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05/06/2012

ZOMBIES : ENCORE UNE FAUSSE ALERTE

Les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies, agence gouvernementale américaine, se sont sentis obligés de signaler au Huffington Post que les récentes affaires de cannibalisme aux Etats-Unis ne sont pas à mettre sur le compte d'une épidémie de zombification. A leur connaissance, "aucun virus ne réanime les morts". 

Voilà voilà. 

J'ai beau chercher, je ne trouve pas de commentaire pertinent à la hauteur d'une telle information. Il faut peut-être que je vérifie que mon pouls bat toujours et si je ne ressens pas une étrange envie de manger de la cervelle. 

Dans le même temps, toujours au stazunis, il est également de bon ton de continuer à croire et affirmer que si les Noirs sont plus souvent en prison que les Blancs, c'est parce que le système judiciaire est contrôlé en douce par le Klan, et que les comportements absurdes, meurtriers et autodestructeurs de certaines minorités s'expliquent avant tout par le manque de moyens financiers et d'éducation. Alors au point où on en est, pourquoi pas envisager la piste vaudou ?

A partir du moment où on franchit le pas de nier la réalité, il n'existe pas de limite objective calculable au déni et délire collectif. 

03/06/2012

GUERRE EN DENTELLE ET GUERRE TOTALE

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Zemmour saqué à RTl, on s'en émeut jusqu'en Chuiche. Dans Le Matin de ce dimanche Despot dénonce le danger liberticide de la gauche au pouvoir. Sur la même ligne, Decaillet s'était déjà formalisé quelques jours plus tôt.

Mais il n'est pas question de "liberté", il n'est question d'aucun principe universel, d'aucune "dérive" au sein d'une société stable où l'essentiel va bien sans qu'on se pose la question. Il est question d'un point de détail (j'aurais pu m'empêcher, oui) de l'histoire de la Troisième Guerre Mondiale, celle que les Epurateurs mènent aux Européens et descendants d'Européens partout sur le globe.

Oui, je ne vais pas très bien dans ma tête, mais non, je ne fais pas de Zemmour un combattant de la cause européenne. Je dis que même un Peuplélu qui se hasarde à faire la fine bouche sur certains éléments du discours antiblanc peut se prendre un coup de règle sur les doigts. C'est aussi arrivé à un Dieudonné, que son métissage - que nos Correcteurs devraient d'ailleurs rebaptiser  "haute valeur raciale ajoutée" - et des années de loyaux services n'ont pas protégé de la mise sur la touche. Comme quoi, si le recours systématique à la Race Card ne vous convainc pas toujours, vous n'êtes même pas sûrs de pouvoir la jouer à votre avantage le cas échéant... On pourrait y voir une forme de "jurisprudence Zimmermann", cette alchimie ethnologique stupéfiante qui peut transformer en une seule nuit un bâtard chicano en "latino blanc".

Selon que vous nuirez ou non à l'éviction des toubabs, les jugements de cour vous rendront littéralement blanc ou noir. 

Les "valeurs" dont se réclament les castrateurs du langage, les assassins de la VRAIE mémoire - la nôtre, pas celle de sectaires monothéistes shoahmaniaques - et tous les maîtres-censeurs NE SONT QUE DES OUTILS pour imposer leur pouvoir. Ils ne croient pas à la liberté, à la tolérance, à la diversité. Ce ne sont là que pieds-de-biche médiatiques pour désarmer l'adversaire, pour le forcer à ne pas se défendre quand ils l'attaquent. Entre les mains dudit adversaire, ces outils de chantage affectif deviennent subitement mauvais, fragiles, "détournés", cyniquement manipulés etc. 

Je ne suis pas d'accord avec votre identité et je me battrai jusqu'à la mort pour qu'elle disparaisse. Les voilà, vos Voltaires modernes. 

Ne leur reprochez pas leurs incohérences : ils sont au contraire d'une implacable rigueur, si l'on ne s'arrête pas à la surface, aux bruits de leurs vesses de bouche. Ils ne prêchent la tolérance, le relativisme, la décadence, l'ouverture que pour les EFFETS NEFASTES que ces choses entraînent sur une société qu'ils haïssent et qu'ils veulent renverser. C'est l'histoire de toutes les révolutions de type socialiste depuis deux siècles : une fois au pouvoir, ils pratiquent exactement l'inverse, parce qu'ils n'y ont jamais cru, parce qu'ils sont intrinsèquement totalitaires, parce que le vrai pouvoir ne se partage pas.

Leur complaisance coupable avec la négritude, "nazisme noir" qu'ils devraient dénoncer s'ils étaient le moins du monde intéressés par les idées et leur défense conséquente, ne s'explique QUE parce qu'il est un moyen de faire violence à l'identité européenne, de corrompre le toubab par ses femmes. Ils savent parfaitement le potentiel de dégoût et de rejet de ce qu'ils prônent, et ne le font QU'A CAUSE de ce potentiel. Eux-mêmes ne se reproduisent qu'entre eux, que ce soit sur la base de l'ethnie, du rang social, ou de l'appartenance au même réseau. Pareil pour leurs accointances avec les imams, alors qu'ils vomissent les curés depuis quinze générations de militants: une bondieuserie qui permet de saper les bases de la civilisation européenne est bonne à prendre. Au vu du nombre de mélaninolâtres qu'on trouve chez les chrétiens contemporains, on ne pige d'ailleurs pas très bien la vigueur de leur anticléricalisme, qui risque de froisser bien des alliés objectifs de leur gerbatoire entreprise. 

Elément central de leur cohérence, le but auquel ils ne renonceront jamais, la ligne générale qui unit toutes leurs factions dissidentes, qui met subitement d'accord sionistes et islamistes, qui réconcilie la City et Occupy Wall Street, qui fait coucher chiens et chats ensemble, c'est l'élimination par tous les moyens de la domination du mâle blanc hétéro sur ses terres historiques. 

