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30/11/2010

QUELQUES BELLES CAUNNERIES

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Plus une civilisation est femme, plus elle appelle le viol.

*

Décadence : les rats ne quittent pas le navire, ils y grimpent.

*

Passant, va dire à Babylone que nous sommes morts ici par dégoût de ses lois.

*

Il y avait un juge : le Temps. Mais la terre va grouiller de dix milliards d'hommes et le juge sera submergé par les "affaires". Il n'aura pas le temps.

*

L'art étant aristocratique, il aura nécesserairement le cou coupé.

 

Réflexions dures sur une époque molle, La Table Ronde, 1981

28/11/2010

VOTE FAIRE FOUTRE

Il paraît qu'on votait, ce week-end. Les gauchiasses de mon entourage, majoritaires, en parlaient avec un affreux sérieux, hier soir encore, tandis que nous nous remplissions de picrate. Bizarrement, aucun ne vint me charrier sur le sujet, eux qui sont pourtant friands d'engueulades interminables sur les sujets qui fâchent - à savoir pratiquement tout en-dehors des questions gastronomiques.

Il se peut qu'ils me relancent demain, dépités, hargneux, tout frétillants de pouvoir afficher leur honte et leur dégoût systématique de leur nationalité. "Alors, t'es content ?", qu'ils gueuleront. Et il faudra leur répondre, laborieusement, que non. Que les larmes des traîtres est un antidouleur qui ne me fait plus vraiment d'effet, qu'ils devraient se flinguer en masse pour que je retrouve le sourire, que je me contrefous que l'UDC ait pu faire passer son initiative et que je n'aurais pas piorné si elle avait été recalée. De toute manière, il aurait fallu supporter les brâmes des traîtres et des maquereaux, orgasmiques ou désespérés, alors qu'on voudrait ne plus les entendre du tout. 

Pendant que les réacs se font des embrassades et que les métisseurs se flagellent, l'abâtardissement, la substitution ethnique, l'effondrement culturel, la crétinisation et le bétonnage se poursuivent dans l'indifférence générale.

25/11/2010

N'OUBLIEZ PAS VOTRE RUBAN BLANC

Où la stupidité du socialiste atteint son comble, c'est en Afrique. Au Cameroun et au Sénégal, j'ai vu, de mes yeux vu, des instituteurs socialistes se livrer aux plaisirs infâmes du tourisme. Ils photographient les sorciers, achètent des tissus colorés au marché d'Abidjan, ainsi que des hippopotames sculptés dans le bois et pourtant, à la terrasse des cafés, discutent avec des étudiants noirs de l'avenir du socialisme africain. "Nous avons beaucoup de leçons à recevoir de l'Afrique", disent-ils. "Oui, répondent les étudiants, c'est exact ce que tu dis."

Après ce dialogue, tout le monde boit du Pernod et trinque, puisque les hommes sont frères. La femme du socialiste est embêtée parce qu'un étudiant noir, sous la table, lui tripote les cuisses mais elle n'ose pas le gifler car tout le Cameroun la traiterait de raciste. L'étudiant, âgé de trente-cinq ans, tripote de plus en plus. Alors elle se lève et dit qu'il fait chaud. Elle rentre à l'hôtel et découvre un autre étudiant sous son lit qui lui propose de la sauter. Que faire ? Mon Dieu, que l'Afrique est un pays mystérieux.

"Je suis socialiste !" dit l'étudiant en se déshabillant. "Donc tu es mon frère, dit-elle, et tu ne dois pas violer ta soeur." Il la viole tout de même et ce n'est pas moi qui vais sangloter sur les contradictions du socialisme. J'estime au contraire que l'épouse de l'enseignant n'a pas volé ce que l'étudiant lui fait subir.

Jean Cau, La Barbe et la Rose, 1982

24/11/2010

L'ANTIOUACISME EST UN SOVIETISME

Le menuisier-qui-cause s’inquiète que l’antiouacisme « devienne soviétoïde. » Vaudrait-il la peine de lui expliquer qu’il l’a toujours été, qu’il a été créé intégralement par les bolchos, qu’il n’a jamais eu d’autre visée que d’enrôler les métèques dans la conquête stalinienne de la planète en exploitant une culpabilité blanche passée au papier de verre ? Clairement : non.

Il semble penser que la castration du langage visant à préserver la sensibilité des noirs et des arabes, ce n’est « pas plus mal. » Il salue l’extinction des derniers Fromages pour qui « parler comme dans les films d’Audiard » était une habitude spontanée, pas un dandysme désespéré, une invocation du fantôme de notre courage disparu. C'est bien assez pour couper toute envie de débattre avec lui de tels sujets. Adresserait-il seulement la parole au Peuple de l'abîme internautique ?

