigrichonnes épaules, il a poursuivi et amplifié les guerres lancées par son prédécesseur, reconduit et renforcé l'immonde et mal nommé Patriot Act, plus pourrave est imaginable, mais il faut aller chercher du côté du Libéria.

Reste qu'il faut le soutenir quand on est journalope ou éditorialiste, parce que dans ce milieu, comme partout ailleurs dans l'Occident des dernières années avant sa disparition, tout n'est qu'apparence. Avoir l'air de vaut plus cher et mène plus loin qu'être. Le faux-semblant fait "plus vrai" que le vrai. Faut du clinquant en permanence, quand bien même on s'émietterait comme un lépreux en plein pogo.

Double étranglement pour le progressiste : il doit publiquement soutenir Obama, parce que ne pas le faire donnerait à penser qu'il a quelque chose contre ce bel Homme de Couleur, ce qui serait ouaciste. Mais il ne peut pas non plus se contenter de l'idolâtrer pour son beau hâle nutella : ça passait du temps de Sartre et Miles Davis, mais les moeurs se sont si considérablement ramollies que la négritude et le blaquepower mettent mal à l'aise les plus enthousiastes partisans du génocide blanc. Faut y mettre les formes, du glamour, du bling2, sinon ça la fout mal. Parce que détester un Noir pour sa couleur, ça fait nazi, mais avoir des pertes blanches spontanée pour la même raison, même pour un intellectuel-de-gôche, c'est un peu limite bobet. 

Voilà comment, après avoir dégueulé sang et chiasse face à l'épisode I et II de l'administration Bush Jr, on en vient à plébisciter l'épisode III et bientôt IV, encore plus graveleux, simplement parce que l'acteur principal à changé de fond de teint. Et ça se permet de railler les blogueuses mode.

 

04/10/2012

ITINERAIRE D'UN PARFAIT SALAUD - SOUVENIRS NON-OUACISTES, chap. II

Collège. Gros-de-Vaud. J'y débarque, d'un trop petit village pour être citadin et trop grand pour être encore campagnard. Ne m'y ferai pas vraiment de potes: mieux vaut être né sur place et avoir grandi avec les mêmes types depuis treize ans pour espérer faire partie d'un cercle quelconque. Et puis, ce n'est pas comme si j'avais le contact facile et un grand amour des humains. Une période d'ennui racornissant, imbécile et stérile, sans grande douleur ni grande joie. On se familiarise avec la Zone Grise.

Population allogène : 1% ? Même pas. L'accent vaudois est épais, les expressions pur terroir omniprésentes - ou bien ? Un bronzé très bronzé, au prénom biblique. Problèmes de discipline à répétition. Peut-être aussi peu de potes que moi. Drôle de dégaine. Persécuté, mis de côté, ouacistisé ? Pas vraiment. Chacun prend acte de sa Diversité, qu'il ne viendrait à personne l'idée biscornue d'ainsi baptiser. Le type est bizarre, mais tant qu'il ne fait chier personne... D'ailleurs, même s'il fait chier tout le monde...

* * *

Soirée de classe chez l'un d'entre nous. Ma première bière, peut-être, une Tuborg, que je descends en une heure en grimaçant de déplaisir. Tout le monde sirote un peu, ambiance crispée d'une assemblée de gamins très anxieux de montrer qu'ils s'amusent et qu'ils sont décontractés. Notre exotique est là, lui aussi, qui picole comme un furieux. Le voilà qui rejoint un petit groupe assis sur le canapé, s'assied à côté d'une demoiselle, l'oeil vitreux. Pose doucement sa tête sur son épaule. Approche de drague muette et sans ambigüité ? Niet. Il lui dégueule dessus.

Emeute. Piaillements. Odeurs. Différent s'étale par terre, il ne bouge plus. Le terme effrayant de "coma éthylique" circule de murmure en murmure. Aucun adulte parmi nous pour gérer la situation. Putain, on fait quoi ? A quatre, nous embarquons le cadavre, qui semble peser un quintal malgré sa chétive charpente. Il finira dans la baignoire, arrosé de flotte. Seul à ne pas être trop incommodé par les effluves, je me tape le nettoyage du cuir.

Si personne ne s'attendait à un tel épisode, personne n'a été surpris que ça lui arrive à lui. Sans qu'on puisse mettre de tels mots sur notre conviction, le type allait visiblement mal, cherchait la merde, pratiquait l'autodestruction avec constance. Son décalage esthétique avec nous collait avec ce mal-être viscéral. C'était comme ça. Ni scandale, ni pitié, ni moqueries excessives. Différent était différent, se comportait différemment de nous. Constat. Affaire classée. Un Politkommissar contemporain y verra un concentré de haine ouaciale. Aucune haine en nous pourtant. On l'aurait laissé crever dans sa gerbe, autrement, non ?