Tout le reste est accessoire, poudre aux yeux, fichaises, décorum, langage automatique, bredouillis mongolien. La redistribution des richesses ? La préservation des ressources naturelles ? La lutte contre l'obscurantisme ? La dénonciation du néolibéralisme ? Secondaires, négligeables, à peine conceptualisés, amuse-bouche idéologiques. Leur haine folle culmine face au toubab qui ne s'excuse pas de l'être. C'est lui l'objet de toute leur rage. Rabattre son caquet, briser son arrogance, détruire son estime de soi, saccager son héritage, rien d'autre n'importe. 

Contre cette guerre d'agression menée à tout ce que nous sommes, contre ces enculés assumés qui ne reconnaissent aucune innocence ni circonstance atténuante, ces fausses couches de chacal pour qui notre crime est simplement de vivre sous une peau de Blanc, il n'y a pas de grands principes qui tiennent. Aucun appel à la raison n'a de sens, aucun sermon, aucun rappel à la décence ou au respect de leurs propres mensonges. Autant espérer décourager un violeur en lui récitant du Simone de Beauvoir - ce qui à la réflexion pourrait même être plus efficace. 

La droite classique s'imagine triompher dans un combat libre, où tous les coups sont permis et surtout les plus vicelards, en respectant strictement les règles du judo. C'est son fichu côté bien-comme-il-faut, sa belle, vaine et suicidaire aspiration à la rectitude. Elle se condamne donc à l'échec, à l'humiliation, au ridicule. A chaque coup de pied dans les tibias, chaque claque dans les couilles, chaque morsure, elle hurle en direction de l'arbitre, exigeant qu'il intervienne. Elle ne pige pas qu'elle se bat précisément contre l'arbitre, puisque la grille de lecture médiatique reste éternellement anti-conservatrice, anti-traditionnaliste, anti-toubab, aveuglément hostile à tout ce qui ralentit l'éviction définitive de Monsieur Moyen, sa négrification, sa cassure psychologique, sa repentence héréditaire.

Un commentateur de droite, ou simplement un poil sceptique face à l'infaillibilité des pontifes de la Grande Correction, c'est un poulet qui s'invite dans le terrier du renard avec un code de déontologie dans le bec. 

* * * 

“what they want is a quite deliberate double standard where blacks are allowed the racial consciousness whites are denied.”

I’ve said it before and I’ll say it again. Stop complaining about a double standard, and see the truth.

For the left, there is no “double standard”; there is a single standard, universally applied, and it is this:

Fuck you, whitey. No matter what the facts are, no matter what the circumstances are, just fuck you, whitey. Die, white man.

That is the core of their belief. They are not your loyal opposition, with whom you can argue in good faith. They are your deadly ENEMIES, who want you exterminated from the face of the earth. And they don’t care about any abstract principles, their only true principle is to exterminate YOU. They are more than happy to pretend that there are outside standards or principles of fair play, because so long as you believe that, then they have the advantage.

Remember: whenever a leftist/liberal/anti-racist opens his mouth, all he is really saying is: Die, white man. Fuck off and DIE.

31/05/2012

LAST INTOXICATION

29/05/2012

"TU VERRAS, CA CHANGE TOUT"

Qu'ils disaient, les néo-pères autour de moi. Je ne raillais pas ouvertement, mais un indicible sentiment de supériorité me soufflait qu'ils étaient juste mal organisés, et un peu trop égocentriques. Comme de plus en plus souvent, j'ai bien fait de la fermer. On a beau avoir une vie plutôt bien réglée (organisation à peine chahutée par les apéros improvisés), ajoutez un chiard dans l'équation et vous pouvez pratiquement tout reprendre à zéro. Du coup, je vocifère moins ici. En même temps, ça faisait longtemps que la chose me travaillait aux tripes, comme si que j'aurais des ovaires... 

Entre deux extraits de vomi et d'excrément (je pose la question aux pères : ça ne vous a pas fait bizarre de toucher le caca et les burnes à quelqu'un d'autre, au début ? Le fait que ça fasse drôle est-il le signe de cette homosexualité refoulée chère à nos sociologues antifa ?), je note donc deux trois choses sans importance. 

° Ca fait un peu plus de trois semaines que Flamby est président de la République Socialiste Hexagonale, et j'attends toujours la vague de milliardaires échevelés se pressant à ma porte pour planquer leurs biftons sous mon matelas. Peut-être que mon néon "Banque Suisse De Droite Avec Gros Secret Bancaire" ne clignote pas assez fort. 

° Je pensais que Ministry n'avait pas fait mieux que Psalm 69, qui remonte quand même à l'époque où j'avais des cheveux et des convictions gauchistes. Filth Pig contenait quelques bonnes choses, les alboumes suivants de moins en moins, jusqu'au triste House of the Molé et ses mantras bushophobes craignosses... J'allais laisser passer Relapse et son imbécile pochette d'inspiration satano-eighties et puis j'ai laissé une oreille traîner dedans. Faites-le aussi ou mourrez sourd

° Situation insurrectionnelle en Espagne, en Italie, en Grèce, les maniaques des Leçons-du-Passé-pour-qu'y-s'répète-pas qui ne mentionnent pas vraiment la belle et glorieuse Républik de Weimar, avec qui pourtant plusieurs parallèles pertinents pourraient être tirés... et puis quoi ? Pourquoi plus les choses pourraient bouger, moins elles bougent ? Après L'insurrection qui ne vient pas, la cessation de paiement programmée pour le 31 février ?

° Autres questions d'un type qui n'y connaît queude en économie mais qui a au moins la décence de ne pas faire semblant : dans un modèle de société où tout le monde, chefs d'Etat comme chômiste chronique, vit à crédit depuis des lustres, comment encore plus de dettes et de crédits pourraient agraver la situation ? C'est quoi la limite de la planche à billets, si son simple principe ne paralyse pas tout, si son utilisation modérée ne provoque pas de guerre civile ? Quel sens à l'invocation du Caddie vide si on peut le remplir avec de l'argent fictif ? 

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19/05/2012

SI QUELQU'UN EN DOUTAIT

 

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Nous n’avons pas plus de raison de vouloir faire battre la gauche que de vouloir faire gagner la droite. Il n’y a aucune raison de travailler à ces ententes dont tout le fruit serait le gain d’une poignée de sièges au Parlement. Le but de la manœuvre est la destruction du système bipartite et oligarchique qui confisque depuis un demi-siècle la parole et les intérêts du peuple. Il faut viser plus haut. Il faut voir plus loin.