De toute manière, ce n’est pas Mister Ben’ qu’il faudrait convaincre de quoique ce soit. C’est plutôt à la droite molle un peu exaspérée que s'adresserait ce type de messages. C’est Monsieur Moyen qui doit comprendre que l’antiouacisme n’est *PAS* une idée louable que des empaffés détournent et salissent pour garantir leurs rentes obscènes et leur prestige frelaté.

C’est une saloperie dont l’unique fonction a toujours été la sape de la confiance en soi des Blancs. Elle fait partie des techniques de guérilla mentale visant leur capitulation sans conditions devant les nouveaux Harkis de la Diversitude, dont la gauche démente alimente et canalise le ressentiment pour goulaguifier l’Occident. C’est le chantage affectif le plus efficace du monde moderne, que seul le fétichisme de la chambre à gaz surpasse en abjection et en puissance de feu.

Elle est un viol de l’âme et du cœur, qui fonctionne selon les mêmes principes que les plus immondes tordus à la Dutroux, qui savent comment briser un gosse au point de lui faire encaisser des sévices gerbatoires sans qu’il se tue ou ne devienne cinglé. C’est un préliminaire au génocide librement consenti de tout un peuple matraqué, humilié, déraciné de force, qui en vient à se concevoir comme l’incarnation génétique du Mal, alors que c’est en son sein que sont nées parmi les formes d’art, de littérature, d’architecture et de technologie les plus éblouissantes de l’histoire humaine.

C’est l’étendard sous lequel se rassemblent les pires salopes, les maniaques de l’automutilation, les polytoxs en quête de rédemption pas chère, les princes de l’ordure et les prédicateurs du suicide collectif, qui appellent de leurs vœux un nettoyage ethnique (il faudrait plutôt parler de pollution culturelle) auquel ils pensent survivre en faisant des gorges progondes à un maximum de queues bronzées.

Ceux qui y ont cru en toute bonne foi sont des glands et ceux qui ont basé leur carrière sur elle, des étrons sur pattes qui ne valent pas le pal auquel les condamnerait une  hypothétique justice divine.

Quel réac subventionné avec accès aux médias, quel parti officiel et respectable, quelle personnalité à l'abri du besoin le gueulera enfin, sans se flageller dans la demi-seconde et sans, par pitié ! pouvoir se planquer derrière un arrière-arrière-arrière-grand-père certifié ISOschwitz 9001 ?

Plus personne ne sait qui est Jean Raspail et un nouveau Camp des Saints, à défaut d'être utile, serait un soulagement bienvenu.

21/11/2010

PASSOVER SYNDROME

 

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It is said that a conservative is a liberal who’s been mugged, but in its advanced stages, Passover Syndrome appears to be incurable. Witness the white activist who moved to Haiti and suffered an all-night brutal rooftop raping at the hands of one of her black “brothers,” only to blame it on “the white patriarchy,” members of whom were suspiciously absent during her assault. Or observe the eagerness to excuse a recent anti-white bloodbath by framing it within a context of unsubstantiated allegations that the gunman had endured racist jokes at work.

If a racial Doomsday ever comes in America, I doubt that the nonwhite marauders will ever draw fine distinctions between the “good” whites and the “bad” ones. I lived a half-block off Hollywood Boulevard during the 1992 L.A. riots, and I recall a member of rap group Boo-Yaa T.R.I.B.E. being quoted as saying that the rioters should quit looting South-Central L.A. and instead burn down Beverly Hills—home of the exact record executives who finance anti-white albums by ingrates such as Boo-Yaa T.R.I.B.E.

If a large-scale Day of Racial Reckoning ever comes, Passover Syndrome sufferers will find that when it comes to hating whites, nonwhites truly don’t discriminate. Rather than the sweet scent of compassion, those with the disorder emit the rancid smell of fear. If a real race war were ever to pop off in America, they’d be the first to perish.

The only mystery is which side would kill them first.

Le reste de l'analyse à la résidence secondaire de Jim Goad.


20/11/2010

LA DIGNITE PERDUE

 

Avant, ces collines étaient couvertes de petites parcelles. Tout le monde les cultivait. La vigne était partout. Maintenant, les gens sont paresseux, emportés par le consumérisme. Ils n'ont plus d'identité. Ils ne savent plus d'où ils viennent. Ils se font plus souvent du mal. Nous avons été réduits au rang de bêtes. Mais même les bêtes choisissent ce qu'elles mangent. Nous avons perdu notre dignité.

Giovanni Battista Columbu (Mondovino)


17/11/2010

REPONSE (à) CANDIDE

Je suis bien d'accord avec vous... Mais ce qui m'embête avec ce genre d'articles c'est : où est donc l'avis, la solution, la vision de l'auteur ?

Candide (ici)

Mes solutions, elles ne sont que livresques. Or personne n'a besoin de théories pontifiantes sur les moyens de nous sortir de la mouise. Nous sommes face à une accumulation de problèmes simples, qui n'ont pas de solution globale applicable. C'est facile de briser l'échine de quelqu'un, mais allez la lui recoller ? Avec la dignité d'un peuple, c'est kif-kif.