* * *

Cette acceptation animale, décontractée, souriante de la Diversitude, et le réflexe viscéral de nous en tenir à distance, faisait surface à chacune de nos rencontres avec elle. Nous apprenons qu'il existe un pays plein de Noirs qui s'appelle Burkina Faso - pourquoi deux noms pour un seul pays ? -, qu'on y crève la dalle, qu'on y a besoin de sous pour construire des puits et des écoles. Fort bien. Nous serons donc mis à contribution. Il faut récolter du pognon par diverses actions. Nous nous acquittons de la chose avec la même mauvaise grâce paresseuse que n'importe quelle obligation scolaire. L'Afrique, c'est loin. C'est différent. Ca ne nous inspire aucun sentiment, ni bon ni mauvais. Nous n'avons aucune raison d'imaginer ses habitants plus sales, cons ou violents que les gens du village d'à-côté. On s'en fout joyeusement, c'est tout.

Cette joie innocente, brutale, sans malignité aucune, elle se manifeste en nous par des traits d'humour idiots. Quand débarque une délégation d'Africains venus récupérer nos pauvres picaillons, les plus comiques d'entre nous déclenchent l'hilarité générale en disant que ça ne leur paiera même pas le billet de retour. Ce n'est pas leur ethnie qui nous fait pouffer, c'est leur pauvreté, le décalage manifeste de leur quotidien avec le nôtre, puisqu'ils viennent solliciter notre aide, à nous, gamins dont la fortune hebdomadaire doit correspondre à celle d'une de leur cases.

Nous ne leur lançons pas des bananes, nous ne poussons pas des cris de singes, nous ricanons comme des boutonneux, puis repensons très rapidement au cul des filles, au coca, aux films violents qu'on n'a pas le droit d'aller voir seuls, aux dernières nouveautés en matière de jeu électronique. Discrets dans la raillerie, nous ne nous faisons pas sermonner par le corps enseignant. Nous ne pensons donc pas à mal, ni n'avons l'impression d'être d'ignobles dégueulasses colonialistes.

Pas encore. Question de temps.                                                A suivre.

* * *

 

MAIS POURQUOI VOUS POSEZ CETTE MECHANTE QUESTION ?

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“There are good reasons not to identify the attackers by race. It’s the newspaper’s sound general policy not to mention race in a story, whether about crime or anything else, unless it has some clear relevance to the topic. My question to readers accusing us of political correctness is: Why do you care so much about the attackers’ race? If you fear or dislike blacks, I suppose it would confirm your prejudice. But otherwise, it tells you nothing useful.”

Les autres pépites et l'implacable démonstration chez l'indispensable Those Who Can See.

01/10/2012

CONTRE-ATTAQUE EN DENTELLES

Si "l'autre" est meilleur, il ne peut pas être raciste. L'homme occidental est le seul  bourreau tandis que l'"autre" est forcément la victime. C'est le dogme anti-raciste professionnel qui existe depuis le choc médiatique de la Shoah au tournant des années 70. Ce prêt-à-penser a conduit à la trahison du véritable anti-racisme par des associations anti-racistes professionnelles souvent inféodées à l'extrême-gauche. Ces dernières sont borgnes. Elles ne voient que le racisme des occidentaux, qui existe bien sûr, et occulte le racisme équivalent des orientaux. Le racisme est malheureusement la chose la mieux partagée du monde. On pourrait citer des exemples historiques occultés, comme la traite des esclaves barbaresques. Le véritable anti-racisme ne saurait avoir d'œillères. C'est cette hémiplégie intellectuelle qui empêche de traiter certains sujets, comme le racisme anti-blanc.

 

 

Il n'y a pas, il ne peut pas y avoir de "véritable antiracisme".

On peut choisir de ne pas tenir compte de l'origine et de l'hérédité des individus ou des groupes, on peut refuser le principe de persécuter les gens à cause de leurs ancêtres réels ou fantasmés, et reconnaître à tout le monde le droit à une certaine dignité, qui dépend avant tout de leur COMPORTEMENT.

Sera respecté qui se montre respectable.

Cette attitude n'est pas "antiraciste", elle est "a-raciste" : elle ne s'oppose pas frontalement au ouacisme, elle s'abstient de juger et refuse de persécuter. L'antiracisme "vrai", tel qu'il existe et tel qu'il est pratiqué concrètement depuis plus d'un demi-siècle, c'est une entreprise de démolition de la dignité blanche, une persécution intellectuelle, morale, culturelle, historique, esthétique de l'identité européenne. Un antiraciste est un homme qui hait les Blancs, pour qui tous les toubabs sont des nazebroques en puissance, à (ré)éduquer dès les premiers mois d'existence pour s'assurer qu'ils ne  feront jamais de peine à un petit Divers.