16/05/2012

LES ESCLAVES HEUREUX DE LA LIBERTE

Un type qui parvient à se faire éditer légalement en citant Dominique Venner dans ses pages et sur sa couvrante peut-il être tout-à-fait mauvais ? Même ma libraire, tiers-mondiste plus qu'à son tour, s'était réservé un exemplaire, attirée par le fumet alléchant de ces Esclaves heureux de la liberté - ça m'a interloqué mais j'ai raqué quand même pour l'avoir. Ca se lit en une journée et c'est plutôt décevant, et je ne dis pas ça à cause des goûts baroques et inconséquents de ma libraire. 

Il y a d'abord cette langue étrange, à mi-chemin entre la causerie de troquet et l'essai littéraire plus formel, un mélange des genres revendiqué d'entrée de jeu, y compris par une mise en garde dans la préface. Le fond ne gêne pas, la forme un peu plus ; c'est moins une question de confort de lecture (quiconque a survécu à la non-syntaxe des Bagatelles avalera ça sans tousser) que de musicalité : l'ambiance troquet l'emporte un peu trop souvent et pour une charge contre la laideur et la stérilité de notre civilisation décomposée, on se serait attendu à plus d'écume enragée que de postillons avinés.

Les trois premiers chapitres sont assez réjouissants : le non-art et ses maquereaux s'en prennent plein la face : notre temps ne sait que conserver sous vide une beauté antique qui fut vivante et vibrante avant que nous ne la transvasions dans du formol. Nous ne laisserons aucune trace mémorable, les archéologues du futur, s'il en reste qui ne grattent pas la terre du Malawi à la recherche des momies de Michel-Ange et Montaigne, seront stupéfaits de découvrir un peuple vénérant des dieux de verre et de béton, des singes verticaux se prosternant devant des monolithes sans nom ni sens ni fonctions, passant leur non-existence la gueule collée à des écrans mettant en scène leur insignifiance avec l'impudeur d'un mongolien en rut

Et puis, après trois chapitres d'invectives et de remontage de pendules, tout s'effondre. L'auteur s'est défoulé, il lui reste quelques pages à noircir pour ne pas se contenter du format d'Enculez-vous ! et il se met à causer philo, théologie, absconneries débilitantes, à se faire plaisir en allignant les phrases comme automatiquement. Les deux tiers du bouquin se feuillètent en Z sans états d'âmes, pour arriver à la "conclusion" où Portella nous dit bien se douter qu'on est resté sur notre faim. Tu m'étonnes Elton ! On pensait se taper un monstre gueuleton, on a droit à trois amuse-bouche avant des litres d'eau tiède... 

Dommage. 

13/05/2012

UNE QUESTION DE DIGNITE

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"C'est pas si grave"

"Il faut toujours que tu exagères"

"Moi, je rejette tous les extrémismes"

"Tu me fais marrer avec tes théories"

"Et les croisades, c'était mieux ?"

Occident, XXIe siècle, attribué à n'importe quel connard frotté de littérature

 

Quand quelques gribouilleurs font publier des cartounzes montrant quelque impertinence envers le très saint, très sympathique, très sexy prophète de l'islam, ses sectateurs ont tendance à faire preuve d'une certaine mauvaise humeur. On peut les trouver chatouilleux. 

Quand certains desdits sectateurs s'emploient à violer en masse des gamines blanches choisies expressément pour ces caractéristiques ethniques, les lampadaires de Grande-Bretagne ne fleurissent pas des cadavres des intéressés, et leurs os ne sont pas enfoncés à coups de maillet dans les orifices des propagandistes justifiant/minimisant/camouflant leurs agissements. On peut trouver le Grand-Breton particulièrement souple. 

Le problème n'est pas la sensibilité des métèques à sourates. Le problème est la désensibilisation comateuse, cadavérique, fossecommunesque des autochtones prêts à sacrifier l'intégrité physique de leurs filles pour préserver la réputation de fils de chiennes ne valant pas le prix d'une balle dans la nuque. 

Aucune question sociale, économique ni politique n'a plus d'importance que celle-ci : comment redonne-t-on sa dignité et les moyens d'en assurer la défense à tout un peuple châtré par la propagande gauchiste et abruti de goinfrerie capitaliste ? Quiconque résoudra cette effarante quadrature du cerle sera, lui aussi, promu prophète, et pourra mener la charge d'une Guerre Sainte qui ridiculisera les pauvres escarmouches  dont on crédite l'église des chameliers antiporcins. 

12/05/2012

L'AFRICANISATION SANS AFRICAINS

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L'Europe s'africanise. C'est indéniable. Ethniquement, sans doute, dans certaines de ses régions (inutile de ressasser la 258e anecdote sur le retour en bus ou en RER, à Ivry ou Bobigny, où l'on se retrouve « le seul blanc! »), mais bien plus sûrement mentalement et psychologiquement.

L'esprit d'entreprise (compris en son sens premier, non dans celui d'appétit spéculatif et mercantile), de création, d'aventure, de révolte, d'exploration, bref le fameux « prométhéisme » a en effet laissé place à une passivité, une résignation indolente presque absolue, une soumission à peine plaintive qui n'a rien à envier à l'aboulie de beaucoup de peuples africains face à la misère endémique et entretenue de leurs pays.

Prenons le cas de l'Italie, pays encore largement « ethniquement homogène », berceau culturel et historique de la civilisation. Voilà un pays dirigé par un gouvernement non élu imposé par l'étranger, saigné à blanc par celui-ci (2,5 milliards d'euros ponctionnés pour « rembourser » la banque Morgan Stanley dont le vice-président est Giovanni Monti, fils de l'actuel président du conseil...), lobotomisé à vitesse grand V par des médias et une télévision indignes d'une favela sud-américaine, et au sein duquel il est impossible de discerner le moindre signe de révolte, le moindre sursaut d'énergie vital, le moindre élan collectif d'insoumission, la moindre vélléité rebelle ou révolutionnaire...