Si je reste pragmatique, je ne pourrais qu'appeler à une immense jacquerie durant laquelle on lyncherait environ une personne sur deux en Europe. Dans mes bavasseries d'ivrogne, je rêve tout haut d'un hybride entre La Cagoule, Action Directe et Al Qaeda, qui enrôlerait des milliers de paumés dans mon genre, enfin prêts à claquer pour tuer un maximum d'ennemis objectifs et racheter par ce dernier beau geste une existence creuse et laide. Or je n'ai la trempe ni d'un Mathews ni d'un McVeigh  ni d'un Kaczynski, et je constate que leur exemple n'a pas motivé grand-monde à les imiter. Conséquence de quoi je m'abstiens et j'aboie connement dans mon coin. En n'en foutant pas plus une rame que n'importe qui, et sans plus d'excuses d'ailleurs. On m'accordera, je veux l'espérer, que je ne me fais aucune illusion sur ma propre valeur ni celle de ma contribution de white trash de luxe.

L'essentiel de nos emmerdements serait réglé en quelques mois si le toubab moyen cessait de considérer les crachats qu'il se prend dans la gueule comme une expiation méritée. Mais ses patrons, ses élus démocratiques, ses squatteurs allogènes, ses agitateurs bolchos subventionnés, ses putains de journaleux, ses artistes empaillés, ses proprios bouffis d'arrogance et d'impunité, ses dealers de saloperies à crédit, ses pollueurs absous d'avance par l'Etat... Tous lui mollardent la tronche en permanence et il encaisse. Et nous tous qui le voyons, qui en parlons, n'agissons pas autrement, n'agissons pas du tout. Tout au plus sommes-nous capables de quelques sarcasmes. Comme dans cette scène de Raging Bull où La Motta se laisse bousiller par Robinson en se foutant de sa gueule.

Monsieur Moyen n'est pas "endormi", il n'est pas "zombifié", il ne nie même pas l'abjection de ses conditions d'existence, simplement il ne bouge pas, personne ne sait exactement pourquoi. Demeure une certitude: rien de ce que vous pourrez lui DIRE ne le fera réagir. Il y a dans son quotidien cent raisons de le rendre berserker, c'est donc qu'il lui faut plus que des raisons pour retrouver sa sauvagerie.

Un ressort a été cassé, sur lequel tous les blablateurs s'enivrent d'hypothèses : la faute à l'émiettement de la foi, au mépris de la patrie, à la destruction de la famille biparentale, aux féministes, aux gauchistes, aux capitalistes, au complot judéo-pâtissier, à qui vous voudrez. Ca change quoi ? Vous aurez beau supprimer l'éventuelle cause, comment faire disparaître la conséquence ? Vous ne le pouvez pas, et puis voilà.

Cette évidence rend superflue toute littérature. Une fois qu'il est clairement établi que la neutralisation de tous nos ennemis est la seule solution viable, la seule désirable, la seule réaliste, la seule durable, qui va passer de la parole aux actes ? Ni vous ni moi.

Si tous les dieux ne sont pas morts et qu'ils ont gardé un sens de l'humour tordu, alors peut-être qu'une fois qu'ils seront une toute petite minorité sur leurs propres terres, nos semblables apprendront à se barricader, mentalement, culturellement, physiquement. Peut-être qu'ils se mettront à vivre et laisser mourir tout ce qui ne sera pas Eux, tout ce qui ne viendra pas d'Eux, tout ce qui n'aura pas prêté serment d'allégeance à leur culture ou ce qui en demeurera.

Voilà pourquoi on peut encore trouver quelque raison de se maintenir vaguement en forme, de manipuler régulièrement des armes, de tenter de faire des gosses pas trop cinglés, de soutenir comme on le peut les initiatives du milieu qui vont dans le sens d'une autonomie accrue - tout ce qui pourra aider nos descendants à survivre plus facilement sur une planète où ils seront au mieux un vestige, au pire des victimes de naissance.

L'Europe est une bibliothèque en flammes. Nous n'éteindrons pas l'incendie, nous ne sauverons pas les meubles et nous ne pourrons sans doute jamais empaler les fils de hyènes qui y ont foutu le feu. Nous ne pouvons qu'en extraire quelques bouquins et les planquer en lieu sûr, en espérant qu'ils seront un jour lu - et compris - de quelqu'un, de préférence nos propres moutards, s'ils ne nous renient pas complètement.

16/11/2010

ENTREPRISE D'OTAGES

Quand une civilisation infantilise ses citoyens et trouve normal de sacrifier toute liberté à une sécurité illusoire, un réac en vient logiquement à sacraliser les notions de mérite et de responsabilité. Sans elle, il n’est pas d’individu libre et droit. D’elles découlent toutes les valeurs fondatrice de la droite à l’ancienne : individualisme, esprit d’entreprise et d’innovation, volonté de se sortir seul de la merde, volonté d’assumer les conséquences de ses actes, mépris des ratés pour qui La Société est seule responsable de leurs échecs, dignité dans l’adversité.