L'athéisme, ce n'est pas l'anticléricalisme. Les mêmes blaireaux tendent à faire la même confusion, hélas. Le dégoûtant troupeau rassemble aussi des gens pour qui le "vrai communisme" n'a jamais existé et ne doit donc pas être jugé sur pièces (à l'inverse, le fâschzscÿsme et le national-socialisme tels qu'ils ont existé sont les seuls vrais possibles et doivent être condamnés comme tels, voyez ?)

Il n'y a R I E N de moral à être antiraciste, de même qu'il est antihistorique, anachronique et mongolien de considérer Adolf Hitler comme une monstruosité unique du parcours humain. On n'a "le regard de la connaissance" que du moment qu'on peut l'envisager sous le même angle qu'un Bonaparte, un César, un Charlemagne, voire un Tamerlan si on a vraiment le goût des récits de massacres pratiqués comme une forme d'art (lire les lignes enivrantes qu'écrit Benoist-Méchin dans A destins rompus).
 
Nous devons le dire et le répéter à toute personne de notre entourage dont l'entendement n'a pas été irrémédiablement étronifié. Craindre le fantôme de l'ombre d'Adolf, ou s'enchier les chaussettes à l'idée de boire en public la même marque d'eau minérale que lui, c'est le propre des trépanés volontaires. Quiconque ne considère pas le mongolisme comme une philosophie-de-vie enrichissante n'a pas à entretenir de telles trouilles infantiles. Foutez la honte à qui s'y hasarde quand même par confort intellectuel.
 
 
* * *
 
Admettons qu'Ongles-D'or, cité ci-dessus, ne pose là que des principes universels, histoire de dire ce qui devrait être dans un monde parfait. Quand bien même il aurait raison, notre situation, à nous autres pâlichons sans valeur talmudique ajoutée, ne nous permet pas le luxe de telles précautions oratoires et  autres raffinements philosophiques. Nous avons face à nous des hordes de métèques aussi hostiles que fertiles qui nous contestent notre territoire, assistés par des légions de traîtres à qui la peau blanche est ce que l'étoile jaune était aux SS (et hop ! moi aussi je peux faire dans l'allusion lourdingue, pas compliqué). Une position salomonesque, équilibrée, n'est tout simplement pas à notre portée.

 

Quand on est attaqué, quand un ennemi halluciné nous conteste jusqu'au droit de vivre paisiblement sur nos terres selon nos moeurs, on ne prend pas de gants, à part des gants plombés. UNE FOIS ET UNE FOIS SEULEMENT que l'ennemi sera exterminé et que les hordes métèques seront  refoulées loin du "limes", alors nous pourrons nous amuser à être justes, à trier le bon grain.

 

 "Un temps pour la guerre et un temps pour la paix". Nous ne sommes pas en temps de paix.

 

Nous n'avons pas à exiger que "tous les ouacismes" soient condamnés - et par quelle autorité supérieure, d'aileurs, par quelle entité qui échappe à sa propre identité ethnoraciale?
 
Il faudrait pour cela un dieu auquel nous ne croyons pas.

 

29/09/2012

ISLAMOPHOBIE : ASSEZ !

Putain ! ENCORE un film ourdi par les studios de satan au Yankiland qui tente de faire passer nos Frères Humains allahkbaristes pour des clowns dérisoires ! Indignons-nous ! Assez de caricature imbécile ! Non à la désinformation, à la propagation des peurs irrationnelles et à l'abus de la liberté d'exprès-Sion !

 

(Pompé chez Nanarland)

27/09/2012

'A BADGE I WILL WEAR WITH PRIDE'

What happened to us? When did we lose our will to survive as a proud and unified people? (...) Our immediate ancestors would have been rioting in the streets long, long ago.Can it really be because we are afraid of being called a word? Are we really so frightened of being called “racist” we are prepared to allow our children and grandchildren to inherit Hell On Earth? If defending your people, your culture, your country and your very civilisation apparently makes you a racist, then it is a badge I will wear with pride.

26/09/2012

DES MIETTES AUX CREVARDS

Crevarde et affamée comme un taulard en cavale, la réacquitude d'ex-France va faire un triomphe au numéro d'imitation de Copé. Bravo M. Copé ! Merci M. Copé ! Votre Altesse est bien bonne et bien courageuse d'enfin "briser le tabou" de nos souffrances à nous aut' ! La putasserie, la malhonnêteté, le caractère "positionnement sur le marché politique" de la démarche passera comme un doigt bien vaseliné.

C'est assez brutalement humiliant. Faute de grives, de merles, de piafs et de guano, Monsieur Faf se nourrit des miettes moisies que les faux conservateurs lui balancent ça et là. Et Monsieur Antifa, toujours aussi con et doctrinaire que du temps d'Oncle Jo et du Président Mao, se précipite à sa suite dans le même panneau, mais cul en avant, histoire de bien marquer son opposition. Scandale ! Danger ! Heures Sombres !