En dehors des actions de l'habituelle poignée d'activistes politiques isolés, les seules signes « populaires » de refus et de rejet sont les suicides qui se multiplient drastiquement dans le pays... Mais au delà de ces actes tragiques et désespérés: rien. Le renoncement glaçant et pathétique du « ça pourrait être pire », du « tant que j'arrive à peu près à m'en sortir », du « ca devrait encore tenir jusqu'à ce que je meurs », du « c'est comme ça »...

Ainsi ce garçon d'à peine plus de 20 ans, petit-fils des épopées garibaldiennes, squadristes et fascistes, acceptant de travailler 10 heures par jour pour 4 euros de l'heure, avec 30 minutes pour déjeuner et interdiction d'aller aux toilettes sans demander l'autorisation, s'enfonçant inexorablement et presque sans un mot dans une économie de survie à l'heure où une infime minorité accumule des bénéfices insanes et des fortunes jamais égalées.

A ce rythme, il n'y aura bientôt plus besoin d'immigration, tout le monde étant déjà devenu africain.

CASSER LA TÊTE DES PROGRESSISTES

... avec les tibias des conservateurs

Les Afro-Americains ont depuis longtemps commis bien plus de crimes violents que n'importe quel autre groupe ethnique. Avec l'élection de notre premier président noir en 2008, beaucoup prédisaient que cette tendance allait disparaître : en voyant le visage de l'un des leurs dans le bureau ovale, les jeunes Afros allaient déposer leurs armes et se ruer sur leurs bouquins d'écoles. 

Une telle prédiction était-elle sensée ? Nous pensons que non. 

Les conservateurs affirment que c'est leur culture qui empoisonnent les jeunes esprit noirs. Les chèques de l'assistance les ralentissent. L'absence de pères les freinent plus encore, le hip-hop les pervertissent. Si nous pouvions effacer de l'histoire les mesures prises par Lyndon B. Johnson ("Great Society") et la révoluion sexuelle, les jeunes Afro-Américains redevienraient les travailleurs acharnés qu'ils ont pu être. 

Les progressistes, à l'inverse, admettent les effets néfastes d'une certaine culture noire, mais les attribuent à la souffrance persistante de 350 ans d'esclavave et d'un siècle de ségrégation. Un jour ou l'autre, affirment-ils, les Afro-Américains commenceront à se comporter comme tout le monde. 

L'optique progressiste est relativement facile à réfuter, les dysfonctions de la communauté noire ayant de fait augmenté à mesure que s'éloignent  les lois Jim Crow.

Et l'optique conservatrice ? Séduisante, mais incorrecte. Les Afro-Américains n'ont pas attendu notre époque pour se faire connaître par leurs exploits violents. Les rapports de police d'il y a cent ans nous paraissent étonnamment familiers. Hier comme aujourd'hui, les Afros ont choisi de se comporter de façon violente dans une large variété de contextes. 

 

10/05/2012

BÂTARDS DE LA ZONE GRISE

 

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Je suis le seul palestinien colonisé dont vous vous foutez. Je suis le seul type de Français qui n'a pas droit à votre "tolérance". Je suis celui qui fait s'effondrer toute votre propagande, vos réflexes usagés, comme le World Trade Center ou l'immeuble à la fin de Fight Club. C'est votre monde qui m'a fait, qui m'a conçu, je suis immunisé contre la culpabilité, vos anathèmes ne marchent plus. Je ne suis que la dernière conséquence de votre racisme contre tout ce qui ressemble, de près ou de loin, à un Européen.

09/05/2012

FASTER THAN LIGHT

CHACUN CHERCHE SON FAF

 

Attassion ! Le poupoulisme menace et l'heure est grave et la peste vaguement brune doit être contrée !
 
"Il faut aller plus loin dans les mécanismes de solidarité", estime Eric Charcutière ; lisez son développement, et si vous comprenez ce qu'il raconte, je veux dire pratiquement, solutions applicables, recommandations claires, envoyez-moi un bout de votre cerveau par solidarité.
 
Notez qu'on va pas se faire la fine gueule : il a réussi, et c'est appréciable, à ne pas coller "nauséabond", "tolérance", "métissage" ou "Auschwitz" dans son texte. L'exercice de style est de haut vol ! Le souci, c'est que sans ces belles balises de la pensée Citoyenne, on n'y comprend plus rien. J'en retiens que la crise rend les gens nazis et qu'il faut que ça cesse. Mais je suis un peu con, et j'ai une petite gueule de bois.
 
Toujours chez les qu'ont-d'la-peine-et-qu'en-font, la police secrète de Chuiche fait un tout petit peu chier, parce qu'elle insiste sur des données factuelles au lieu de jouer la partoche antifa' stérile, contre-productive mais qui fait tellement plaisir aux puritains ! Cinq fois plus d'incidents chez les crasseux que chez les rasés ? Dix fois plus si on se concentre sur les bastons et caillassages ? Ta bouche James Bond ! Tu nous gâches la pignolade moraliste !
 
Socialopes et pédés-C rivalisent dans le suraigü pour nous rappeler que ce qui compte, c'est la Menace Fantôme, qu'il faut se concentrer sur ce qui pourrait être éventuellement dangereux un beau jour ou peut-être une nuit comme par exemple un type isolé en Norvège ou un parti légaliste en Grêce. Les taquineries du Black Block ici et maintenant ? Ne démoralisez pas les petites mains de la démocratie des bâtards ! Foutez-leur la paix, à ces petits ! Si tant d'entre eux vous chient à la gueule, c'est parce qu'ils n'osent pas vous dire qu'ils vous aiment (de grands sensibles, on vous dit), et si tant de fafounets rêvent d'une carrière dans la sécurité ou la gendarmerie, c'est pour infiltrer ce noble corps et le subvertir pour en faire une milice au service des boursicoteurs du kukuklan. 
 