La gauche dégénérée piétine cette conception de la citoyenneté pour faire de la place aux métèques et entretenir ses troupes au sein des Intermittents du Lumpen. C’est suffisant pour que le droitard en fasse une obsession, une posture, jusqu’à faire l’impasse sa joie de vivre, voire sa simple survie économique. Mais si leur rejet mène au parasitisme, leur idolâtrie fait de quiconque n’est pas son propre patron, un kamikaze qui se sacrifie pour le profit des exploiteurs bien réels, qui n’existent pas que dans l’imagination des syndicats bolchos. Le monde de l’entreprise prospère encore sur ce corpus idéologique, mais, pour autant que son discours ait jamais eu la moindre valeur, nous savons maintenant que c’est du flan.

Nos parents ont été élevés dans l’idée que le petit vendeur de journaux pourrait un jour finir red-en-chef à la force du poignet. Cette génération, qui pensait s’être débourgeoisée jusqu’au dernier poil, a transmis à ses enfants ce culte fort bourgeois de l’effort et de l’excellence, les poussant à être les meilleurs au sein d’institutions qu’ils disaient pourtant haïr pour leur formatage idéologique. Les murs capitalistes à abattre leur semblaient si hauts et si nombreux que la détermination, le courage, l’abnégation leur sont apparus comme des valeurs indispensables à transmettre. Le plein-emploi aidant, leur récupération douce par l’ennemi juré s’est faite naturellement ; ils sont devenus traîtres à leurs propres idéaux du fait même de leur combattivité, flattés de voir leurs efforts récompensés par un ascenseur social auquel il était alors naturel de croire.

Pour nous autres, nés après 68, c’est dans le cul Lulu. Pourtant, encore trop de jeunes réacs échouent à assimiler ces notions, que ne transmettent aucune doctrine économique et qu’on ne pige qu’après avoir enchaîné – et s’être enchaîné à – quelques jobs bien merdiques, dans cette néo-domesticité qu’on nous fourgue au nom de l’ambition et du sens de l’engagement.

 

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Cette soupe à base de volontarisme, de culte du « bosseur », de virilité stakhanoviste, est devenue franchement immangeable. Mâtez-les donc, ces quinquas qui s’érigent en exemples à suivre, voyez leur vie grise et décousue, surchargée par panique de l’ennui. Leurs familles, s’ils ont pris le temps d’en faire, sont en miettes. Leur quotidien, leur style de vie, contredit toute leur vision du monde. Pas seulement parce qu’ils se prosternent devant la Diversité en vivant avec leurs seuls semblables, ou parce qu’ils sont devenus ce qu’ils voulaient combattre : parce que sortis du bureau, ils se font chier.

Parce que leur culte de l’aventure se résume à des vacances à crédit. Parce que, pour se dépasser, ils n’ont que le cadre de leurs objectifs professionnels. Parce que « la Boîte » est leur dernier horizon, et le nôtre aussi. Ils y trouvent leurs amis, leurs maîtresses, leurs ennemis mortels, leurs gourous. Faire des heures sup’ et zapper toute vie de famille ? C’est se monter endurant, ambitieux, dependable en globish. Ils trompent plus volontiers leur femme que leur patron, en divorcent plus facilement que de leur entreprise. En retour, elle les paie en mobbing, en reflux gastriques, en angoisses, en vieillissement précoce, en souffrances psychosomatiques, en rapacité, en cours accéléré d’écrasement d’autrui pour conserver son taf.

Mais pas question qu’ils y renoncent. C’est le seul exutoire à leur rage de vaincre, l’ultime façon de renouer avec leurs instincts guerriers, la dernière manifestation présentable de virilité. Le salopard machiste, arrogant et dominateur est banni de tous les coins de la société, mais l’entreprise l’a sacré régent – « roi en tout sauf en titre » puisqu’il n’est pas question d’admettre ouvertement de telles évidences. Prière de rester cool même quand on fait le chacal.

La boite est « une grande famille » où l’on peut harceler sa sœur et brimer son frère pour le contraindre à bosser plus vite pour moins cher, et avec le sourire siouplaît.

12/11/2010

ANYWAY PEOPLE DIE

A Cross appears
Between the horns
Of a stag
And burning light
Blinds the hunter

09/11/2010

CASTIGATION & BETRAYAL

08/11/2010

PORTRAIT

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podcast

Grosse queue d'Aryen, Jean-Louis Costes, 2004

07/11/2010

L'ESPOIR GLAUQUE D'UNE VIE...

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... qui ne ressemble pas à cette chambre pendant cinquante ans encore.

 

 

Every minute I stay in this room I get weaker. Each time I look around, the walls move in a little tighter.