Ecrasante lassitude.

BOUCLIER HUMAIN A ETOILE JAUNE

Beaucoup de gens qui se disent degoche n'ont pas besoin d'être musulmans pour s'inquiéter très vigoureusement du bien-être et de la joyeuse humeur desdits musulmans, assez peu regardants eux-mêmes des chimères homophiliques, vaginistes ou laïcardes desdits degoches. C'est normal : le degoche a souvent la glande à compassion qui éjacule spontanément au contact de toute forme de Diversitude un peu répugnante.

De même, beaucoup de gens qui se disent dedrouate et catholiques semblent très anxieux du taux de dopamine des juifs, chez qui l'horreur de l'anticatholicisme se manifeste le plus souvent par un silence qu'on suppose bien sûr indigné. Ainsi, le sieur Rioufol, tout en passant un coup de brosse aux "Français musulmans, engagés dans un processus d’intégration encore fragile pour une partie d’entre eux"  - savourez-là bien, celle-là - égratigne "l'islam politique", "une idéologie authentiquement totalitaire et anti-juive".

On dira que, depuis un siècle ou deux, Monsieur Talmlud  se montre moins prompt que Monsieur Coran à brûler des bagnoles, égorger de l'infidèle ou faire tourner de la salope koufar. C'est possible mais ça reste un peu court pour justifier un si grand amour. Ne serait-ce qu'une question de style ? Allez donc expliquer que le culte des morts ochvitzois vous hérisse autant que les allahakborborygmes des barbus en jupe ! Entre le jihad enragé et la suave mise à mort sociale et professionnelle, je suis pas sûr de vouloir choisir.

Chez les dedroites, pas de telles pudeurs. De toute évidence, l'usage et les bonnes manières commandent de s'emballer dans des bouts de rabbins pour se sentir en droit de répondre (et encore ! avec quelles délicatesses !) aux aboiements glaireux de l'imam. L'Ennemi de mon Ennemi, plus qu'une hypothétique alliance de circonstances, mériterait donc un supplément de câlins, d'autant plus gratuits qu'il ne rend jamais la pareille et profite de l'accolade pour te cracher dans le cou.

Sans la Grande Culpabilité Blanche, l'islam en Europe pèserait à peine plus que la scientologie ou les plaisanteries raéliennes. C'est la trouille d'être Soi qui pousse à la reptation aux babouches de l'Autre. Rappelez-moi : ces quarante dernières années, pour écrabouiller l'identité européenne décomplexée, on a agité quoi comme épouvantail ? Le Croisé ou l'Obersturmführer ?

Je néglige sans doute le fait que la droite, c'est le désintéressement, la générosité et la chevalerie, mais je maintiens que lorsqu'on est confronté à deux sectes qui tiennent l'indispensable cochon en si piètre estime, l'attitude raisonnable, lorsque la mise en perpétuelle quarantaine n'est pas techniquement possible, consiste à prendre l'une par les pieds pour assommer l'autre.

23/09/2012

ADOLF ET DES GODES

Juste en passant, je note que le programme de Planète ce soir était :

20h45 : Comment Adolf n'a pas gagné la guerre (ouf!)

21h45 : Comment Adolf a perdu la guerre (hourrah!)

22h40 : Comment vivent les enfants des copains d'Adolf (snif!)

00h05 : Des filles qui se branlent (bave!)

Euh...

nazidildo.jpg

MON PC (personnel computaire) N'EST PAS P.C. (politikli cowekt)

Vous saviez déjà qu'il fallait se méfier du ouacisme dès les premières heures de la vie du nourrisson blanc (chez les autres, il faut se préoccuper des dixirminations qu'ils subissent in utero). C'est bien. Mais êtes-vous assez civico-vigilants pour traquer le bacille hitlérien (génuflexion - flagellation - crachat - gousses d'ail) dans votre ordinateur ?

(J'aurais voulu coller la belle image ici comme un grand, mais pas possible de convertir de PNG - quelle idée, aussi !? - en un beau JPG bien lisible)

LE RIRE JOUISSIVEMENT CON DU DIMANCHE MATIN

- Plus fort ! Plus fort !

 

- D’accord, d’accord !

 

- Comme ça ! Voilà ! Comme ça !

 

- Hun hun.

 

- Plus fort ! Défonce moi !

 

- Hun hun hun.

 

- Allez, allez !

- Hun hun hun hun hun ! Ah ! Ah ! Roarghhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Crrajofejoefjioefjoefef ! Aaaaaaaah ! Poutine ! Aaaaaaaaaaaaaaaah ! Raaaaaaaaaaggghhhhhreeeeuuuggghhhh ! Pinochet !