Ces gens ressassent toujours le même schéma issu de la guerre froide. " s'insurge le député Veau-Rut, lui qui vient d'une famille politique pas du tout portée sur la ressassitude du schéma issu de la Seconde Guerre ou la traque aux poils rescapés de la moustache d'Oncle Dolfi dans le slip de Freysinger... "En Suisse on est encore privilégié, mais autour de nous, les disparités sociales vont en s’exacerbant." renchérit l'ami Balthazar, aussi flou, évasif et inconsistant que le programme de son parti, mais qui ne voulait pas louper une occase de se joindre au Choeur des Pleureuses de Combat.  Bien marri et piteux, Superflic explique bien qu'il a tout fait comme il faut, "que ses hommes mettent pourtant autant d’énergie à observer la scène d’extrême gauche que celle de droite", que ce n'est pas sa faute si la fabrique à Breiviks en grève pendant que la Marx, Polytox and Co. produit du sociopathe à pleins wagons...
 
Achtung flicards ! On répète encore une fois les trucs mnémotechnique ! CCCP : crête crasseuse ? ça passe !
 
 

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On passe son chemin
 

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On interpelle, on verbalise, on encabane
 
C'est pourtant pas si complexe, putain !
 
Bon, attention, y a des pièges...
 

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On ne verbalise PAS (et on dit Monsieur, le joli costume signale une personne importante)

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 Euh. 


 

04/05/2012

"AVOIR COMMIS TOUS LES CRIMES..."

"... hormis celui d'être père". 

(De l'inconvénient d'être né)

Ma carrière de criminel commence donc aujourd'hui 4 mai. Corps du délit : 3,5 kg. Le gosse est vigousse, la maman récupère bien, et papa est complètement à la rue, entre déboussolement radical et apesanteur euphorique. 

03/05/2012

SUR LE CONCEPT DE MILICE

 

Puisqu'il est établi que l'Etat est notre ennemi, et que par conséquent toute représentation parlementaire revient à cautionner ses agissements contre nous; 

Puisque la sécurité n'est pas une question politique (elle pourrait le devenir à l'avenir, mais alors nous y perdrions le peu de liberté qui nous reste) mais sociale et qu'elle dépend donc de chaque communauté et des individus qui la  compose;

Il faudra se résoudre à nous organiser contre/malgré/en-dehors de l'Etat pour assurer notre propre sécurité. 

Une réputation pourrie : obstacle à toute discussion sérieuse du sujet

Comme beaucoup de sujets considérés comme "sensibles" par la Bonne Société, et dont la droite radicale affecte d'être spécialiste, le premier obstacle à une réflexion calme et pragmatique est que le sujet peut vous faire passer pour un loquedu illuminé. 

Le principal souci du concept de milice est qu'il est discrédité depuis presque un demi-siècle par plusieurs facteurs : une trop longue période de stabilité apparente, l'amollissement général des moeurs, la disparition des valeurs masculines et leur salissure systématique par le Spectacle, la guerre que fait un Etat à vocation de contrôle total au droit des armes, etc. Plus important peut-être :  il est invoqué surtout par des sociopathes, des gens dont la condition mentale et physique les rend inapte à tout type de service militaire.

Cul et guerre ont ceci en commun qu'on les pratique moins à mesure qu'on en parle. J'accepte la critique en écrivant ceci et précise, pour que les choses soient claires,  que si j'ai accompli mon école de recrue, j'ai été réformé peu de temps après, en exagérant des soucis de santé secondaires.

Mépriser les objecteurs, zapper les tarés

Cet argument, à défaut d'être totalement valide, n'en est pas moins efficace pour couper court à toute discussion franche d'un problème important : nous ne pouvons compter que sur nous-mêmes pour tous les aspects essentiels de notre vie. L'école ne fait pas de nos enfants des citoyens au sens où nous l'entendons. Les gouvernements et parlements ne tiennent pas compte de notre avis sur les sujets qui importent vraiment. Les médias n'abordent pas les problématiques réellement urgentes de notre actualité politique, culturelle et sociale. Et enfin, la police ne nous protège pas contre les véritables menaces quotidiennes.

Si l'on accepte de  s'informer par des canaux alternatifs, c'est que l'on ne fait pas confiance au journaliste de base. Si l'on ne participe plus au cirque démocratique, c'est que l'on n'a pas plus confiance dans les arrivistes et les saltimbanques qui prétendent défendre nos intérêts. L'aboutissement logique de cette défiance généralisée est de ne pas faire confiance aux forces légitimes de l'Etat pour assurer notre protection.

On ne parle pas de fantasmes à base de militaria défraîchie pour impotents incapables de se discipliner tous seuls et de vivre un tant soit peu selon les valeurs qu'ils professent : il s'agit ici de faits très concrets, que quiconque a déjà vécu une agression sérieuse connaît bien. Si l'agresseur est exotique ou peut jouer la carte de la Correction Politique, on vous dissuadera de porter plainte. Face à la violence ethnique ou politique, la seule ligne "acceptable" pour les Européens est de se coucher. La police vous l'explique, les médias vous le répètent, les parlementaires en rajoutent une couche. 

Le concept d'autodéfense est le pendant pratique de la "théorie du complot": pour faire partie de la Bonne Société, vous devez considérer toujours a priori démontrée 

- l'honnêteté des journalistes 

- l'impartialité des historiens

- la sincérité des politiciens 

- l'efficacité des policiers

- la rigueur de la justice

Le doute vous classe parmi les désaxés, dangereux ou pitoyables selon le cas. 

Soyons parfaitement francs : les rangs de la dissidence autoproclamée draîne une foule de gogols, d'hallucinés, d'idiots demi-savants et de ratés en tous genres. C'est un milieu qu'il faut fuir - mais dont les analyses et les idéaux ne sont pas invalidés par la personnalité de leurs promoteurs. Il en va de même pour certaines médecines alternatives : qu'une majorité de doux-dingues et de vieux hippies les idolâtrent ne les rend pas inefficaces, et en conserver les meilleurs aspects ne fait pas de vous un crasseux à dreadlocks. 

Il faut réfléchir à la notion d'autodéfense organisée malgré l'attrait qu'elle exerce sur les tarés paranoïaques, qui se disent "libres penseurs" parce qu'ils ont lu un blog, ou qui se croient prêts pour la Guerre Civile Ethnique parce qu'ils planquent une pétoire dans leur cave. 