 

 

06/11/2010

DEVOLUTION NATIONALE

C'est pas Piotr qui retarde sur l'actu, c'est moi qui oublie de publier ses oeuvres à mesure qu'elles arrivent... Un bel hommage de nos amis Divers à l'Amérique-que-nous-aimons-tous. (Même que tu peux appuyer dessus l'image pour qu'elle est plus grande autre part.)

 

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PLANETE HALOUF

 

Globishopobes, pensez à sélectionner les sous-titres en hexagonal...

01/11/2010

LA BELLE UNANIMITE DES ENNEMIS MORTELS

Commencé chez M'sieur Carcan, poursuivi ici, à propos du monologue soralien qu'il postait récemment.

 

Vous faites le jeu de l’estremdrouate” contre “Vous faites le jeu du gouvernement cosmopolite”. Mêmes arguments de merde pour contrer la même chose : la perspective que les blanchettes finissent un jour par se sortir la tête du cul et mettre une branlée à la racaille des bas-fonds comme à celle de la haute. Ca devient franchement écoeurant, cette unanimité sur le sujet de gens censés se vouer une haine mortelle.

Alors comme ça, être ouaciste, ça fait le beurre du grand Capital ? C’te bonne blague. Les Identitaires et le FN, combien de divisions, combien de fonds secrets, combien de relais dans les merdiats, combien de sympathisants actifs dans l’éducation, les services sociaux, les syndicats, les multinationales, les agences publicitaires, les bourses ?

Et puis tiens ! soyons encore plus modestes ! Combien de quartiers popus, de petites entreprises, de villages, de “sanctuaires” tenus par des bandes de toubabs aussi déterminés, racialisés et violents que leurs collègues naigres et krouyes ? L’est bien marrant sur ce coup-là, GrossebiteMan, mais la racialisation des conflits sociaux, elle a l’air de marcher surtout pour les Chances, du côté des Faces de Craie, c’est plutôt mou du genou, discret, clandestin, inexistant en-dehors du vouaibe et d’arrière-cours louées ça et là pour une conférence sur la chanson populaire allemande d’avant-guerre…

Que craint-on, putain ! en dénonçant le ouacisme-soutenu-en-loucedé-par-l'Etat ? Un phénomène à la Tea Parties ? C'est sûr que le bicleux du Courrier International, ça lui suffit, comme extrémisme redneck ! A force de ne jamais croiser une vraie grive, on finit par se convaincre que le merle est une volaille savoureuse. Mais ça suppose des papilles bien anesthésiées – et en l'occurrence, des portugaises bétonnées. Vous les entendez pas gueuler ? « Nous pas ouacistes ! Pas du tout ouacistes ! Tout sauf le ouacisme ! Même que c'est le gouvernement d'Obama qu'est limite nazi, pour dire! »

Quelle triste vie que celle du traqueur de Dérapage, quand même ! Jamais un vrai bon gros ethnocentrisme assumé à becqueter ! Toujours devoir se contenter de sous-entendus pouvant éventuellement révéler une vague lassitude à force de sucer de la Diversitude à tous les repas... Un destin à la Désert des Tartares... Notez que chez les fafs, ça aime aussi bien se crever les yeux sur un horizon où jamais ne pointe la menace islamiste ou l'émeute Black Power... Mais bref.

Je comprends que, pour percer tout en se la jouant indépendant, c’est mieux de pouvoir accuser l’adversaire de tous les travers imaginables. “Ca le fait”, de pouvoir Godwiner l’ennemi, on peut se la péter Primus Inter Pares, humilier En-Face en lui démontrant qu’on croit plus à ses valeurs que lui, qu’on les pratique plus à fond qu’il n’en est capable… Je veux même bien admettre qu’on puisse SINCEREMENT ne pas vouloir être ouaciste, trouver ça laid et injuste, indigne d’un homme droit dans ses pompes.

Mais ça reste du show parce que les AUTRES n’ont pas de telles pudibonderies. Ils ne mettent pas de “-isme” dégradants au bout de leur manière d’être naturelle et décomplexée. Au pire, nous cracher à la gueule et souiller nos soeurs ne leur paraît pas du tout incompatible avec des slogans égalitaires et anti-frontières… J'ai croisé des Divers parfaitement racialistes et pas haineux du tout, ou très cosmopolites tout en affichant une extraordinaire fierté ethnique, ou encore allergiques à leurs racines tout en idolâtrant la modernité occidentale, voire rangés du côté de l'Europe contre l'invasion de semblables qu'ils vomissent... 

Mais où sont ceux qui, sans renoncer à ce qu'ils sont, peuvent admettre que l'ancien Colon ne rampe pas devant eux pour se faire pardonner des crimes de ses ancêtres ? Navré, M'sieur Soral, mais sur ce coup-là, vous êtes encore plus racialistes que vous ne le pensez : il n'y a que des Blancs à qui votre discours peut véritablement parler. Une certaine Marseillaise sifflée dans l'un de vos mitingues vous l'a certainement démontré.