Une fois acceptée la mauvaise image liée au concept d'autodéfense, et posée la légitimité de sa discussion, il faut aborder les moyens concrets de son organisation.

L'exemple helvète

En Suisse, il est moins scandaleux qu'en France, pour la bonne raison qu'il fait partie d'une longue tradition. Mais son ancienneté n'en pose pas moins problème pour sa bonne compréhension. Il est habituel de considérer l'armée nationale comme une "milice", parce que chaque citoyen est, en principe, astreint au service, et que beaucoup d'hommes possèdent un fusil d'ordonnance à la maison. Cette  idée est contredite par les faits : une milice, par définition est une force SUPPLETIVE de l'armée régulière. Elle est d'essence tribale, vouée à la défense d'une partie seulement de la population, et par conséquent une portion particulière du territoire.

En Suisse, il est rare que le citoyen-soldat effectue son service dans son environnement habituel : il est envoyé dans une caserne lointaine, souvent dans un canton dont il ne parle pas même la langue. Il est affecté à une "arme" qui sera mobilisée n'importe où à l'intérieur des frontières nationales, selon le besoin. Sa maison natale pourra être détruite, sa ville occupée, son canton bombardé, qu'importe : il ira où le commandement le lui ordonnera. 

L'exemple le plus emblématique de cette "déterritorialisation" de la milice est le plan de "Réduit National", imaginé par les stratèges de la Seconde Guerre mondiale. En cas d'attaque extérieure, une portion gigantesque du territoire serait abandonnée avec peu voire pas de résistance, et les troupes réfugiées dans des forteresses de montagne, y attendant d'hypothétiques secours des Alliés, et n'en sortant que pour des escarmouches. On voit à quel point l'idée de Nation est coupée de celle de Patrie.

Cette manière de fonctionner provient essentiellement de la conception de la "Nation" que l'on avait au XIXè siècle : l'armée était alors un outil d'intégration, de construction d'une identité nationale supra-régionale, largement artificielle - ce d'autant plus dans un pays qui rassemble quatre régions aux différences culturelles très marquées, à commencer par les langues qu'on y parle. Soumise à l'autorité de l'Etat fédéral, la "milice" actuelle n'est pas autonome et n'est pas liée à une région particulière. Son nom est donc une complète usurpation. Ses cadres, d'ailleurs, ne rêvent que d'engagements en-dehors du pays, ne débattent que du prix des nouveaux avions de combat, et ne s'inquiètent que de maintenir une institution servant à unifier un pays au-delà de frontières culturelles et linguistiques que pratiquement aucun citoyen ne franchit ni ne désire franchir durant sa vie civile. L'armée de "milice" n'est en l'état qu'une armée étatique. 

S'inspirer des pompiers volontaires

Un modèle bien plus intéressant est celui des corps de pompiers. 

Les pompiers professionnels sont organisés sur un modèle ouvertement militaire. Leur entraînement physique est exigeant, les dangers qu'ils rencontrent sont extrêmes. L'idée ne vient pourtant à personne de considérer les pompiers volontaires comme des guignolos romantiques, inefficaces et dispensables. Eux aussi doivent remplir des missions importantes, hautement risquées, et doivent pouvoir se mobiliser très rapidement en cas de sinistre. Leur entraînement est autrement plus sérieux, régulier et pragmatique que celui de l'armée nationale.

Un soldat suisse est tenu de pratiquer le tir au fusil de loin en loin ; sa forme physique n'a aucune espèce d'importance ; les "cours de répétition" sont le plus souvent une occasion de beuveries intenses et les simples soldats qui y participent n'ont majoritairement rien à foutre des exercices auxquels ils participent. Un un mot: la "milice" suisse n'est en aucun cas préparée à remplir les missions qui lui incombent, et qui comportent autrement plus de risques mortels que pour un pompiers, en cas de mobilisation contre un ennemi décidé, extérieur ou intérieur. 

Il en va tout autrement des corps de pompiers locaux. Ils n'ont aucune excuse pour ne pas combattre efficacement un incendie. Ils sont d'autant plus motivés à prendre leur travail au sérieux qu'il a lieu dans les villages où ils vivent. Ils sont souvent une excellence connaissance du terrain, des voies carrossables et des points d'eau les plus proches. Leur matériel et leur organisation n'ont rien à envier à ceux des professionnels. Ils sont une composante connue et plutôt populaire de la vie quotidienne de leur région. S'il est commun de railler l'armée, qui "tue, pollue et rend con" selon l'antique rengaine, on aura de la peine à trouver un antimilitariste obsédé par les corps de pompiers. 

Les pompiers volontaires sont l'exemple vivant que les citoyens ordinaires sont capables d'organiser avec rigueur et efficacité tout un pan de leur propre sécurité, face aux plus grands dangers que comportent leur environnement naturel: feu, innondation, glissement de terrain, tremblement de terre. En laisser la gestion à des pros aguerris ne constitue pas un débat animé. Leur existence n'est pas remise en question, pas plus que leur compétence. On accepte que le boucher, l'instituteur, la coiffeuse, consacrent une partie de leur temps libre à la protection de leur communauté, en risquant leur intégrité physique, voire leur vie, dans des situations qui effraient le commun des mortels. 

Est-il réellement "mytho", exagéré, irréaliste, de proposer une même organisation face aux agissements de la racaille et des mafias ethniques ? 

La presse castrée, la police impuissante, la parlementaille cynique et les attentistes "réalistes" pensent que oui. 

 

FRANCOIS CONGO

hollande with voters.jpg

 - Y a bon soucialisme, patwon ! 

- Hrin hrin hrin, c'est cl'â oui, hrin hrin, vous pouvez arrêter de me toucher sivouplaît M'sieur ? 


Si l'on se base sur cette vidéo de campagne du candidat socialiste François Hollande, avec de la musique fornie par des rappeurs U.S., on penserait facilement que la population de France est noire à 70% - et des Noirs pas vraiment assimilés. De fait, les deux impressions qu'on en retire, c'est que la France est un pays d'Afrique Noire (ce qui est bien sûr faux, mais qui fait croire aux Français qu'ils n'ont d'autre choix que de se rendre et accepter cet océan de noirceur), et que les Noirs de France sont désordonnés, inquétants et opposés en tout à l'Occident. 

Et au milieu de cette brutale blackitude, émerge ça et là la face blême d'un homme appelé François Hollande, qui se présente comme le tribun des Noirs. Il est leur champion parce qu'il va mener la France vers l'assombrissement complet. Telle est la vision qu'a de son pays le parti socialiste français. 

Signalé par Unamusement Park

30/04/2012

ECORCHURES

http://www.myspace.com/alpinistsucks

29/04/2012

OUI MAIS NON MAIS OUI MAIS NON ENFIN NON

 

Déjà forcé un végétalien à bouffer de la viande ? Ca sera plus facile que de pousser un gauchiste à causer race en adulte décontracté. Quand lui-même s'y essaie sans un flingue dans le dos, même un flingue strictement électoral, comme celui qui chatouille les lombaires du PS ces temps-ci, le spectacle de ses contorsions et de son dégoût vaut sacrément le détour.

Il commence tranquillement, par énoncer des faits tout bêtes et qui lui font plaisir d'habitude : la Diversitude, la Métissation, le salopage ethnique, tout ça : 

Plus de 10% de la population française est composée d’Arabes et de Noirs.... Miam !

Puis, en déglutissant avec peine, il s'approche du gros morceau : le ouacisme : 

Ceux qui votent FN malgré le puissant tabou imposé par l’antiracisme du siècle dernier ne sont cependant que la partie émergée de l’iceberg... Pas glop ! 

Tout cela est bien triste, mais enfin il va falloir passer à la casserole : après des lustres de déni de tout ce qui est ethnique, et la caution forcenée de tout ouacisme visant spécifiquement les Blancs, on risque de devoir en causer un tout petit peu. "Connais ton ennemi", ce genre de choses. On va donc y consacrer un premier long texte, pour montrer qu'on n'a même pas peur et ça va chier, car :

il faut s’inquiéter, et réagir.

 Mais juste avant de s'atteler à l'horrible tâche, le réflexe de vomissement est trop fort et vient gâcher le trop difficile exercice :

(le mot « race » est dans ce texte utilisé dans le sens de groupes qui sont des constructions sociales et auxquels on appartient ou non du seul fait de sa naissance et de son apparence physique. Il ne s’agit évidement pas ici de défendre l’idée que les races existeraient).

 

Bien essayé cocotte, mais si tu peux pas t'empêcher de dégueuler face à une bite, oublie le putanat et redeviens assistante sociale. 

 

Pour expliquer qu'ils ont tort à ces ouacistes toujours pas convaincus par un demi-siècle de la même propagande à la con, lui en servir une énième louche, mais cette fois en lui disant qu'on comprend qu'il a peur, parce que tous les gros cons méchants et irrécupérables ont peur de l'avenir radieux où ils n'ont pas leur place. 

C'est la méthode et la morale du fils de chien qui abuse systématiquement de sa gonzesse, l'humilie, la frappe, la trompe ouvertement, et qui revient au bercail pour un peu de cul légitime, avec des fleurs et des gros mensonges plein la bouche. Mais oui je t'aime. Mais oui y a que toi qui compte. Mais oui allez viens par là connasse. 

Chassez le naturel, il vous revient en pleine gueule. Le naturel du gauchiste, c'est le déni. Vous renflouerez le Titanic à la louche avant d'y changer quoique ce soit. 

Le reste de l'analyse est du même acabit. Ne pas aborder frontalement (oups!) les questions de "race" (oh les beaux guillemets ! Comme ils fleurent bon la bile et le croissant pas digéré!), eh bien c'est ouaciste, justement : 

Voulons-nous être un peuple dont le projet est de s’attaquer à la question raciale, avec pour objectif de la dépasser ? Ou, au contraire, voulons-nous être un peuple défini par sa « race », au sens d’une homogénéité ethnique et culturelle, qu’importe si elle n’a jamais réellement existé ?

Causer de tout ça est vraiment trop pénible, on a l'impression de se sentir pousser mèche et moustache, on a des raideurs pas nettes dans le bras droite, les camarades vous regardent de traviole et sortent les pincettes, vite ! un coup de Honte Blanche pour bien rappeler que si on sent le caca, c'est certes parce qu'on s'est plongé citoyennement dans la fosse à purin, mais qu'on a détesté ça et que c'était pour la bonne cause : 

(...) dans les traites négrières et l’esclavage, certains de nos ancêtres ont été déshumanisés par d’autres de nos ancêtres. Je suis Français, donc je descends du conquérant, du colon et de l’indigène, comme je descends de l’esclave, du maître et du négrier.

En clair : nous descendons tous de la même souche, mais certaines racines étaient mignonnes et d'autres immondes. C'est sur cet antique air de pipeau suintant la mauvaise conscience qu'il nous est proposé de nous fondre tous dans le même branchage fraternel et post-"""""""racial""""""".

Maman t'aime autant que ton petit frère, mais admettons quand même que lui au moins n'est pas un sale merdeux qui m'a fait mal à l'accouchement et m'a pourri la vie depuis sa naissance. Voilà comment on fonde une famille unie et heureuse, c'est évident.

 Ca se croit pompier et ça confond lance-incendie et lance-flammes. Cette rage de bien faire et tous les malentendus qu'elle suppose, toute l'agravation qu'elle promet, tout le ridicule et l'embarras de son invraisemblable maladresse, c'est le cadeau de ce dimanche matin. 

 

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- Kévin ! Kéviiiiiiiiiin ! J'ai trouvé le ouacisme ! Ca te dit de jouer avec pour la Morale Républicaine et le Bien Commun ? 

- Oh voui oh voui ! Toi tu le chatouilles du côté du manche pour faire sortir la Bête Immonde et moi je surveille du côté du canon ! 

 

27/04/2012

UN NAZI EST UN HOMME QUI SE TROMPE...

... pas de colère, mais de sens dans ses graffiti. Tout fout le camp.