Il n’y aura JAMAIS de paix, ni de réconciliation, ni d’égalité possible. Il y a EUX et NOUS, punkt schluss, et si EUX l’emportent, NOUS crevons. Mais il est inutile de demander à GrossebiteMan de comprendre des évidences si grossières : l’est trop raffiné pour ça, s’pas ?

31/10/2010

CAUSE TOUJOURS, TU CREVES QUAND MEME

 

La nouvelle rengaine des occupants et des collabos (quand je serai moins fatigué, je trouverai une terminologie moins marquée Heures Sombres) est de chouiner sur la « libération de la parole ouaciste ». A les entendre, le nazebroque ordinaire n'aurait plus rien à craindre : c'est Happy Hour pour les fachos, on peut discriminer publiquement, vomir sa haine de l'Autre en toute impunité, on se demande même pourquoi on ne voit pas Faurisson faire des claquettes chez Drücker en prime time...

Grosse audience de Franz von Souche, le bouquin à Thilo S. qui s'arrache en Germanie, la question identitaire qui se fait jour un peu partout en Europe, les mines-à-raies illégalisés en Chuiche... Il n'en faut pas plus pour que, sur fond d'images d'émeutes macaques en ex-France, d'aucuns se laissent aller à chanter « Paris Brûle » (Soit-dit en passant, ça faisait des lustres que le rock francophone ne nous avait pas gratifié d'une hymne aussi burné)

Si ça se trouve, ces salopes n'ont pas intégralement tort. On sait leur tendance à prendre leurs fantasmes glaireux pour des réalités, mais il se peut fort bien que nos garde-chiourmes sentent un certain vent tourner, et aient décidé de laisser le populo lâcher un peu de vapeur avant que la cocote ne se fissure. Le journaliste est une pute vertueuse, mais tout dépend si le casse-croûte est garanti ou pas ; on pourrait avoir des surprises en matière de retournement de vestes. En vieillissant, le progressiste subit le même sort que tout le monde : il prend moins de risques, trouve moins de charme à la déglingue, organise sa vie de manière un peu rationnelle, et commence à avoir peur du bordel, du racket, des pains dans la tronche qu'il ne peut plus rendre comme avant.

Et puis l'enflicage de la société, si c'est réclamé au nom de la Démocratie et de la République, s'pas, ça pose son homme, ça fait Vieille Gauche, celle avec des poils et de la dignité, etc.

Maintenant, si on n'est pas infirmière-psy pour adolescents, c'est difficile de croire que la parole précède les actes et qu'il suffit de « verbaliser » son mal-être pour que la guérison se pointe comme une fleur.

C'est en tant qu'occidentaux, de culture européenne et de ouace blanche que nous sommes menacés. Nous fédérer autour de la république, de la démocratie ou même d'un christianisme miraculeusement (oups) débarrassé de ses tendances suicidaires ne nous mènera à que dalle en tant que peuple – on ne parle même pas des simagrées paganisantes, auxquelles certains natios se sentent obligés d'adhérer, sans se rendre compte qu'ils sont aussi crédibles et rassembleurs que des ados fans de Donjons et Dragons...

L'identité n'est que la base, tout le reste est fioritures annexes, or c'est cette base qui est sapée et c'est autour d'elle qu'il serait nécessaire de rassembler les gens pour qu'une explosion de colère soit possible. Or en Europe de l'ouest, on observe et on observera encore longtemps le même phénomène qui paralyse les Tea Parties amerloques: le refus absolu, forcené, hystérique, de se définir ainsi : Occidentaux, de culture européenne, de ouace blanche et qui t'emmerde si ça te donne de la toux. Ce qui devrait être défendu avec une rage aveugle est ouvertement traité au mieux comme une incidence gênante, au pire comme un mythe poisseux et ridicule.

On peut tortiller du cul tant qu'on veut sur la délinquance allogène, sur l'insécurité, sur la menace islamiste, ces dangers extérieurs ne vont pas faire l'unité d'un peuple qui ne veut pas exister ni être reconnu comme une entité à part entière.

Tout ce que la trouille grandissante va permettre, c'est de libérer des réflexes de survie individuelle – pas collective – qui seront taxés de ouacisme mais qui ne permettront rien à l'échelle du continent, des pays ou des régions. Si la situation s'aggrave de manière spectaculaire, ce sera chacun pour son cul, point barre. Espérer quoique ce soit de plus suppose une consommation massive de substances illégales. J'en reviens à ce texte de Goad, qui en avait défrisé pas mal ici, alors qu'il contient des pépites incontournables :

The only cultural landscape we share consists of familiar corporate logos. There’s no local flavor, no sense of indigenous culture. Things don’t seem richer, livelier, and more colorful; they’re empty, listless, and dead.