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Après ça sera quoi ? Hitler dessiné sans moustache ? George Zimmermann sacré nouveau héros de la cause Aryenne ? Avec de tels bras cassés, on n'est même pas sûrs d'avoir un jour des bras correctement tendus. 

Vous imaginez si les gens commencent à ricaner plutôt qu'à chier dans leurs frocs ? Si Betty Monde se révèle n'être après tout qu'une radasse de buffet de la gare, moins dangereuse encore que les morbacks qu'elle héberge ? On espérait la Peste, on se réveille avec une misérable chtouille ! La misère, mon frère ! 

Il faut que ça cesse. Le nazisme est une chose trop importante au maintien perpétuel de la Honte Blanche Démocratique pour être confié à des abrutis pas même foutus du minimum syndical. Aux cours de sensibilisation contre le ouacisme, doivent maintenant répondre des appuis aux frais de l'Etat, pour enseigner aux nazebroques à être plus terrifiants que ridicules. 

25/04/2012

PREHISTOIRE PÂLE ET AVENIR SOMBRE

105 footeux, 3 bronzés seulement sur l'ensemble des tronches de cake version eyetizes. C'est sûr, ça fait foutrement bizarre. "Des gueules", ganz genau ! Heureusement que, depuis, les milliardaires pousseurs de balle ont pris "le beau visage de jeunes Français issus de l'immigration", c'est certainement moins ridicule, plus esthétique, plus respectable, plus exaltant. 


*
"Et maintenant pour quelque chose de complètement différent" mais pas vraiment en fait, juste un peu plus loin, de l'autre côté de la flaque.

Proposer de "comprendre les enjeux de l'affaire Tropcon Martin" SANS aborder la question raciale, ce n'est pas un exploit, défions-nous de l'abus de superlatifs dont ce bleaugue a fait son imbécile marque de fabrique. C'est plus simplement la routine des danseuses burlesques de la presse autorisée. Sans doute inspirées par le porno japonais, où on voit tout sauf les zgegs...  La différence? Une pudibonderie phénoménale et une mauvaise foi inoxydable, puisqu'on se pique de ne rien camoufler ni éluder... D'aider le citoyen-voteur a faire librement son non-choix entre produits électoraux jetables... 
 
Le tueur ? Toujours "un homme blanc" natürlich, pas même cet extraordinaire hybride "blanc hispanique" que les moins coincés du fion ont tenté de bricoler pour ne pas trop se désavouer, à  défaut de pouvoir sauver les apparences... Ce qui obsède nos expressos ? Les armes à feu, bien sûr ! Et les lois trop laxistes qui les régulent...  Il est connu que les gangs afros-yankees, hautement respectueux des lois et des usages, s'entretuent exclusivement à la machette, question de Fierté Noire et de  respect des belles traditions artisanales du Continent-Noir-dont nous-venons-tous, vous aviez pigé.
 
D'ailleurs la très blonde Anne Coulter de la NRA s'est empressée de les inciter à s'encarter et à s'armer - pour se protéger de tous ces Blancs/demi-Blancs/presque-Blancs/juste-Blancs qui cherchent à les dégommer, avec l'aval coupable du président Bush, qui certes n'est plus là mais c'est quand même sa faute... Ex-Français, vous pensiez héberger la droite la plus bête du monde, voir l'UMP battre tous les records de putanat face à l'électorat FN ? Les "conservateurs" américains vous explosent les mains attachées aux chevilles, en allant faire des léchouilles au Lumpen allogène ! 
 
Le reste ? Des histoires de capuche, de légitime défense douteuse, le caractère ouaciste du crime ne faisant aucun doute... Les tensions entre Black Power et La Raza ? Sous le tapis, avec une grosse commode dessus ! Les attaques de Blancs ciblés spécifiquement depuis le début du bastringue ? Sous le béton où on a coulé ladite commode !
 
*
 
On voudrait se dire que cette interminable olympiade mondiale du déni finira par se casser la gueule. Croire qu'il y a une limite à la tartufferie, la complaisance suicidaire, l'incapacité chronique à nier les évidences jusqu'à l'autisme et l'auto-trépanation. On voudrait foutrement. Mais toutes les limites n'ont-elles pas déjà été franchies depuis trente ou quarante ans ? Il aurait été compréhensible de voir des Emeutes Blanches bien avant qu'un concours Miss Là-Dis-Donc puisse recevoir l'aval de l'organisatrice de Miss France, concours pas fermé aux mélaninées. Mais décidément, tout devient possible, absolument tout, le plus con, le plus injuste, le plus insultant, le plus enrageant.
 
Il paraît sage, ô combien avisé, de tuer en soi tout espoir de voir un jour la piétaille plumitive faire amende honorable et s'immoler publiquement par le purin pour expier plusieurs décennies d'obstination dans le pipotage et la trahison. Pas de contrition en vue - l'attrition semble seule envisageable, et les rangs des aspirants-bourreaux sont maigres. Ils vont être plus désertés à mesure que la droite patriote légaliste fera plus de petit-ponts et de pirouettes pour quémander les bisoux et l'adoubement du Spectacle.
 
Sa réorganisation autour du Front ex-National ? Pas improbable. Les Realpolitikern semblent s'en réjouir, et lèvent le nez face à nous autres bourrins frottés de littérature, puristes de bas étages, jusqu'au-boutistes de comptoir, pour qui ce lissage a autant de sens que de se couper la bite pour essayer de baiser une féministe. On conceptualise, en faisant un gros effort, qu'il faille bien réussir à entrer à l'intérieur du Système pour l'y faire péter ; s'il faut pour cela y arriver tout nu, après confiscation des bombes, on fait péter quoi comment ? On bouche les chiottes du parlement avec du PQ ? 

24/04/2012

FASCINANTE ASIE

Officials in China have listed a local food delicacy of eggs soaked in boys' urine as part of the region's intangible cultural heritage.

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Si c'est pas de l'écologie, ça, Madame ? Si c'est pas de l'admirable recyclage ? Epargnez l'eau, cuisez à la pisse ! 

Le complément indispensable d'une autre mignardise typiquement bridée : le steack de merde !