 

Voici la réalité dans laquelle nous vivons en majorité : un environnement sans âme, stéréotypé, rationalisé à l'extrême pour permettre la circulation des bagnoles et des écrans téloches grand comme la moitié du salon. Les étendards qui claquent au mauvais vent des villes ne clament la fierté d'appartenir qu'à des boîtes tentaculaires. Partout les mêmes périphériques abominables, les hangars à meubles bancals, les clapiers à bipèdes, les usines à paperasse. Voilà ce qui nous unit, notre « style de vie non-négociable », ce qui fait l'essence discrète et perpétuelle de notre quotidien.

Dans ce Cauchemar Climatisé, on devrait considérer comme un grand progrès de pouvoir dire que certaines ouaces sont plus portées que d'autres sur la baston, le viol en réunion et la distribution de came. L'aboutissement de cette logique, c'est un monde à la Gattaca. Les contributeurs de Von Souche y seront au chômage technique faute de délinquance métèque à dénoncer, mais nos vies seront toujours FAUSSES d'un bout à l'autre.

Cracher sur l'Autre est un réflexe normal, puisqu'on nous criminalise si on ne se laisse pas sodomiser par la Différence. Mais ce n'est que cela, un réflexe, un spasme, une convulsion sans noblesse. Nous avons tous les ennemis qu'il nous faut, bien plus qu'il ne nous en faut. Mais nous n'avons pratiquement plus rien à défendre contre eux. De glorieux souvenirs dont nous arrivons à peine à nous inspirer et un présent laid à dégueuler sang et merde. Ca fait un peu short pour se lancer dans une guerre civile.

En 39, il fallait savoir si on voulait ou pas crever pour Dantzig. Le dilemme du droitard actuel, c'est de décider si crever pour Procter & Gamble est un idéal bandant.

26/10/2010

OÙ VA-T-ON ENTERRER CETTE MERDE ?

Oui, c'est encore en nangliche, oui je vous étronne si ça vous pose un problème, oui vous devez lire ça et non, ce n'est pas ma faute si la nazebroquesphère francophone est, à ce jour, plus ou moins infoutue de proposer de la prose à la fois si bien foutue, agréable, précise et violente. J'ai pas quatre bras, non plus, alors j'en emprunte deux à Jim Goad, permettez ? 

 

If we’re going to push multiculturalism’s glories, shouldn’t we point out where has it worked in the past? If diversity is a strength, why did stretched-too-thin empires such as ancient Rome and the Soviet Union eventually fall from the weight of their own diversity? Stop calling me a racist and shoot some believable answers at me. I really want to hear them. (...)

What kind of newly enriched and suddenly empowered American culture do I see when I drive on the highway near my house? I see Wal-Mart, Chili’s, Motel 6, Wendy’s, and Home Depot. It could be Indianapolis. It could be Omaha. It could be Seattle. It could be anywhere in America. It happens to be Stone Mountain, GA, but you’d have no idea you were even in the South. In 2010, the only cultural landscape we share consists of familiar corporate logos. There’s no local flavor, no sense of indigenous culture. Things don’t seem richer, livelier, and more colorful; they’re empty, listless, and dead. (...)

Multiculturalism is dead, sure, but what do we do with the body? I’ve yet to hear a good burial plan, and I fear we may need one.


23/10/2010

LA HAINE QUI PUE MAUVAIS AU NEZ, L'CORAN D'MA MERE

Non seulement, comme le dénonce le plus beau Commissaire du Peuple du ouaibe, la zomophobie ne connaît plus de limite, mais en plus, dans le métro parisien, un génocide anti-métèque se déroule actuellement, dans la plus grande indifférence des Blancs, foutue race ?  ethnie ? communauté intrinsèquement bétimonde sur les bords.

La faute à la crise, les grèves, le populo excédé, tu connais la rengaine. Tout ça, c'est de l'émission de bouc, comme toujours : tu perds des sous à cause des grands banquiers ouacistes, alors tu prends une hache et tu sors dans la rue, décapiter des enfants basanés rieurs et plein de vie, qui ne demandaient qu'à vivre humblement en trimant à des boulots de merde pour récolter des miettes au pied de ta table. Putain, c'est trop pas LOL.

trouille.jpg

Quoiquoiquoi ? Encore un holocauste ordinaire, camouflé par

la presse collabo à la botte du régime vachiste et perpétré par

des hordes de ouliganes (sans doute serbes) dans l'indifférence bovine 

de la populace bérêt-baguette-gauloise bleue?

N'en finira-ce donque jamais ?  

 

Que faire ?

Boucler le métro ? Après tout c'est bien dans ces souterrains glauques que se déroulent ces actes odieux de violence sanguinaire, fauchant des vies par rames entières, même qu'on se demande encore comment elles arrivent à rouler, avec tous ces cadavres qui encombrent les voies. Si tout le monde roulait à vélo, la paix universelle serait une banalité de notre quotidien, et non pas un rêve inatteignable.

Passer tous les syndicalistes par les armes ? C'est vrai, bordel ! s'ils n'excitaient pas la haine des Fromages en les prenant-en-otage avec leurs revendications à la con, on ne serait pas loin des portes de l'Eden Métissé, où tout le monde mangerait un bon MacMafé en faisant tourner le narguilé de l'amitié entre les peuples. Salauds de gauchistes qui font le jeu de Le Pen et autres olfactonégatifs !

Buter tous les Blancs ? J'ai l'air d'exagérer, de faire mon gros punk plein d'Amsterdamer Maximator, mais franchement : si vous espérez venir à bout de la peste sans zigouiller du rat, vous navez rien compris au film. Relisez donc Michael Moore, tas d'ethnocentristes :

* Who gave us the black plague? A white guy.
* Who invented PBC, PVC, PBB, and a host of chemicals that are killing us? White guys.
* Who has started every war America has been in? White men.
* Who is responsible for the programming on FOX? White men.
* Who invented the punch card ballot? A white man.
* Whose idea was it to pollute the world with the internal combustion engine? Whitey, that's who.
* The Holocaust? That guy really gave white people a bad name (that's why we prefer to call him a Nazi and his little helpers Germans).
* The genocide of Native Americans? White man.
* Slavery? Whitey!

Démonstration limpide.

Bon, il y a aussi cette vieille rengaine Plus-Sombres-Heuresques, cette fausse sagesse répugnante d'ivrogne pleine de mauvais gamay tiède, qui propose de RETOURNER AU BLED OU DANS LA SAVANE, là où il n'y a pas de ouacisme ni d'oppression, faute de toubabs... Mais nous avons passé l'âge de telles gamineries, n'est-ce pas ?

21/10/2010

COMPRENDS RIEN

 

commies.jpgLes motivations des progressistes sont plus opaques qu’une bonne soupe aux pois de saison. J’aimerais éviter de taper sur Jérôme Leroy, qui reçoit beaucoup trop de publicité de la part de certains droitards du ouaibe. Mais plus je lis ses billets sur Causeur – oui, comme beaucoup d'entre vous, je m’ennuie souvent au taf – moins j’y vois clair.

Qu’en a-t-il à foutre, par exemple, que l’armée américaine puisse envoyer des pédés casser du bougnoule Combattant de la Liberté dans telle province du Pétroland ? En toute logique, un assassin impérialiste qui bourre des chattes ou des culs reste un assassin impérialiste. Faire une différence entre eux est une marotte de fächÿste, non ?

Le but est-il simplement d'agacer les zomophobes ? N'est-ce pas leur accorder une importance disproportionnée ? A moins que leur discours-de-haine soit majoritaire en Occident ?  Il existerait une presse antipédés, des Ministères du Concassage de Lopettes, des subventions aux initiatives citoyennes d'épuration des enculés... J'aurais alors aimé qu'on m'avertisse, histoire que je puisse participer à la fête et toucher mon chèque de rebelle subventionné...Pas de raison qu'il n'y ait que les crasseux pour se goinfrer au frais de Big Mother, merde ! Moi aussi, je veux être récupéré, sponsorisé, engraissé aux frais de la communauté ! Moi aussi je veux être corrompu, payé pour penser pareil que tout le monde, avoir accès aux grands médias pour prendre des poses avantageuses en défiant le Troisième Reich de venir toquer à ma porte! Nos passes de harengs !

I wanna be sedated !

Ceci dit, la multiplication des guéprailldes et les scandales autour de gags zomophobes tendraient à prouver, au contraire, que la tarlouze est Personna Foutrement Grata dans notre régime capitaliste. S'en prendre à ses contempteurs, au mieux, c'est aussi courageux que de jouer le rôle des Yankees dans un de ces reenactment historiques aux Etats-Unis – ça reste plus respectable que d'arracher les ailes des mouches, on est d'accord.

Les invertis continuent de se balancer sous des trains avec une effarante régularité ? Admettons que ce soit la faute aux persécuteurs sexistes. Mais alors qui pousse au suicide les paysans d'Europe, les ados hétéros et plus largement les toubabs ordinaires, de notre côté de l'Atlantique ou sur l'autre rive ? Et surtout, qui vient nous tirer des larmes et du cacheton en leur mémoire ?

Bref, tout cela est bien obscur. Mais heureusement, tout cela n'a absolument aucune importance. Je crois que je vais arrêter de lire les incongruités de l'individu en question : ça m'énerve, ça ne sert à rien, et ça fait rédiger des posts tout aussi inutiles.

Allez plutôt lire, sur un tout autre sujet, le dernier billet du père Didier, c'est plein d'esprit et d'élégance.

20/10/2010

"IL EXISTE UN CODE"...

Nouvel attentat visuel de Frater Piotr, dont nous parlions récemment ici - comme quoi, à la différence du ouacisme, lui au moins finit par se manifester à force qu'on en cause...  - et qui t'évitera de lire ceci jusqu'au bout. En plus, tu peux même cliquer d'ssus pour l'avoir plus grand ailleurs.

 

 

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